DAVOS(Suisse)-Le secrétaire général de l`ONU, Ban Ki-moon a exhorté vendredi à Davos le président sortant de Côte d`Ivoire, Laurent Gbagbo, à "respecter la volonté" du peuple qui a choisi son rival Alassane Ouattara lors de la présidentielle de novembre.
"J`appelle une nouvelle fois le camp de Gbagbo à respecter entièrement la
volonté du peuple ivoirien", a expliqué M. Ban lors d`une conférence de presse
lors du Forum économique mondial dans l`est des Alpes suisses.
Selon le dernier bilan de l`ONU, les violences nées de la crise entre les
deux présidents ivoiriens auto-proclamés a fait depuis la mi-décembre 271
morts.
Alassane Ouattara a été reconnu président par la quasi-totalité de la
communauté internationale.
Mais plusieurs manifestations de compréhension vis-à-vis de Laurent Gbagbo,
qui détient de facto le pouvoir à Abidjan, ont commencé à s`exprimer en
Afrique ces dernières semaines, alors que l`impasse politique perdure, que les
tensions s`accroissent et qu`aucun compromis n`est en vue entre les deux
rivaux.
"Je suis préoccupé parce quelques différences d`opinion apparaissent" au
sein de l`Union africaine, ce qui n`est pas "souhaitable", a observé par
ailleurs M. Ban.
Il a relevé que la situation en Côte d`Ivoire "avait pris beaucoup de son
temps et de son énergie" à Davos, lors de rencontres avec des "dirigeants
africains clé", avant le sommet de l`Union africaine à Addis Abeba.
"J`appelle une nouvelle fois le camp de Gbagbo à respecter entièrement la
volonté du peuple ivoirien", a expliqué M. Ban lors d`une conférence de presse
lors du Forum économique mondial dans l`est des Alpes suisses.
Selon le dernier bilan de l`ONU, les violences nées de la crise entre les
deux présidents ivoiriens auto-proclamés a fait depuis la mi-décembre 271
morts.
Alassane Ouattara a été reconnu président par la quasi-totalité de la
communauté internationale.
Mais plusieurs manifestations de compréhension vis-à-vis de Laurent Gbagbo,
qui détient de facto le pouvoir à Abidjan, ont commencé à s`exprimer en
Afrique ces dernières semaines, alors que l`impasse politique perdure, que les
tensions s`accroissent et qu`aucun compromis n`est en vue entre les deux
rivaux.
"Je suis préoccupé parce quelques différences d`opinion apparaissent" au
sein de l`Union africaine, ce qui n`est pas "souhaitable", a observé par
ailleurs M. Ban.
Il a relevé que la situation en Côte d`Ivoire "avait pris beaucoup de son
temps et de son énergie" à Davos, lors de rencontres avec des "dirigeants
africains clé", avant le sommet de l`Union africaine à Addis Abeba.