Le Président de la République de l’Angola José Eduardo Dos Santos a accordé le jeudi 20 janvier 2011, deux audiences à de hautes personnalités sur la crise post-électorale en Côte d’Ivoire. Il s’agit du Premier ministre kenyan, Raïla Odindga et vice-ministre équato-guinéen des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Eustaquio Nseng Esono. Raïla Odinga a été le premier a être reçu. A sa sortie de l’audience, il s’est prêté aux questions des journalistes. Il soutient que ce n’est pas la peine que les pays occidentaux s’ingèrent dans la crise ivoirienne.
Avant d’indiquer que la Cedeao et l’Union africaine peuvent gérer le problème. Ces deux organisations sont capables de trouver une solution pacifique pour la Côte d’Ivoire. Selon lui, il y a toujours une possibilité de trouver une solution pacifique si les deux parties s’engagent à créer une ambiance de dialogue. Le Premier ministre kenyan salue la détermination avec laquelle le Président Dos Santos s’est investi dans la crise ivoirienne. «C’est sûrement l’expérience angolaise dans la résolution des conflits parce qu’ayant vécu une longue guerre civile qui explique la position affichée par l’Angola », fait-il remarquer. Le Premier ministre Kenyan se dit d’accord avec le Président Dos Santos quand il affirme que la solution réside dans la négociation. Par ailleurs il n’est pas d’accord pour la solution de partage de pouvoir comme au Kenya et au Zimbabwe.
Parce que ce ne sont pas des exemples à imiter dans le cas de la Côte d’Ivoire.
La seconde audience a été accordée au vice-ministre équato-guinéen des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Eustaquio Nseng Esono. Selon lui, son pays appuie la position de l’Angola. Par conséquent, il est totalement d’accord avec la position de l’Angola pour le respect de la souveraineté de la Côte d’Ivoire. Et d’estimer que la crise ivoirienne doit être réglée par le dialogue. Afin de trouver une solution qui respecte les droits internes du peuple ivoirien. « La communauté internationale doit aider la Côte d’Ivoire à trouver une solution politique et pacifique qui favorise toutes les parties. Il est temps que les pays africains ne permettent plus les ingérences des pays occidentaux dans leurs affaires internes », indique-t-il.
Y. Gbané
Avant d’indiquer que la Cedeao et l’Union africaine peuvent gérer le problème. Ces deux organisations sont capables de trouver une solution pacifique pour la Côte d’Ivoire. Selon lui, il y a toujours une possibilité de trouver une solution pacifique si les deux parties s’engagent à créer une ambiance de dialogue. Le Premier ministre kenyan salue la détermination avec laquelle le Président Dos Santos s’est investi dans la crise ivoirienne. «C’est sûrement l’expérience angolaise dans la résolution des conflits parce qu’ayant vécu une longue guerre civile qui explique la position affichée par l’Angola », fait-il remarquer. Le Premier ministre Kenyan se dit d’accord avec le Président Dos Santos quand il affirme que la solution réside dans la négociation. Par ailleurs il n’est pas d’accord pour la solution de partage de pouvoir comme au Kenya et au Zimbabwe.
Parce que ce ne sont pas des exemples à imiter dans le cas de la Côte d’Ivoire.
La seconde audience a été accordée au vice-ministre équato-guinéen des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Eustaquio Nseng Esono. Selon lui, son pays appuie la position de l’Angola. Par conséquent, il est totalement d’accord avec la position de l’Angola pour le respect de la souveraineté de la Côte d’Ivoire. Et d’estimer que la crise ivoirienne doit être réglée par le dialogue. Afin de trouver une solution qui respecte les droits internes du peuple ivoirien. « La communauté internationale doit aider la Côte d’Ivoire à trouver une solution politique et pacifique qui favorise toutes les parties. Il est temps que les pays africains ne permettent plus les ingérences des pays occidentaux dans leurs affaires internes », indique-t-il.
Y. Gbané