L’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) a encore fait parler d’elle en s’illustrant négativement. En effet, jeudi 27 janvier dernier à Gesco dans la commune de Yopougon, la force de maintien de la paix a lancé une grenade défensive en direction des gendarmes de l’escadron de Yopougon venus la tirer des griffes d’une population en colère qui voulait en découdre avec elle.
Tout est parti du refus des populations de céder le passage à un convoi de l’ONUCI en provenance de Bouaké.
Le bilan fait état de quatre gendarmes blessés par éclats de grenade dont un dans un cas critique. Les gendarmes de l’escadron de Yopougon, qui avaient pourtant réussi à disperser la foule pour
permettre le passage du cortège de l’ONUCI , ont eu tort de le faire.
Car juste après avoir libéré la voie, une grenade défensive projetée par un agent de l’ONUCI pour on ne sait quelle raison a atterri non loin du véhicule de troupe des gendarmes ivoiriens. Le maréchal des logis Doua Bi Valeri en service à l’escadron de Yopougon explique.
“On nous a fait appel pour aider un convoi de l’ONUCI pris à partie par des jeunes du quartier Gesco de Yopougon. A notre arrivée , nous avons dispersé et le convoi a pu rejoindre sa base à Sebroko sous notre escorte. Le convoi était composé de trois engins. Les deux premiers
en tête ont commencé à sortir progressivement, tandis que le dernier en position arrière était un peu reculé. C’est de cette position qu’un agent de l’ONUCI a projeté une grenade défensive en direction de notre véhicule de troupe”.
Le maréchal des logis Kesse Herman Olivier également à l’escadron de Yopougon, n’a pas été épargné par cette barbarie de l’ONUCI.
L’on se demande bien pourquoi l’ONUCI a-t-elle lancé une grenade défensive en direction des gendarmes alors que la foule avait été déjà dispersée par la gendarmerie pour leur faciliter le passage. L’ONUCI affiche une fois encore sa partialité dans la crise ivoirienne. Au-delà des
populations civiles, cette fois ci, c’est avec les Forces de défense et de sécurité(FDS) qu’elle veut en découdre.
Didier Kéi
(source: service communication de la gendarmerie nationale)
Tout est parti du refus des populations de céder le passage à un convoi de l’ONUCI en provenance de Bouaké.
Le bilan fait état de quatre gendarmes blessés par éclats de grenade dont un dans un cas critique. Les gendarmes de l’escadron de Yopougon, qui avaient pourtant réussi à disperser la foule pour
permettre le passage du cortège de l’ONUCI , ont eu tort de le faire.
Car juste après avoir libéré la voie, une grenade défensive projetée par un agent de l’ONUCI pour on ne sait quelle raison a atterri non loin du véhicule de troupe des gendarmes ivoiriens. Le maréchal des logis Doua Bi Valeri en service à l’escadron de Yopougon explique.
“On nous a fait appel pour aider un convoi de l’ONUCI pris à partie par des jeunes du quartier Gesco de Yopougon. A notre arrivée , nous avons dispersé et le convoi a pu rejoindre sa base à Sebroko sous notre escorte. Le convoi était composé de trois engins. Les deux premiers
en tête ont commencé à sortir progressivement, tandis que le dernier en position arrière était un peu reculé. C’est de cette position qu’un agent de l’ONUCI a projeté une grenade défensive en direction de notre véhicule de troupe”.
Le maréchal des logis Kesse Herman Olivier également à l’escadron de Yopougon, n’a pas été épargné par cette barbarie de l’ONUCI.
L’on se demande bien pourquoi l’ONUCI a-t-elle lancé une grenade défensive en direction des gendarmes alors que la foule avait été déjà dispersée par la gendarmerie pour leur faciliter le passage. L’ONUCI affiche une fois encore sa partialité dans la crise ivoirienne. Au-delà des
populations civiles, cette fois ci, c’est avec les Forces de défense et de sécurité(FDS) qu’elle veut en découdre.
Didier Kéi
(source: service communication de la gendarmerie nationale)