Forte mobilisation à Yopougon
La Jeunesse du Front populaire ivoirien (Jfpi) n`a pas voulu faire passer sous silence les évènements du 18 fevrier1992. Après la table-ronde organisée vendredi 18 février 2011, elle a tenu un giga meeting le lendemain, samedi 19 février, au «Village de la Liberté » à Yopougon. Une opportunité saisie par le président du Fpi pour se prononcer sur l`actualité en Côte d`Ivoire. Pascal Affi N`Guessan a signifié au nombreux public qui a fait le déplacement que le Panel des chefs d`Etat mis en place par l`Union africaine (Ua) ne va pas sortir la Côte d`Ivoire de la crise . « Ce n’est pas le Panel qui va nous sortir de la crise. Il vient voir où se trouve la force, la légitimité. C’est là où se trouve le peuple que le Panel va aller », a déclaré le leader du Fpi. « Ce n’est pas parce que des Ivoiriens sont encore dans l’ordre ancien que nous allons abandonner le combat », a dit Pascal Affi N’Guessan en présence des barons de La majorité présidentielle (Lmp) et de l`écrivaine franco-camerounaise, Calixthe Beyala.
Outre le Panel, la fermeture de certaines banques en Côte d`Ivoire a été évoquée par l`ancien Premier ministre de Laurent Gbagbo. « Une banque n’est qu’une entreprise. Une entreprise ne peut pas freiner la marche de la Côte d’Ivoire. 1000 entreprises seront fermées, 1000 autres seront ouvertes. Toutes les entreprises qui se mettront sur le chemin de la refondation de la Côte d’Ivoire seront nationalisées », a martelé M. Affi N`Guessan. Qui a affirmé que « Laurent Gbagbo est déterminé parce qu’il sait qu’il est un instrument de Dieu pour changer la Côte d’Ivoire ». Il s`est dit sûr d`une chose: la fidélité du peuple et de l’armée à Laurent Gbagbo et aux Institutions de la Côte d`Ivoire. Il n’y a que ceux qui n’ont pas d’oreilles qui n’entendent pas le « message assourdissant » du peuple ivoirien, a soutenu l`ex-maire de Bongouanou. A l`écouter, l`Afrique attend de la Côte d’Ivoire qu`elle fasse sortir le continent noir de « l’asservissement » des puissances occidentales.
C`est pourquoi, il a exhorté les Ivoiriens à persévérer dans la lutte pour la liberté . « En Côte d’Ivoire, la France a une agence qui est le Rhdp (Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix, Ndlr), pour installer son impérialisme. Il faut faire échec à ses agences. C’est à travers cette guerre que tout va se déterminer, l’Afrique nous regarde. Si nous ne battons pas la France en Côte d’Ivoire, il n’y aura pas d’indépendance en Afrique », a souligné M. Affi N`Guessan, Porte-parole du candidat Laurent Gbagbo pendant la dernière présidentielle.
Konaté Navigué, initiateur de la commémoration, a déclaré, à la suite de son chef, que « nous n’attendons du panel qu’une seule chose, le respect de la constitution ». Pour lui, le locataire du Palais présidentiel doit « insister, persister et gagner le combat ». A l`instar de José Edouardo Dos Santos en Angola, Robert Mugabe au Zimbabwe et Nelson Mandela en Afrique du sud, a précisé le Secrétaire national de la Jfpi. « Il faut qu’on se batte, nous devons tout faire pour sauter le verrou, nous devons franchir la ligne rouge. Laurent Gbagbo doit franchir le rubicon en créant notre monnaie. Les moments qui arrivent seront difficiles voilà pourquoi Laurent Gbagbo doit insister, persister et il doit gagner le combat. C’est ça la révolution. Nous sommes à la dernière bataille, la bataille de Kirina. Il est interdit d’être découragé ou fatigué. Personne ne pourra enlever Laurent Gbagbo », a lancé M. Konaté.
La Jeunesse du Front populaire ivoirien (Jfpi) n`a pas voulu faire passer sous silence les évènements du 18 fevrier1992. Après la table-ronde organisée vendredi 18 février 2011, elle a tenu un giga meeting le lendemain, samedi 19 février, au «Village de la Liberté » à Yopougon. Une opportunité saisie par le président du Fpi pour se prononcer sur l`actualité en Côte d`Ivoire. Pascal Affi N`Guessan a signifié au nombreux public qui a fait le déplacement que le Panel des chefs d`Etat mis en place par l`Union africaine (Ua) ne va pas sortir la Côte d`Ivoire de la crise . « Ce n’est pas le Panel qui va nous sortir de la crise. Il vient voir où se trouve la force, la légitimité. C’est là où se trouve le peuple que le Panel va aller », a déclaré le leader du Fpi. « Ce n’est pas parce que des Ivoiriens sont encore dans l’ordre ancien que nous allons abandonner le combat », a dit Pascal Affi N’Guessan en présence des barons de La majorité présidentielle (Lmp) et de l`écrivaine franco-camerounaise, Calixthe Beyala.
Outre le Panel, la fermeture de certaines banques en Côte d`Ivoire a été évoquée par l`ancien Premier ministre de Laurent Gbagbo. « Une banque n’est qu’une entreprise. Une entreprise ne peut pas freiner la marche de la Côte d’Ivoire. 1000 entreprises seront fermées, 1000 autres seront ouvertes. Toutes les entreprises qui se mettront sur le chemin de la refondation de la Côte d’Ivoire seront nationalisées », a martelé M. Affi N`Guessan. Qui a affirmé que « Laurent Gbagbo est déterminé parce qu’il sait qu’il est un instrument de Dieu pour changer la Côte d’Ivoire ». Il s`est dit sûr d`une chose: la fidélité du peuple et de l’armée à Laurent Gbagbo et aux Institutions de la Côte d`Ivoire. Il n’y a que ceux qui n’ont pas d’oreilles qui n’entendent pas le « message assourdissant » du peuple ivoirien, a soutenu l`ex-maire de Bongouanou. A l`écouter, l`Afrique attend de la Côte d’Ivoire qu`elle fasse sortir le continent noir de « l’asservissement » des puissances occidentales.
C`est pourquoi, il a exhorté les Ivoiriens à persévérer dans la lutte pour la liberté . « En Côte d’Ivoire, la France a une agence qui est le Rhdp (Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix, Ndlr), pour installer son impérialisme. Il faut faire échec à ses agences. C’est à travers cette guerre que tout va se déterminer, l’Afrique nous regarde. Si nous ne battons pas la France en Côte d’Ivoire, il n’y aura pas d’indépendance en Afrique », a souligné M. Affi N`Guessan, Porte-parole du candidat Laurent Gbagbo pendant la dernière présidentielle.
Konaté Navigué, initiateur de la commémoration, a déclaré, à la suite de son chef, que « nous n’attendons du panel qu’une seule chose, le respect de la constitution ». Pour lui, le locataire du Palais présidentiel doit « insister, persister et gagner le combat ». A l`instar de José Edouardo Dos Santos en Angola, Robert Mugabe au Zimbabwe et Nelson Mandela en Afrique du sud, a précisé le Secrétaire national de la Jfpi. « Il faut qu’on se batte, nous devons tout faire pour sauter le verrou, nous devons franchir la ligne rouge. Laurent Gbagbo doit franchir le rubicon en créant notre monnaie. Les moments qui arrivent seront difficiles voilà pourquoi Laurent Gbagbo doit insister, persister et il doit gagner le combat. C’est ça la révolution. Nous sommes à la dernière bataille, la bataille de Kirina. Il est interdit d’être découragé ou fatigué. Personne ne pourra enlever Laurent Gbagbo », a lancé M. Konaté.