Après son meeting du 5 Février à la mythique place de la République au Plateau, Charles Blé Goudé a remis le couvert. Cette fois, le cap a été mis sur la région de l’Agneby qui a abrité la rencontre entre le ministre et les populations de cette localité à la place Laurent Gbagbo, le samedi 12 février 2011.
Pour le président du Cojep, l’heure est venue de libérer totalement la Côte d’Ivoire des mains des prédateurs économiques que sont la France de Nicolas Sarkozy et les USA de Barack Obama.
Fustigeant l’ingérence de la communauté internationale dans la crise postélectorale, Charles Blé Goudé a rappelé à celle-ci qu’elle ne peut imposer un Président à la Côte d’Ivoire. «La communauté internationale ne peut pas imposer à la Côte d’Ivoire, un Président prêt à porter», a-t-il fait savoir. Et le leader de la galaxie patriotique d’égrener le parcours des ‘’jeunes patriotes’’ qui ont combattu les mains nues, les chars Français. Cette somme d’expériences avoue t-il leur permet aujourd’hui de ‘’tenir devant n’importe quelle armée au monde’’. « Ce n’est pas une armée nigériane, sénégalaise ou burkinabé qui va nous effrayer, car nous sommes chez nous », dira t-il. « Cette envie à s’autodéterminer des jeunes de Côte d’Ivoire donne des sueurs froides à ceux qui croient encore que le continent noir est leur propriété privée. Et qu’aucun développement ne doit être amorcé sans l’avis du colonisateur », a-t-il lâché. « C’est ce qui explique cette grogne des peuples Africains qui veulent prendre leur destin en mains et qui a atteint le Maghreb. Mais à la différence de l’Egypte et de la Tunisie, les populations dans ces pays sont sorties pour dire non à leurs Présidents. Contrairement à la Côte d’Ivoire où nous manifestons pour dire non à la communauté internationale pour laisser Gbagbo travailler tranquillement », a analysé Blé Goudé. Qui a ensuite lancé que dans chaque pays, il y des totems auxquels on ne touche pas et ‘’le totem de la Côte d’Ivoire, c’est Laurent Gbagbo’’. Fils de la région, le ministre Attey Philippe, ministre de l’industrie et du secteur privé, a demandé à ses parents de toujours soutenir Laurent Gbagbo, qui dit-il, incarne toutes les vertus du président qui pense à son peuple. C’est pourquoi, dira Philippe Attey, « Laurent Gbagbo est l’incarnation d’Ernest Boka. Cet homme mort pour la libération du peuple de l’Agnéby est la source de la résistance de notre Président Laurent Gbagbo». Invité spécial, Marcel Gossio, directeur général du Port autonome d’Abidjan, a tenu à rassurer les ivoiriens sur l’asphyxie économique imposée par la communauté internationale. « L’Europe n’est pas le centre de la terre. Sarkozy prend ses rêves pour de la réalité et nous allons tourner le dos aux prédateurs. Laissez donc les gens rêver », a-t-il prévenu. Avant de garantir la régularité des salaires des fonctionnaires, tous les mois. Il faut noter que l’écrivaine camerounaise, Calixte Beyala était à leur côté à Agboville, apportant ainsi son soutien à Charles Blé Goudé dans son combat contre l’impérialisme.
A Dedi
Pour le président du Cojep, l’heure est venue de libérer totalement la Côte d’Ivoire des mains des prédateurs économiques que sont la France de Nicolas Sarkozy et les USA de Barack Obama.
Fustigeant l’ingérence de la communauté internationale dans la crise postélectorale, Charles Blé Goudé a rappelé à celle-ci qu’elle ne peut imposer un Président à la Côte d’Ivoire. «La communauté internationale ne peut pas imposer à la Côte d’Ivoire, un Président prêt à porter», a-t-il fait savoir. Et le leader de la galaxie patriotique d’égrener le parcours des ‘’jeunes patriotes’’ qui ont combattu les mains nues, les chars Français. Cette somme d’expériences avoue t-il leur permet aujourd’hui de ‘’tenir devant n’importe quelle armée au monde’’. « Ce n’est pas une armée nigériane, sénégalaise ou burkinabé qui va nous effrayer, car nous sommes chez nous », dira t-il. « Cette envie à s’autodéterminer des jeunes de Côte d’Ivoire donne des sueurs froides à ceux qui croient encore que le continent noir est leur propriété privée. Et qu’aucun développement ne doit être amorcé sans l’avis du colonisateur », a-t-il lâché. « C’est ce qui explique cette grogne des peuples Africains qui veulent prendre leur destin en mains et qui a atteint le Maghreb. Mais à la différence de l’Egypte et de la Tunisie, les populations dans ces pays sont sorties pour dire non à leurs Présidents. Contrairement à la Côte d’Ivoire où nous manifestons pour dire non à la communauté internationale pour laisser Gbagbo travailler tranquillement », a analysé Blé Goudé. Qui a ensuite lancé que dans chaque pays, il y des totems auxquels on ne touche pas et ‘’le totem de la Côte d’Ivoire, c’est Laurent Gbagbo’’. Fils de la région, le ministre Attey Philippe, ministre de l’industrie et du secteur privé, a demandé à ses parents de toujours soutenir Laurent Gbagbo, qui dit-il, incarne toutes les vertus du président qui pense à son peuple. C’est pourquoi, dira Philippe Attey, « Laurent Gbagbo est l’incarnation d’Ernest Boka. Cet homme mort pour la libération du peuple de l’Agnéby est la source de la résistance de notre Président Laurent Gbagbo». Invité spécial, Marcel Gossio, directeur général du Port autonome d’Abidjan, a tenu à rassurer les ivoiriens sur l’asphyxie économique imposée par la communauté internationale. « L’Europe n’est pas le centre de la terre. Sarkozy prend ses rêves pour de la réalité et nous allons tourner le dos aux prédateurs. Laissez donc les gens rêver », a-t-il prévenu. Avant de garantir la régularité des salaires des fonctionnaires, tous les mois. Il faut noter que l’écrivaine camerounaise, Calixte Beyala était à leur côté à Agboville, apportant ainsi son soutien à Charles Blé Goudé dans son combat contre l’impérialisme.
A Dedi