S’il y a une région qui, a été sérieusement éprouvée par la crise postélectorale que vit la Côte d’Ivoire, c’est bien celle du centre ouest. Issia, Daloa et Sinfra, pour ne citer que celles-là, ont payé le prix fort d’une crise dont les stigmates sont encore perceptibles. Une situation qui a fait dire qu’il existerait un charnier dans cette zone du pays. Ce qu’a voulu vérifier de lui-même, Lars Rise, Observateur au Parlement Européen.
Sa visite en terre d’Eburnie serait à mettre sur le compte d’un article qu’il aurait lu dans le ‘’International Aireline Tribu’’, canard dans lequel, le Haut Commissaire aux Nations Unies à Genève aurait fait état de ce qu’il existerait un troisième charnier en Côte d’Ivoire. «Dans l’avion alors que je faisais route vers la Côte d’Ivoire, j’ai lu un article dans le ‘’International Aireline Tribu’’, que le Haut Commissaire aux Nations Unies madame Navi Pillay à Genève, prétendait qu’un charnier de grande ampleur, un troisième charnier avait été découvert en Côte d’Ivoire. Et elle continuait pour dire qu’elle était ulcérée que, les forces onusiennes aient été empêchées d’accéder à ce charnier localisé à Issia et Daloa», a laissé entendre l’observateur Européen à la presse ivoirienne. Avant de poursuivre, qu’il aurait quant à lui trouvé une solution pour se rendre sur place afin de toucher du doigt la réalité. «Pour ma part, j’ai trouvé une solution pour me rendre dans ces prétendus lieux. Ce qui a été très facile et rendu possible par les autorités locales et nationales. Et j’ai tenté de susciter un intérêt de la part des Nations Unies parce qu’il était évident que, l’accès était libre. Et cette opportunité n’a pas été saisie par les Nations Unies. Je suis personnellement désolé et très déçu parce que dans ce cas de figure, dans ce cas de conflit, la chose la plus importante à faire est de rechercher et de trouver la vérité».
Aymar Dedi
Sa visite en terre d’Eburnie serait à mettre sur le compte d’un article qu’il aurait lu dans le ‘’International Aireline Tribu’’, canard dans lequel, le Haut Commissaire aux Nations Unies à Genève aurait fait état de ce qu’il existerait un troisième charnier en Côte d’Ivoire. «Dans l’avion alors que je faisais route vers la Côte d’Ivoire, j’ai lu un article dans le ‘’International Aireline Tribu’’, que le Haut Commissaire aux Nations Unies madame Navi Pillay à Genève, prétendait qu’un charnier de grande ampleur, un troisième charnier avait été découvert en Côte d’Ivoire. Et elle continuait pour dire qu’elle était ulcérée que, les forces onusiennes aient été empêchées d’accéder à ce charnier localisé à Issia et Daloa», a laissé entendre l’observateur Européen à la presse ivoirienne. Avant de poursuivre, qu’il aurait quant à lui trouvé une solution pour se rendre sur place afin de toucher du doigt la réalité. «Pour ma part, j’ai trouvé une solution pour me rendre dans ces prétendus lieux. Ce qui a été très facile et rendu possible par les autorités locales et nationales. Et j’ai tenté de susciter un intérêt de la part des Nations Unies parce qu’il était évident que, l’accès était libre. Et cette opportunité n’a pas été saisie par les Nations Unies. Je suis personnellement désolé et très déçu parce que dans ce cas de figure, dans ce cas de conflit, la chose la plus importante à faire est de rechercher et de trouver la vérité».
Aymar Dedi