Pris la main dans le sac le vendredi 28 janvier 2011, les soldats de Choï continuent de soutenir
et organiser la rébellion. En effet, suite à l’arrestation des deux rebelles transportés de Bouaké
à Abidjan, via la Base aérienne, dans la nuit du vendredi 28 janvier 2011, l’Onuci désormais allié
officiel de la rébellion ivoirienne a mis une nouvelle stratégie en marche pour parachever ce qu’elle a commencé : convoyer les éléments rebelles d’Alassane Ouattara, des zones Centre-Nord-Ouest (Cno) sur Abidjan. Ayant constaté qu’en ce moment, les principaux corridors sont presque infranchissables par l’Onuci et les rebelles, les Casques bleus ont repris les rotations sur la ville d’Abidjan. C’est le fait des hélicoptères de l’Onuci dont vingt quatre (24) sont arrivés à Bouaké.
Mission : transport des troupes rebelles des zones Cno dont Bouaké à Abidjan. Mais cette fois-ci, l’Onuci n’entend plus passer par l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan Port-Bouët pour se rendre à l’Hôtel Sébroko (siège officiel de l’Onuci) pour ensuite rallier l’Hôtel du Golf.
Les aéronefs onusiens ont finalement décidé d’atterrir dans les plantations d’ananas et de bananes entre Anyama et Agboville. Faut-il le rappeler, toutes ces plantations procèdent des pistes d’atterrissage de petits avions servant à arroser les bananeraies et les ananeraies. Comme quoi, Young Yin Choï et ses hommes n’ont pas encore renoncé à leur basse besogne.
Sallyf Guélasséhanda
et organiser la rébellion. En effet, suite à l’arrestation des deux rebelles transportés de Bouaké
à Abidjan, via la Base aérienne, dans la nuit du vendredi 28 janvier 2011, l’Onuci désormais allié
officiel de la rébellion ivoirienne a mis une nouvelle stratégie en marche pour parachever ce qu’elle a commencé : convoyer les éléments rebelles d’Alassane Ouattara, des zones Centre-Nord-Ouest (Cno) sur Abidjan. Ayant constaté qu’en ce moment, les principaux corridors sont presque infranchissables par l’Onuci et les rebelles, les Casques bleus ont repris les rotations sur la ville d’Abidjan. C’est le fait des hélicoptères de l’Onuci dont vingt quatre (24) sont arrivés à Bouaké.
Mission : transport des troupes rebelles des zones Cno dont Bouaké à Abidjan. Mais cette fois-ci, l’Onuci n’entend plus passer par l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan Port-Bouët pour se rendre à l’Hôtel Sébroko (siège officiel de l’Onuci) pour ensuite rallier l’Hôtel du Golf.
Les aéronefs onusiens ont finalement décidé d’atterrir dans les plantations d’ananas et de bananes entre Anyama et Agboville. Faut-il le rappeler, toutes ces plantations procèdent des pistes d’atterrissage de petits avions servant à arroser les bananeraies et les ananeraies. Comme quoi, Young Yin Choï et ses hommes n’ont pas encore renoncé à leur basse besogne.
Sallyf Guélasséhanda