Ne vous méprenez pas. Les enfants des Refondateurs n’empêchent pas leurs voisins des quartiers cossus d’Accra de dormir. Mais, ils donnent plutôt le tournis aux habitués des bars et autres coins de réjouissance de la capitale ghanéenne. « Ils font de grande folie. On a mal à la tête quand on les voit dépenser. C’est comme s’ils ramassaient de l’argent », se plaint Harriet Kwasi, jeune réceptionniste d’hôtel.
Quand la nuit tombe sur Accra, en semaine, et surtout le week-end, les enfants des refondateurs, qui résident ou sont de passage dans la capitale ghanéenne, se déchaînent.
Ils écument les maquis et autres discothèques de la ville. C’est le show à fond la caisse. Naturellement, l’alcool coule à flot. Ainsi, les retrouve-t-on dès la tombée de la nuit, à Alladjo, chez Cynthia, au « Consulat », ou encore chez Rosalinda, des lieux fréquentés par les jeunes francophones. Ils sont également présents au « Phénix » à Newtown, et au « Privilège » à North Kanedjie. «Quand ils sortent pour des virées, ils délient la bourse sans sourciller. L’argent sort, sort et la bière coule à flots », fait remarquer Touré Apollinaire. En une soirée, certains peuvent claquer au moins deux millions de FCFA.
Récemment, le fils de Ouattara Gnonzié et Komoé Yves, celui de Komoé Augustin, qui réside aujourd’hui aux Etats-Unis ont fait, comme on dit à Abidjan, « sauvagement le boucan » à Accra. Surtout le premier qui dépensait, selon des témoins, avec insolence. « Le fils sortait l’argent sans compter, je l’ai vu en boîte, c’était vraiment n’importe quoi », témoigne Bamaine K., jeune Ivoirien vivant à Accra.
« Il y a certes des fêtards au Ghana, mais ce sont des folies qui heurtent notre sensibilité d’Africain, surtout avec la misère qui rôde un peu partout autour de nous », renchérit Harriet, qui ne comprend pas que de jeunes Ivoiriens, fussent-ils enfants des « big people », jouent autant avec l’argent…du contribuable ivoirien. Même hors de nos frontières, la refondation étale sa laideur…
Y.S
Quand la nuit tombe sur Accra, en semaine, et surtout le week-end, les enfants des refondateurs, qui résident ou sont de passage dans la capitale ghanéenne, se déchaînent.
Ils écument les maquis et autres discothèques de la ville. C’est le show à fond la caisse. Naturellement, l’alcool coule à flot. Ainsi, les retrouve-t-on dès la tombée de la nuit, à Alladjo, chez Cynthia, au « Consulat », ou encore chez Rosalinda, des lieux fréquentés par les jeunes francophones. Ils sont également présents au « Phénix » à Newtown, et au « Privilège » à North Kanedjie. «Quand ils sortent pour des virées, ils délient la bourse sans sourciller. L’argent sort, sort et la bière coule à flots », fait remarquer Touré Apollinaire. En une soirée, certains peuvent claquer au moins deux millions de FCFA.
Récemment, le fils de Ouattara Gnonzié et Komoé Yves, celui de Komoé Augustin, qui réside aujourd’hui aux Etats-Unis ont fait, comme on dit à Abidjan, « sauvagement le boucan » à Accra. Surtout le premier qui dépensait, selon des témoins, avec insolence. « Le fils sortait l’argent sans compter, je l’ai vu en boîte, c’était vraiment n’importe quoi », témoigne Bamaine K., jeune Ivoirien vivant à Accra.
« Il y a certes des fêtards au Ghana, mais ce sont des folies qui heurtent notre sensibilité d’Africain, surtout avec la misère qui rôde un peu partout autour de nous », renchérit Harriet, qui ne comprend pas que de jeunes Ivoiriens, fussent-ils enfants des « big people », jouent autant avec l’argent…du contribuable ivoirien. Même hors de nos frontières, la refondation étale sa laideur…
Y.S