Le général de corps d’armée Philippe Mangou, chef d’Etat-major des armées de Côte d’Ivoire, a fait, hier, une importante révélation lors du grand rassemblement organisé en l’honneur des Forces de Défense de Sécurité et des travailleurs par le Charles Blé Goudé au stade Robert Champroux de Marcory.
Cette révélation porte sur le fait que certains individus l’ont approché, dans ces moments difficiles que traverse la Côte d’Ivoire, pour le pousser à faire un coup d’Etat contre le président Gbagbo. Mais, à tous ces vendeurs d’illusions, le chef d’Etat-major des armées a réservé une fin de non recevoir.
Bien au contraire, pour lui, «à un moment de l’histoire d’un pays, le Seigneur choisit quelqu’un qu’Il met à sa tête pour une mission précise».
Le général Philippe Mangou estime que «Laurent Gbagbo est celui-là que le Seigneur a choisi en ce moment crucial de l’histoire de ce pays pour lui donner sa souveraineté et sa dignité». C’est pourquoi il affirme que «les Forces de Défense et de Sécurité de Côte d’Ivoire iront avec le président Gbagbo jusqu’au bout de sa mission et ce jusqu’au sacrifice suprême».
Le général de corps d’armée Philippe Mangou, soutient sa position par plusieurs raisons.
La première raison est une question de bon sens. En effet, le général Mangou estime qu’on ne fait pas de coup d’Etat dans un pays divisé. Et, en la matière, indique le patron des armées, il n’y pas aujourd’hui, en Côte d’Ivoire, un homme politique mieux indiqué que le président Gbagbo pour réunifier le pays.
La deuxième raison est d’ordre républicain. Pour le général, le président élu est Laurent Gbagbo qui a été déclaré vainqueur de la présidentielle par le Conseil constitutionnel. Faire donc un coup d’Etat contre lui, c’est aller contre la Constitution.
Or dira-t-il, l’armée tire son fondement de la Constitution.
La troisième raison porte sur la reconnaissance. «Je sais où j’étais et où le président Gbagbo m’a enlevé pour faire de moi ce que je suis aujourd’hui. Je suis fils de pasteur, moi-même chrétien; je ne peux pas le poignarder dans le dos», a déclaré le général Mangou. Avant d’ajouter que l’armée, dans son ensemble, ne peut pas faire un coup d’Etat contre Gbagbo. Car dira-t-il, “le président Gbagbo est en train de réécrire l’histoire de la Côte d’Ivoire”.
Boga Sivori
bogasivo@yahoo.fr
Cette révélation porte sur le fait que certains individus l’ont approché, dans ces moments difficiles que traverse la Côte d’Ivoire, pour le pousser à faire un coup d’Etat contre le président Gbagbo. Mais, à tous ces vendeurs d’illusions, le chef d’Etat-major des armées a réservé une fin de non recevoir.
Bien au contraire, pour lui, «à un moment de l’histoire d’un pays, le Seigneur choisit quelqu’un qu’Il met à sa tête pour une mission précise».
Le général Philippe Mangou estime que «Laurent Gbagbo est celui-là que le Seigneur a choisi en ce moment crucial de l’histoire de ce pays pour lui donner sa souveraineté et sa dignité». C’est pourquoi il affirme que «les Forces de Défense et de Sécurité de Côte d’Ivoire iront avec le président Gbagbo jusqu’au bout de sa mission et ce jusqu’au sacrifice suprême».
Le général de corps d’armée Philippe Mangou, soutient sa position par plusieurs raisons.
La première raison est une question de bon sens. En effet, le général Mangou estime qu’on ne fait pas de coup d’Etat dans un pays divisé. Et, en la matière, indique le patron des armées, il n’y pas aujourd’hui, en Côte d’Ivoire, un homme politique mieux indiqué que le président Gbagbo pour réunifier le pays.
La deuxième raison est d’ordre républicain. Pour le général, le président élu est Laurent Gbagbo qui a été déclaré vainqueur de la présidentielle par le Conseil constitutionnel. Faire donc un coup d’Etat contre lui, c’est aller contre la Constitution.
Or dira-t-il, l’armée tire son fondement de la Constitution.
La troisième raison porte sur la reconnaissance. «Je sais où j’étais et où le président Gbagbo m’a enlevé pour faire de moi ce que je suis aujourd’hui. Je suis fils de pasteur, moi-même chrétien; je ne peux pas le poignarder dans le dos», a déclaré le général Mangou. Avant d’ajouter que l’armée, dans son ensemble, ne peut pas faire un coup d’Etat contre Gbagbo. Car dira-t-il, “le président Gbagbo est en train de réécrire l’histoire de la Côte d’Ivoire”.
Boga Sivori
bogasivo@yahoo.fr