Comme le vampire se nourrit du sang, le régime actuel de Laurent Gbagbo s'alimente d'espèces sonnantes et trébuchantes qui sont pourvues quotidiennement pour l'achat des armes et minutions, pour les patriotes, le règlement des miliciens (environ 50 000) et des mercenaires (environ 3 000). Le braquage de la BCEAO répond à la satisfaction de cet appétit financier. Ainsi, sur la période du 5 au 25 janvier, avant de s'accaparer des billets des coffres de la BCEAO., le camp de Gbagbo avait reçu environ 605 255 000 FCFA provenant des sources suivantes :
-SOTRA, hôpitaux, SICTA et des Commissariats de police: 144 700 000 FCFA
-Dons des Libanais enrichis sous la Refondation et conduits par Kalal Jawar, PDG Orca Deco: 376 555 000 FCFA
-DG de la SOGEPIE (Société de Gestion du Patrimoine de l'Etat) Bogui et Ahoua Don Melo: 57 000 000 FCFA
-Somme remise par M. Gbaka de la MUGEFCI : 27 000 000 FCFA.
En ce qui concerne, les sommes issues du braquage de la BCEAO (environ 150 milliards de), prés de la moitié semble avoir été déposée à la Banque du Trésor et dans les banques " satellites " du pouvoir LMP (Banque du Trésor, BNI, CNCE). Une partie importante va servir à organiser des opérations d'achat de consciences et de "résistance". Ainsi, la répartition des fonds issus de la BCEAO, à compter du 27 janvier, soit 35 575 000 000 FCFA, s'est opérée de façon suivante :
-Fonds des différents camps de recrutement et d'entrainement des miliciens : 5 353 000 000 FCFA, dont 3 242 000 000 FCFA pour le camp d'Akakro et 2 111 000 000 FCFA Camp d'Akandjé.
Nous disposons de toutes les informations sur l'utilisation des ressources de la BCEAO aux fins de motiver les patriotes et corrompre les négociateurs. Ce sont d'ailleurs les devises de la BCEAO (environ 900 000 Euros, soit 590 000 000 et 10 000 GBP) qui ont permis a la forte délégation qui s'est rendue à Addis-Abeba, d'effectuer cette mission. Une partie devrait servir à corrompre les membres du panel des experts. Au stade actuel de notre développement, nous avons voulu montrer au lecteur des exemples de dilapidation des ressources volées à la BCEAO. Certes une partie a été mise au Trésor et dans les banques LMP pour le règlement des salaires de janvier et une partie du mois de février. Mais force est de reconnaitre que des montants importants ont été préservés pour des actions de résistances patriotiques. Ainsi l'argent des Ivoiriens n'est plus a la BCEAO, ni dans les banques pour réguler le système financier. L'argent se trouve entre les mains de Laurent Gbagbo et de son clan qui disposent d'un véritable trésor en " cash " pour des actions d'achat de conscience et de résistance pendant que les Ivoiriens n'ont pas de quoi assurer la pitance quotidienne.
Source: lebanco.net
-SOTRA, hôpitaux, SICTA et des Commissariats de police: 144 700 000 FCFA
-Dons des Libanais enrichis sous la Refondation et conduits par Kalal Jawar, PDG Orca Deco: 376 555 000 FCFA
-DG de la SOGEPIE (Société de Gestion du Patrimoine de l'Etat) Bogui et Ahoua Don Melo: 57 000 000 FCFA
-Somme remise par M. Gbaka de la MUGEFCI : 27 000 000 FCFA.
En ce qui concerne, les sommes issues du braquage de la BCEAO (environ 150 milliards de), prés de la moitié semble avoir été déposée à la Banque du Trésor et dans les banques " satellites " du pouvoir LMP (Banque du Trésor, BNI, CNCE). Une partie importante va servir à organiser des opérations d'achat de consciences et de "résistance". Ainsi, la répartition des fonds issus de la BCEAO, à compter du 27 janvier, soit 35 575 000 000 FCFA, s'est opérée de façon suivante :
-Fonds des différents camps de recrutement et d'entrainement des miliciens : 5 353 000 000 FCFA, dont 3 242 000 000 FCFA pour le camp d'Akakro et 2 111 000 000 FCFA Camp d'Akandjé.
Nous disposons de toutes les informations sur l'utilisation des ressources de la BCEAO aux fins de motiver les patriotes et corrompre les négociateurs. Ce sont d'ailleurs les devises de la BCEAO (environ 900 000 Euros, soit 590 000 000 et 10 000 GBP) qui ont permis a la forte délégation qui s'est rendue à Addis-Abeba, d'effectuer cette mission. Une partie devrait servir à corrompre les membres du panel des experts. Au stade actuel de notre développement, nous avons voulu montrer au lecteur des exemples de dilapidation des ressources volées à la BCEAO. Certes une partie a été mise au Trésor et dans les banques LMP pour le règlement des salaires de janvier et une partie du mois de février. Mais force est de reconnaitre que des montants importants ont été préservés pour des actions de résistances patriotiques. Ainsi l'argent des Ivoiriens n'est plus a la BCEAO, ni dans les banques pour réguler le système financier. L'argent se trouve entre les mains de Laurent Gbagbo et de son clan qui disposent d'un véritable trésor en " cash " pour des actions d'achat de conscience et de résistance pendant que les Ivoiriens n'ont pas de quoi assurer la pitance quotidienne.
Source: lebanco.net