L'Onuci réaffirme son impartialité militaire
Dans un communiqué rendu public, l'Onuci a réaffirmé son impartialité militaire dans le cadre de ses efforts en vue de trouver une issue pacifique à la crise post-électorale dans le pays. « Des allégations venant du camp Gbagbo sur l'assistance militaire de l'Onuci aux ex-belligérants sous forme de transport de troupes armées ou de présence sur son site d'éléments armés non-onusiens sont sans fondement. L'Onuci tient à rassurer le peuple ivoirien qu'elle restera concentrée sur l'exécution des tâches que lui a confiées le Conseil de sécurité dans le respect d'une neutralité stricte sur le plan militaire », dit le communiqué.
LG et le Fpi ramènent la Côte d'Ivoire 19 ans en arrière…
Konaté Navigué, secrétaire national de la section jeune du Fpi, déclarait, vendredi, sur les antennes de la télévision nationale que depuis le 18 février 1992, « on pouvait marcher, on pouvait manifester ». 19 ans plus tard, ce principe démocratique qu'est la liberté d'expression n'est plus qu'un vieux souvenir, avec un Laurent Gbagbo qui, non seulement confisque le pouvoir qu'il a perdu lors de la dernière présidentielle, mais, empêche toute manifestation contre son pouvoir. N'hésitant pas à dresser son armée contre le peuple. La Côte d'Ivoire se retrouve 19 ans en arrière avec le “père de la démocratie'' comme son principal bourreau.
… et roulent Me Hermann Yaméogo dans la farine
Lors de son récent séjour à Abidjan, le président de l'Union nationale pour la démocratie et le progrès (Undd), un parti burkinabé, Me Hermann Yaméogo a discuté avec Laurent Gbagbo et obtenu de lui plus de respect à l'égard du président du Faso, Blaise Compaoré. Pour lui, son message est passé puisque Laurent Gbagbo a promis de prendre des mesures pour rassurer les Burkinabè. Hermann Yaméogo l'apprendra à ses dépens : on ne peut pas faire confiance au camp Gbagbo. Dimanche, les patriotes de l'ex-chef d'Etat ivoirien ont encore manifesté contre Compaoré. Et, même le drapeau burkinabé était absent de ceux des pays composant le panel de l'Ua. Si c'est cela prendre des mesures qui rassurent, Me Yaméogo a été bien servi !
Abidjan comme une ville morte hier
La ville d'Abidjan, poumon économique de la Côte d'Ivoire ressemblait, hier, à une ville morte. Serait-ce le début de la révolution ?
Des Fds agressent Sidi Kagnassi
Le représentant de Sagem sécurité en Côte d'Ivoire, Sidi Kagnassi, a été interpellé et bizuter en pleine rue, hier, par des éléments des Forces de défense et de sécurité, de 12h15 à 13h. Selon des indiscrétions, il s'agirait d'un ordre venant d'une autorité.
Point de blocus à l'Onuci
Des informations selon lesquelles les Fds avaient érigé un blocus au siège de l'Onuci à l'ex-hôtel Sebroko ont circulé, ce week-end à Abidjan. Interrogé sur la question, le porte-parole de la mission onusienne a formellement démenti cette information. Selon lui, il s'agissait plutôt de barrages dressés par les forces de l'ordre pour contrôler les véhicules en circulation dans la zone. Si c'était un ballon d'essai, attention de jouer avec le feu.
L'appel d'un jeune ivoirien à ses camarades
« Chers camarades, notre avenir est entre nos mains. Après dix années, quel bilan tirons-nous des refondateurs sur l'école ivoirienne ? Pis, nous sommes en majorité fils de paysans et l'argent de nos parents a servi à l'achat d'armes pour nous assassiner à chacune de nos nobles revendications. Cette révolution est la nôtre. Si nous ne prenons pas conscience, nous allons prendre notre retraite dans les salons de nos parents, voire dans les cités universitaires. Camarades, ayons en tête que seul notre courage pourra chasser ces vandales. Que Dieu nous aide ! », ainsi s'exprimait un jeune étudiant ivoirien pour interpeller ses amis sur l'attitude à tenir.
Dans un communiqué rendu public, l'Onuci a réaffirmé son impartialité militaire dans le cadre de ses efforts en vue de trouver une issue pacifique à la crise post-électorale dans le pays. « Des allégations venant du camp Gbagbo sur l'assistance militaire de l'Onuci aux ex-belligérants sous forme de transport de troupes armées ou de présence sur son site d'éléments armés non-onusiens sont sans fondement. L'Onuci tient à rassurer le peuple ivoirien qu'elle restera concentrée sur l'exécution des tâches que lui a confiées le Conseil de sécurité dans le respect d'une neutralité stricte sur le plan militaire », dit le communiqué.
LG et le Fpi ramènent la Côte d'Ivoire 19 ans en arrière…
Konaté Navigué, secrétaire national de la section jeune du Fpi, déclarait, vendredi, sur les antennes de la télévision nationale que depuis le 18 février 1992, « on pouvait marcher, on pouvait manifester ». 19 ans plus tard, ce principe démocratique qu'est la liberté d'expression n'est plus qu'un vieux souvenir, avec un Laurent Gbagbo qui, non seulement confisque le pouvoir qu'il a perdu lors de la dernière présidentielle, mais, empêche toute manifestation contre son pouvoir. N'hésitant pas à dresser son armée contre le peuple. La Côte d'Ivoire se retrouve 19 ans en arrière avec le “père de la démocratie'' comme son principal bourreau.
… et roulent Me Hermann Yaméogo dans la farine
Lors de son récent séjour à Abidjan, le président de l'Union nationale pour la démocratie et le progrès (Undd), un parti burkinabé, Me Hermann Yaméogo a discuté avec Laurent Gbagbo et obtenu de lui plus de respect à l'égard du président du Faso, Blaise Compaoré. Pour lui, son message est passé puisque Laurent Gbagbo a promis de prendre des mesures pour rassurer les Burkinabè. Hermann Yaméogo l'apprendra à ses dépens : on ne peut pas faire confiance au camp Gbagbo. Dimanche, les patriotes de l'ex-chef d'Etat ivoirien ont encore manifesté contre Compaoré. Et, même le drapeau burkinabé était absent de ceux des pays composant le panel de l'Ua. Si c'est cela prendre des mesures qui rassurent, Me Yaméogo a été bien servi !
Abidjan comme une ville morte hier
La ville d'Abidjan, poumon économique de la Côte d'Ivoire ressemblait, hier, à une ville morte. Serait-ce le début de la révolution ?
Des Fds agressent Sidi Kagnassi
Le représentant de Sagem sécurité en Côte d'Ivoire, Sidi Kagnassi, a été interpellé et bizuter en pleine rue, hier, par des éléments des Forces de défense et de sécurité, de 12h15 à 13h. Selon des indiscrétions, il s'agirait d'un ordre venant d'une autorité.
Point de blocus à l'Onuci
Des informations selon lesquelles les Fds avaient érigé un blocus au siège de l'Onuci à l'ex-hôtel Sebroko ont circulé, ce week-end à Abidjan. Interrogé sur la question, le porte-parole de la mission onusienne a formellement démenti cette information. Selon lui, il s'agissait plutôt de barrages dressés par les forces de l'ordre pour contrôler les véhicules en circulation dans la zone. Si c'était un ballon d'essai, attention de jouer avec le feu.
L'appel d'un jeune ivoirien à ses camarades
« Chers camarades, notre avenir est entre nos mains. Après dix années, quel bilan tirons-nous des refondateurs sur l'école ivoirienne ? Pis, nous sommes en majorité fils de paysans et l'argent de nos parents a servi à l'achat d'armes pour nous assassiner à chacune de nos nobles revendications. Cette révolution est la nôtre. Si nous ne prenons pas conscience, nous allons prendre notre retraite dans les salons de nos parents, voire dans les cités universitaires. Camarades, ayons en tête que seul notre courage pourra chasser ces vandales. Que Dieu nous aide ! », ainsi s'exprimait un jeune étudiant ivoirien pour interpeller ses amis sur l'attitude à tenir.