La coordination des communicateurs bénévoles pour le rayonnement de la démocratie a reçu à sa tribune le lundi 24 janvier 2011, l’avocat français Marcel Ceccaldi. Il s’est prononcé sur le thème de « La problématique de la certification des élections présidentielles en Côte d’Ivoire ».
«La Côte d’Ivoire n’a pas renoncé à sa souveraineté bien qu’elle ait ratifié l’Accord politique de Ouagadougou. Et considérant qu’en son assemblée général de l’Onu, du 13 février 2002 que les principes consacrés à l’article 2 des Nations Unis notamment le respect de la souveraineté nationale et la non ingérence dans les affaires intérieures des Etats doivent être respecté à l’occasion des élections ». Dès lors, pour lui, le représentant spécial du secrétaire général de l’Onu s’est illustré par une forfaiture. Car dira-t-il, en tant que fonctionnaire, il a outrepassé ses droits et devoirs. ‘’Choi s’est immiscé dans la proclamation des résultats. Nous nous réservons la possibilité de saisir la cour internationale de justice concernant les agissements de M Choi et de son mandant Ban Kin Moon’’. Il s’agit soutient-il d’une action en responsabilité des fautes à eux commises selon lui, dans les faits, ce rôle aurait dû être confié au Haut responsable des sections au représentant spécial des Nations Unies. Ce, dans le cadre de la résolution 1765. Non sans préciser que, la Charte des Nations Unis ne lui donne pas le droit de faire ce qu’il fait en Côte d’Ivoire. Poursuivant, l’invité des communicateurs bénévoles a indiqué que ; « la certification est une procédure récente mise en place par l’Onu. Elle remonte aux années 2000 et s’inscrit dans l’agenda de la paix en janvier 1992 par Boutros Boutros Gahli. Elle intervient soit dans le cadre de celui de l’assistance à un pays soit à la requête d’un gouvernement dans une situation post-conflit où dans un pays en conflit ». L’avocat international a fait remarquer que la certification intervenue au Timor-Est par ailleurs ancienne colonie portugaise ou, il n’y avait pas d’institutions et qu’il fallait tout reconstruire sur le socle des normes internationale ne peut être transposable à la Côte d’Ivoire. En raison de l’existence des institutions notamment le pouvoir exécutif, judicaire administratif et de la constitution. Aussi, estime-t-il que la vérification est le meilleur moyen de résoudre la crise avant de souligner que le refus de recompter est intriguant.
JM Tokré
«La Côte d’Ivoire n’a pas renoncé à sa souveraineté bien qu’elle ait ratifié l’Accord politique de Ouagadougou. Et considérant qu’en son assemblée général de l’Onu, du 13 février 2002 que les principes consacrés à l’article 2 des Nations Unis notamment le respect de la souveraineté nationale et la non ingérence dans les affaires intérieures des Etats doivent être respecté à l’occasion des élections ». Dès lors, pour lui, le représentant spécial du secrétaire général de l’Onu s’est illustré par une forfaiture. Car dira-t-il, en tant que fonctionnaire, il a outrepassé ses droits et devoirs. ‘’Choi s’est immiscé dans la proclamation des résultats. Nous nous réservons la possibilité de saisir la cour internationale de justice concernant les agissements de M Choi et de son mandant Ban Kin Moon’’. Il s’agit soutient-il d’une action en responsabilité des fautes à eux commises selon lui, dans les faits, ce rôle aurait dû être confié au Haut responsable des sections au représentant spécial des Nations Unies. Ce, dans le cadre de la résolution 1765. Non sans préciser que, la Charte des Nations Unis ne lui donne pas le droit de faire ce qu’il fait en Côte d’Ivoire. Poursuivant, l’invité des communicateurs bénévoles a indiqué que ; « la certification est une procédure récente mise en place par l’Onu. Elle remonte aux années 2000 et s’inscrit dans l’agenda de la paix en janvier 1992 par Boutros Boutros Gahli. Elle intervient soit dans le cadre de celui de l’assistance à un pays soit à la requête d’un gouvernement dans une situation post-conflit où dans un pays en conflit ». L’avocat international a fait remarquer que la certification intervenue au Timor-Est par ailleurs ancienne colonie portugaise ou, il n’y avait pas d’institutions et qu’il fallait tout reconstruire sur le socle des normes internationale ne peut être transposable à la Côte d’Ivoire. En raison de l’existence des institutions notamment le pouvoir exécutif, judicaire administratif et de la constitution. Aussi, estime-t-il que la vérification est le meilleur moyen de résoudre la crise avant de souligner que le refus de recompter est intriguant.
JM Tokré