La Force Licorne aux ordres de la France de Sarkozy a tenté hier très tôt le matin, de prendre
position devant la Bicici et la Sgbci au Plateau. Avec un seul objectif : braquer ces banques.
L’Etat de Côte d’Ivoire, à l’issue du dernier conseil des ministres de jeudi dernier, a decidé «de
prendre le contrôle» de la Bicici et de la Sgbci ; deux filiales des groupe français. La Banque Nation de Paris (Bnp Paribas) directement rattachée au Trésor Français d’une part, et la société Générale d’autre part. En annonçant son intention de "Prendre le contrôle" de banques qui ont fermé cette semaine, notamment la Sgbci et la Bicici. Il s`agit pour le gouvernement, de "préserver les emplois assurer l`accès des Ivoiriens et des opérateurs économiques à leurs avoirs dans "les plus brefs délais.
Une intention qui rencontre l’assentiment des épargnants de ces deux banques et des syndicats
qui ont décidé de porter plainte contre ces acteurs clés de la place bancaire de Côte d’Ivoire. Face
à la rumeur qui enflait et faisant état d’actes de vandalismes orchestrés par des mains obscures,
suite à la fermeture de ces deux banques françaises en Côte d’Ivoire, des dispositions sécuritaires ont été prises. D’où la présence sur les lieux de dispositifs des forces et de Défense et de Sécurité (Fds) depuis quelques jours. Hier, ce dispositif a été renforcé sur les deux sites du Plateau, centre affaires. Certaines sources ont fait état, de « braquages » qui devraient être perpétrés par la Forc Licorne. Auxquels nos braves soldats auraient fait échec. Dans le quartier d`affaires du Plateau, une dizaine de membres des Forces de défense et de sécurité (Fds) étaient stationnées devant les entrées de la Sgbci, filiale ivoirienne de la Société Générale. Un véhicule 4x4 de la police était garé à proximité. Les piétons circulaient comme à l`ordinaire. Par ailleurs, des sources bien introduites au ministère de l’Economie et des Finances indiquent que les employés nationaux de la Brvm et ceux des deux banques françaises ont eu deux séances de travail avec les services du ministre Da Désiré hier, à l’immeuble Sciam. Ces rencontres, nous dit-on, se sont déroulés dans une ambiance cordiale. Les responsables des ressources humaines et les délégués du personnel ont demandé à l’Etat d’offrir les conditions sécuritaires minimales et ils sont disposés à relancer la machine qui a grippé. Cela pour le bonheur des épargnants et pour eux-mêmes. Car, il s’agit de la survie de leurs emplois. Si la rumeur de braquage était fondée, la Licorne ne serait pas à son premier forfait en Côte d’Ivoire. Car, en 2004, 18 éléments de cette force française ont perpétré un casse sur la succursale de la Bceao à Man. Avec la complicité des bandes armées conduites par Guillaume Soro. Malgré faits avérés, les casseurs n’ont jamais été sanctionnés.
Elysée Koffi
position devant la Bicici et la Sgbci au Plateau. Avec un seul objectif : braquer ces banques.
L’Etat de Côte d’Ivoire, à l’issue du dernier conseil des ministres de jeudi dernier, a decidé «de
prendre le contrôle» de la Bicici et de la Sgbci ; deux filiales des groupe français. La Banque Nation de Paris (Bnp Paribas) directement rattachée au Trésor Français d’une part, et la société Générale d’autre part. En annonçant son intention de "Prendre le contrôle" de banques qui ont fermé cette semaine, notamment la Sgbci et la Bicici. Il s`agit pour le gouvernement, de "préserver les emplois assurer l`accès des Ivoiriens et des opérateurs économiques à leurs avoirs dans "les plus brefs délais.
Une intention qui rencontre l’assentiment des épargnants de ces deux banques et des syndicats
qui ont décidé de porter plainte contre ces acteurs clés de la place bancaire de Côte d’Ivoire. Face
à la rumeur qui enflait et faisant état d’actes de vandalismes orchestrés par des mains obscures,
suite à la fermeture de ces deux banques françaises en Côte d’Ivoire, des dispositions sécuritaires ont été prises. D’où la présence sur les lieux de dispositifs des forces et de Défense et de Sécurité (Fds) depuis quelques jours. Hier, ce dispositif a été renforcé sur les deux sites du Plateau, centre affaires. Certaines sources ont fait état, de « braquages » qui devraient être perpétrés par la Forc Licorne. Auxquels nos braves soldats auraient fait échec. Dans le quartier d`affaires du Plateau, une dizaine de membres des Forces de défense et de sécurité (Fds) étaient stationnées devant les entrées de la Sgbci, filiale ivoirienne de la Société Générale. Un véhicule 4x4 de la police était garé à proximité. Les piétons circulaient comme à l`ordinaire. Par ailleurs, des sources bien introduites au ministère de l’Economie et des Finances indiquent que les employés nationaux de la Brvm et ceux des deux banques françaises ont eu deux séances de travail avec les services du ministre Da Désiré hier, à l’immeuble Sciam. Ces rencontres, nous dit-on, se sont déroulés dans une ambiance cordiale. Les responsables des ressources humaines et les délégués du personnel ont demandé à l’Etat d’offrir les conditions sécuritaires minimales et ils sont disposés à relancer la machine qui a grippé. Cela pour le bonheur des épargnants et pour eux-mêmes. Car, il s’agit de la survie de leurs emplois. Si la rumeur de braquage était fondée, la Licorne ne serait pas à son premier forfait en Côte d’Ivoire. Car, en 2004, 18 éléments de cette force française ont perpétré un casse sur la succursale de la Bceao à Man. Avec la complicité des bandes armées conduites par Guillaume Soro. Malgré faits avérés, les casseurs n’ont jamais été sanctionnés.
Elysée Koffi