Les cadres, élus et populations de Daloa ont, au cours d’un grand rassemblement tenu samedi dernier dans la cité des Antilopes, apporté leur ferme soutien au président de la République, Laurent Gbagbo et aux Institutions dont il est le garant.
La place de la République de Daloa a abrité le samedi 19 février dernier, un grand meeting de rassemblement et de soutien au président de la République, Laurent Gbagbo. Organisé par tous les cadres, fils et filles ainsi que tous les élus issus de tous les partis politiques, ce rassemblement a été l’occasion pour les populations venues des sous-préfectures de Bédiala, Gboguhet, Gadouan, Zaïbo, Daloa…d’apporter leur soutien franc au président réélu et aux Institutions de la République, dont il est le garant. Justifiant cette grande mobilisation, le maire Pdci de la commune de Daloa, Me Kossougro Sery Emile Christophe, Avocat de l’Etat de Côte d’Ivoire a indiqué qu’il s’agit pour les populations dans toutes leurs composantes de dire à ceux qui doutent de la victoire de Laurent Gbagbo et particulièrement à la communauté internationale que, c’est ce dernier qui est le président de l’Etat de Côte d’Ivoire et de tous les Ivoiriens. «Que la communauté internationale et ses valets sachent ici et maintenant que le président de la République de Côte d’Ivoire se nomme Laurent Gbagbo. Il a été élu par les Ivoiriens», a-t-il dit d’entrée de jeu. Tout en indiquant aux populations de Daloa de ne pas avoir de doute sur cette victoire. C’est pourquoi, il leur demande de se mobiliser plus que jamais à barrer la route à la forfaiture, à l’imposture et au diktat que veulent imposer les suppôts de la France. «Mobilisons-nous pour barrer la route à celui dont nom rime avec crime contre l’humanité», a-t-il dit à ses parents et aux cadres présents à cette cérémonie. Pour le maire, ceux qui tentent de voler la victoire de Laurent Gbagbo veulent tout simplement bâillonner le pays et piller toutes ses ressources. Il en veut pour preuve, les nombreuses sanctions qui ne cessent de pleuvoir sur le président de la République, son gouvernement et plusieurs sociétés d’Etat. Pour lui, ces différentes actions de la France, de la communauté internationale et de Alassane Dramane Ouattara sont des crimes contre l’humanité. A ses parents, il leur a expliqué en tant que Homme de droit, le processus électoral de la Côte d’Ivoire et de ses contours. A Laurent Gbagbo, le maire Pdci de Daloa lui a dit d’être tranquille là où il est. Car, Daloa dans sa composante est avec lui, malgré la mauvaise foi de ceux qui veulent asphyxier le pays. Avant lui, c’est Stéphane Kipré, le président de l’Union des nouvelles générations (Ung) de dire merci aux cadres et autres populations dans leur majorité qui ont œuvré pour la victoire de Gbagbo. Pour le président de l’Ung, le débat électoral n’est plus à l’ordre du jour. Parce que la victoire de Laurent Gbagbo ne souffre d’aucune ambiguïté. Il a tout simplement demandé aux fils et petits enfants de Zokou Gbeuly (le guerrier), qui constituent les Galbawan (peuple de Daloa) de s’apprêter au mouvement de la « révolution ». Un mouvement où la digne Côte d’Ivoire va se débarrasser de la peste qui n’est autre que Alassane Dramane Ouattara. Parce que, indique-t-il, les élus et cadres du pays et particulièrement de Daloa attendent ce moment pour développer leur région et le pays. Le préfet hors classe, Alexandre Bahi Zogbo, au nom du président Sery Gnoleba, doyen des cadres et patron de cette cérémonie, a rappelé à tous ses frères que quelle que soit leur divergence politique, ils doivent chacun d’eux soutenir le président de la République, déclaré vainqueur par la Constitution ivoirienne qu’ils ont tous adoptée. Parce que, ajoute-t-il, l’issue de la résolution de cette crise ne doit en aucun cas se faire en dehors de cette Constitution. L’Honorable Daleba Zozoro, député de la cironscription électorale de Gboguhet, a, dans une motion adressée au président élu, apporté le soutien de tout Daloa. A Nicolas Sarkozy, l’Onu et leurs petits valets de présidents africains, tels que Abdoulaye Wade, Blaise Compaoré et autres, le Parlementaire n’est pas allé du dos de la cuillère pour leur dire d’arrêter leur sale besogne. Le peuple de Daloa, dit-il, condamne l’attitude néo-colonialisme de la France, de l’Union européenne et des pays africains qui œuvrent contre la Côte d’Ivoire. Dr Joseph Kata Kéké, ministre de l’Enseignement supérieur qui avait à ses côtés son collègue chargé des activités extrascolaires, Mme Lago Daleba épouse Louan et plusieurs élus et militants du Pdci, ainsi que ceux du Rdr et du Front populaire ivoirien (Fpi) salué et remercié de vive voix, Me Kossougro Sery Emile, principal initiateur ainsi que tous les élus pour leur prise de position au soutien aux Institutions de la République et de son président Laurent Gbagbo.
Joseph Atoumgbré
Envoyé spécial à Daloa
attjoseph@yahoo.fr
La place de la République de Daloa a abrité le samedi 19 février dernier, un grand meeting de rassemblement et de soutien au président de la République, Laurent Gbagbo. Organisé par tous les cadres, fils et filles ainsi que tous les élus issus de tous les partis politiques, ce rassemblement a été l’occasion pour les populations venues des sous-préfectures de Bédiala, Gboguhet, Gadouan, Zaïbo, Daloa…d’apporter leur soutien franc au président réélu et aux Institutions de la République, dont il est le garant. Justifiant cette grande mobilisation, le maire Pdci de la commune de Daloa, Me Kossougro Sery Emile Christophe, Avocat de l’Etat de Côte d’Ivoire a indiqué qu’il s’agit pour les populations dans toutes leurs composantes de dire à ceux qui doutent de la victoire de Laurent Gbagbo et particulièrement à la communauté internationale que, c’est ce dernier qui est le président de l’Etat de Côte d’Ivoire et de tous les Ivoiriens. «Que la communauté internationale et ses valets sachent ici et maintenant que le président de la République de Côte d’Ivoire se nomme Laurent Gbagbo. Il a été élu par les Ivoiriens», a-t-il dit d’entrée de jeu. Tout en indiquant aux populations de Daloa de ne pas avoir de doute sur cette victoire. C’est pourquoi, il leur demande de se mobiliser plus que jamais à barrer la route à la forfaiture, à l’imposture et au diktat que veulent imposer les suppôts de la France. «Mobilisons-nous pour barrer la route à celui dont nom rime avec crime contre l’humanité», a-t-il dit à ses parents et aux cadres présents à cette cérémonie. Pour le maire, ceux qui tentent de voler la victoire de Laurent Gbagbo veulent tout simplement bâillonner le pays et piller toutes ses ressources. Il en veut pour preuve, les nombreuses sanctions qui ne cessent de pleuvoir sur le président de la République, son gouvernement et plusieurs sociétés d’Etat. Pour lui, ces différentes actions de la France, de la communauté internationale et de Alassane Dramane Ouattara sont des crimes contre l’humanité. A ses parents, il leur a expliqué en tant que Homme de droit, le processus électoral de la Côte d’Ivoire et de ses contours. A Laurent Gbagbo, le maire Pdci de Daloa lui a dit d’être tranquille là où il est. Car, Daloa dans sa composante est avec lui, malgré la mauvaise foi de ceux qui veulent asphyxier le pays. Avant lui, c’est Stéphane Kipré, le président de l’Union des nouvelles générations (Ung) de dire merci aux cadres et autres populations dans leur majorité qui ont œuvré pour la victoire de Gbagbo. Pour le président de l’Ung, le débat électoral n’est plus à l’ordre du jour. Parce que la victoire de Laurent Gbagbo ne souffre d’aucune ambiguïté. Il a tout simplement demandé aux fils et petits enfants de Zokou Gbeuly (le guerrier), qui constituent les Galbawan (peuple de Daloa) de s’apprêter au mouvement de la « révolution ». Un mouvement où la digne Côte d’Ivoire va se débarrasser de la peste qui n’est autre que Alassane Dramane Ouattara. Parce que, indique-t-il, les élus et cadres du pays et particulièrement de Daloa attendent ce moment pour développer leur région et le pays. Le préfet hors classe, Alexandre Bahi Zogbo, au nom du président Sery Gnoleba, doyen des cadres et patron de cette cérémonie, a rappelé à tous ses frères que quelle que soit leur divergence politique, ils doivent chacun d’eux soutenir le président de la République, déclaré vainqueur par la Constitution ivoirienne qu’ils ont tous adoptée. Parce que, ajoute-t-il, l’issue de la résolution de cette crise ne doit en aucun cas se faire en dehors de cette Constitution. L’Honorable Daleba Zozoro, député de la cironscription électorale de Gboguhet, a, dans une motion adressée au président élu, apporté le soutien de tout Daloa. A Nicolas Sarkozy, l’Onu et leurs petits valets de présidents africains, tels que Abdoulaye Wade, Blaise Compaoré et autres, le Parlementaire n’est pas allé du dos de la cuillère pour leur dire d’arrêter leur sale besogne. Le peuple de Daloa, dit-il, condamne l’attitude néo-colonialisme de la France, de l’Union européenne et des pays africains qui œuvrent contre la Côte d’Ivoire. Dr Joseph Kata Kéké, ministre de l’Enseignement supérieur qui avait à ses côtés son collègue chargé des activités extrascolaires, Mme Lago Daleba épouse Louan et plusieurs élus et militants du Pdci, ainsi que ceux du Rdr et du Front populaire ivoirien (Fpi) salué et remercié de vive voix, Me Kossougro Sery Emile, principal initiateur ainsi que tous les élus pour leur prise de position au soutien aux Institutions de la République et de son président Laurent Gbagbo.
Joseph Atoumgbré
Envoyé spécial à Daloa
attjoseph@yahoo.fr