Pauvre Afrique noire ! Pour en être spécialiste, il suffit d’abord de bien préparer son baluchon européen, et s’armer d’un billet d’avion en partance, y passer quelques semaines en « gueusaillant » dans quelques dédales obscures des capitales (comme on en trouve dans toutes les grandes villes du monde), en y fréquentant ce monde hideux de la plèbe, des « has been » adeptes de Bacchus ou de l’infanterie du plaisir.
Ensuite comme Vincent Hugeux, glaner quelques ragots de bas étages sur des personnalités, distillés par des arrivistes mafieux qui après avoir été poursuivis par leurs études, se sont installées dans la cupidité des réseaux mafieux. Après quoi, les griffonner sur des parchemins aussi morbides que le personnage lui-même ; et enfin publier tous ces ramassis soit chez un sombre éditeur, soit chez un éditeur de renommée mais complaisant ou avide de sensation pour se proclamer à la fin des fins tout égo, spécialiste des questions africaines.
Le prototype de ce genre d’individu vous le résumerez en la personne de Vincent Hugeux.
Vraiment nous sommes très ennuyés d’avoir à parler d’un confrère qui « accidentellement » s’est trouvé une planque de grand reporter dans un journal de notoriété comme l’Express.fr.
L’Express.fr que dans notre tendre jeunesse, savourons avec délectation ; « ces papiers » Jean-Jacques Servan Schreiber et la grande Dame des Dames, Françoise Giroud.
Cet hebdomadaire qui a su résister aux bourrasques ravageuses des journaux à l’heure du numérique, et que nous continuons, d’accord ou pas avec eux, de lire avec attention et sérieux « les papiers » aujourd’hui, de Christophe Barbier et ses collaborateurs.
Dommage que le misérabilisme d’un morveux maître chanteur vagabondant de capitale en capitale, vienne troubler le travail pointilleux et respectueux de plusieurs générations de journalistes.
« Quand l’histoire resurgit, c’est toujours sous des formes inédites, propres à décevoir les nostalgiques qui rêvent d’un simple retour au Vieil ordre des choses » écrivant Robert De Herte. Il a peut-être raison. Mais il ya des formes inédites de l’Histoire qui sont gênantes. Si dans une profession qui a acquis ses lettres de noblesses depuis Marat en passant par Zola et bien d’autres par leur sérieux, les formes inédites que l’histoire voudrait nous servir se résument à la proclamation de journalistes cancaniers, médisants, baignant à longueur de journée dans les commérages et les potins d’un morveux comme Vincent Hugeux, il y a alors vraiment de quoi à désespérer. Celui qui croit que sous les tropiques, tenir l’équateur en équilibre par son nombril et voir le monde tourner autour de lui, n’est rien d’autre qu’un personnage cupide qui en veut à tous ceux qui essaient de donner une image digne à cette Afrique.
On en veut pour preuve, sa haine viscérale contre l’hebdomadaire Jeune Afrique, les leaders dignes de l’Afrique qui entendent dire nom au diktat de l’Occident colonialiste, modèle Sarkozy pourfendeur des Rom, des Noirs, des excisés, des Black, des Beur indésirables en France.
Comme les gens de sa « race », Hugeux personnage de petite vertu, adore nourrir de cancans pour ensuite présenter une vision dantesque de l’Afrique. Tout ce qu’il dit, tout ce qu’il écrit de l’Afrique est désespérément affligeant.
Hugeux n’a pas encore compris qu’avec des chefs d’Etat comme Zuma, Kagamé, Museveni, Dos Santos, Laurent Gbagbo, une nouvelle page de l’Histoire est en train de s’écrire avec la fin des illusions lyriques sur ce continent, genre ‘ « les peuples heureux n’ont pas d’histoire » du raciste Gobineau, ou encore « l’Afrique n’est pas rentrée dans l’histoire » de Sarkozy, l’un des derniers Mohican de l’Afrique des comptoirs.
Hugeux, le pouvoir d’antan qui faisait de vous et les siens, les seuls maîtres à penser de l’univers est bien un astre mort, aujourd’hui. Vos prétendus écrits, analyses sur l’Afrique sont bons pour le cul-de-basse-fosse.
Ce gueux des capitales africaines, fier comme Artaban, avec ses airs de ‘’m’as-tu-vu’’, son attitude hautaine pour ne pas dire prétentieuse sur l’Afrique, ne compte, en réalité, que pour du beurre, parmi les véritables chercheurs sur le continent.
Friand des informations graveleuses, il n’est maître de l’écriture que quand il se montre polisson vis-à-vis des chefs d’Etat africains. C’est à croire que ce prétendument ancien de Lille, ou professeur de la rue St Guillaume gagnerait à ravaler ses insanités de factieux contre les intérêts africains.
En déversant sa scabreuse bile sur le nouveau président de l’Ua Obiang et le président de la Côte d’Ivoire, encore une fois, il rate le coche.
Enfin ce mythomane morveux avec son esprit bouché à l’émeri, gagnerait à se moucher.
Ange Marie Ibo Djêgba
Ensuite comme Vincent Hugeux, glaner quelques ragots de bas étages sur des personnalités, distillés par des arrivistes mafieux qui après avoir été poursuivis par leurs études, se sont installées dans la cupidité des réseaux mafieux. Après quoi, les griffonner sur des parchemins aussi morbides que le personnage lui-même ; et enfin publier tous ces ramassis soit chez un sombre éditeur, soit chez un éditeur de renommée mais complaisant ou avide de sensation pour se proclamer à la fin des fins tout égo, spécialiste des questions africaines.
Le prototype de ce genre d’individu vous le résumerez en la personne de Vincent Hugeux.
Vraiment nous sommes très ennuyés d’avoir à parler d’un confrère qui « accidentellement » s’est trouvé une planque de grand reporter dans un journal de notoriété comme l’Express.fr.
L’Express.fr que dans notre tendre jeunesse, savourons avec délectation ; « ces papiers » Jean-Jacques Servan Schreiber et la grande Dame des Dames, Françoise Giroud.
Cet hebdomadaire qui a su résister aux bourrasques ravageuses des journaux à l’heure du numérique, et que nous continuons, d’accord ou pas avec eux, de lire avec attention et sérieux « les papiers » aujourd’hui, de Christophe Barbier et ses collaborateurs.
Dommage que le misérabilisme d’un morveux maître chanteur vagabondant de capitale en capitale, vienne troubler le travail pointilleux et respectueux de plusieurs générations de journalistes.
« Quand l’histoire resurgit, c’est toujours sous des formes inédites, propres à décevoir les nostalgiques qui rêvent d’un simple retour au Vieil ordre des choses » écrivant Robert De Herte. Il a peut-être raison. Mais il ya des formes inédites de l’Histoire qui sont gênantes. Si dans une profession qui a acquis ses lettres de noblesses depuis Marat en passant par Zola et bien d’autres par leur sérieux, les formes inédites que l’histoire voudrait nous servir se résument à la proclamation de journalistes cancaniers, médisants, baignant à longueur de journée dans les commérages et les potins d’un morveux comme Vincent Hugeux, il y a alors vraiment de quoi à désespérer. Celui qui croit que sous les tropiques, tenir l’équateur en équilibre par son nombril et voir le monde tourner autour de lui, n’est rien d’autre qu’un personnage cupide qui en veut à tous ceux qui essaient de donner une image digne à cette Afrique.
On en veut pour preuve, sa haine viscérale contre l’hebdomadaire Jeune Afrique, les leaders dignes de l’Afrique qui entendent dire nom au diktat de l’Occident colonialiste, modèle Sarkozy pourfendeur des Rom, des Noirs, des excisés, des Black, des Beur indésirables en France.
Comme les gens de sa « race », Hugeux personnage de petite vertu, adore nourrir de cancans pour ensuite présenter une vision dantesque de l’Afrique. Tout ce qu’il dit, tout ce qu’il écrit de l’Afrique est désespérément affligeant.
Hugeux n’a pas encore compris qu’avec des chefs d’Etat comme Zuma, Kagamé, Museveni, Dos Santos, Laurent Gbagbo, une nouvelle page de l’Histoire est en train de s’écrire avec la fin des illusions lyriques sur ce continent, genre ‘ « les peuples heureux n’ont pas d’histoire » du raciste Gobineau, ou encore « l’Afrique n’est pas rentrée dans l’histoire » de Sarkozy, l’un des derniers Mohican de l’Afrique des comptoirs.
Hugeux, le pouvoir d’antan qui faisait de vous et les siens, les seuls maîtres à penser de l’univers est bien un astre mort, aujourd’hui. Vos prétendus écrits, analyses sur l’Afrique sont bons pour le cul-de-basse-fosse.
Ce gueux des capitales africaines, fier comme Artaban, avec ses airs de ‘’m’as-tu-vu’’, son attitude hautaine pour ne pas dire prétentieuse sur l’Afrique, ne compte, en réalité, que pour du beurre, parmi les véritables chercheurs sur le continent.
Friand des informations graveleuses, il n’est maître de l’écriture que quand il se montre polisson vis-à-vis des chefs d’Etat africains. C’est à croire que ce prétendument ancien de Lille, ou professeur de la rue St Guillaume gagnerait à ravaler ses insanités de factieux contre les intérêts africains.
En déversant sa scabreuse bile sur le nouveau président de l’Ua Obiang et le président de la Côte d’Ivoire, encore une fois, il rate le coche.
Enfin ce mythomane morveux avec son esprit bouché à l’émeri, gagnerait à se moucher.
Ange Marie Ibo Djêgba