Depuis le 06 décembre 2010, la Côte d’Ivoire qui traverse une crise politique depuis le second tour de la présidentielle, a été placée sous “ la politique de garanties additionnelles’’. Ce qui sous-entend un renforcement des contrôles à tous les niveaux de mise en œuvre des programmes.
Cette information a été rendue publique, hier, au cours d’une rencontre au Plateau, par le Pr Auguste Kadio. Il est le président de l’Instance de coordination des interventions du Fonds mondial en Côte d’Ivoire. Selon lui, le fonds qui est financé en grande partie par les Etats-Unis, continue de subventionner tous les programmes de lutte contre les maladies ci-dessus citées. La plus grande puissance au monde aurait affirmé qu’elle ne comptait pas interrompre la subvention des activités des Ong de lutte contre le Sida, le paludisme, la tuberculose. Car, les responsables de cette structure auraient affirmé que les Etats-Unis n’avaient pas de différends avec les malades mais avec les politiques. Au niveau de la rupture d’antirétroviraux, le président de l’Instance de coordination des interventions du Fonds mondial en Côte d’Ivoire s’est voulu clair : « Nous n’avons pas de rupture à notre niveau. Nous avons des stocks de médicaments disponibles. Si les malades n’ont pas accès aux médicaments, le problème se trouve ailleurs ». Il faut noter, toutefois, que la Côte d’Ivoire n’a pas obtenu du Fonds mondial, de l’argent pour la lutte contre le Sida pour la série 10 (2010). Le Pr Auguste Kadio indique que ce refus n’a aucun lien avec la situation post-électorale. Les programmes soumis n’ont pas convaincu le Fonds mondial. Il a signifié par la même occasion que ce n’était pas la première fois que le Fonds mondial refuse de financer des programmes en Côte d’Ivoire.
Adélaïde Konin
Cette information a été rendue publique, hier, au cours d’une rencontre au Plateau, par le Pr Auguste Kadio. Il est le président de l’Instance de coordination des interventions du Fonds mondial en Côte d’Ivoire. Selon lui, le fonds qui est financé en grande partie par les Etats-Unis, continue de subventionner tous les programmes de lutte contre les maladies ci-dessus citées. La plus grande puissance au monde aurait affirmé qu’elle ne comptait pas interrompre la subvention des activités des Ong de lutte contre le Sida, le paludisme, la tuberculose. Car, les responsables de cette structure auraient affirmé que les Etats-Unis n’avaient pas de différends avec les malades mais avec les politiques. Au niveau de la rupture d’antirétroviraux, le président de l’Instance de coordination des interventions du Fonds mondial en Côte d’Ivoire s’est voulu clair : « Nous n’avons pas de rupture à notre niveau. Nous avons des stocks de médicaments disponibles. Si les malades n’ont pas accès aux médicaments, le problème se trouve ailleurs ». Il faut noter, toutefois, que la Côte d’Ivoire n’a pas obtenu du Fonds mondial, de l’argent pour la lutte contre le Sida pour la série 10 (2010). Le Pr Auguste Kadio indique que ce refus n’a aucun lien avec la situation post-électorale. Les programmes soumis n’ont pas convaincu le Fonds mondial. Il a signifié par la même occasion que ce n’était pas la première fois que le Fonds mondial refuse de financer des programmes en Côte d’Ivoire.
Adélaïde Konin
