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Politique Publié le samedi 12 février 2011 | L’intelligent d’Abidjan

Situation postélectorale / Ané Eric (Pdt des communicateurs bénévoles) : "La communauté internationale est déterminée à empêcher l’éclatement de la vérité en Côte d’Ivoire"

© L’intelligent d’Abidjan Par DR
Conférence-débat de la Coordination des communicateurs citoyens bénévoles pour le rayonnement de la démocratie - Le ministre Koné Katina Justin éclaire sur le rôle et l`importance de la Côte d’Ivoire au sein de l’UEMOA
Mardi 18 janvier 2011. Abidjan. Novotel, Plateau. Le ministre du Budget du gouvernement Aké N`gbo anime une conférence-débat sur le thème : "Monnaie et souveraineté de l’Etat en Afrique, rôle et importance de la Côte d’Ivoire au sein de l’UEMOA". Photo: Eric Ané, président de la Coordination des communicateurs citoyens bénévoles pour le rayonnement de la démocratie
La Côte d’Ivoire est toujours dans l’impasse et cela n’est pas du goût des Communicateurs bénévoles qui sont sur le gril. Ané Eric et les siens ont fait chorus pour tancer la communauté internationale et singulièrement la France de néocolonialisme. C’est un secret de polichinelle que «Gbagbo Laurent et Nicolas Sarkozy» se détestent et ne le cachent pas. Pour Ané Eric, il n’y a qu’une seule explication à cela. « Laurent Gbagbo est un digne fils de l’Afrique ». Ce qui expliquerait selon lui, le fait que la communauté internationale ainsi que, quelques Etats Africains, seraient entrain de saboter le travail des experts et celui du panel des cinq Chefs d’Etats commis pour solutionner la crise ivoirienne.(…) Mais déjà que de sons discordants qui laissent supposer que la France de Sarkozy, l’Onu de Ban Ki Moon et la communauté économique des Etats d’Afrique de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) à la sauce sénégalaise d’Abdoulaye Wade, assaisonné d’épices nigérianes de Jonathan Goodluck et du Burkinabé Blaise Compaoré, sont déterminés à empêcher l’éclatement de la vérité en Côte d’Ivoire ». Selon Eric Ané, un tel projet, ne peut être accepté par ‘’les dignes filles et fils de la Côte d’Ivoire’’. « C’est un projet que les dignes filles et fils de la Côte d’Ivoire s’attellent à rejeter, même au prix de leur sang, en s’opposant au rêve fou et démoniaque de la France néocolonialiste et de son candidat ». Pour lui, en dépit des « neuf années de tentative de recolonisation », l’éclat de la lumière de la souveraineté qui pointe à l’horizon, arrivera à son terme»

ADedi
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