La prétendue tuerie des 6 femmes à Abobo continue de livrer ses secrets. Après la vidéo qui est passée en boucle sur plusieurs chaines de télé du monde et qui dévoile tout le plan machiavélique de Ouattara, un témoin oculaire des faits a décidé de rompre le silence. Pour dire la vérité. Celui qui parle fait partie des hommes de main utilisés par Ouattara rien que pour commettre des actes dont l’objectif premier est de salir la Côte d’Ivoire et ses Institutions. Evidemment, il garde l’anonymat étant donné qu’il est encore dans l’antre du loup. «C’est un édifice de montage qu’on a fait pour vous incriminer. Tout a été prémédité. Je vais vous faire comprendre quelque chose. Si c’étaient vraiment des chars qui ont tiré sur ces femmes, elles ne devraient pas se retrouver en un seul lieu. Quand vous écoutez bien, il n’y a aucun bruit de coup de canon. Ce sont plutôt des tirs de rocket et de kalachs. » Révèle l’homme qui démonte point par point le mensonge de Ouattara. Plus loin, il dévoile tout le montage grossier et diabolique qu’il y a eu dans cette affaire. Pour lui, s’il y a eu morts de femmes, elles ont été tuées par des éléments de la rébellion qui étaient dans la marche. Rien que pour salir le régime en place. « Si ces coups des tirs avaient vraiment été faits par ces tirs de chars, comment se fait-il que ces femmes ont été atteintes par derrière ? Alors que ces chars des Fds s’ils étaient là, devaient en principe se trouver en face des marcheurs. En réalité, ce sont 3 femmes qui ont trouvé la mort. Elles ont été des cobails de la pièce macabre. Leurs familles ont reçu de l’argent pour ça. Je demande à l’Etat de vérifier les corps de ces femmes. La vérité éclatera. Les manigances seront mises à nue. » Révèle encore le témoin qui raconte même que la vidéo diffusée par le Rdr est un pur montage auquel il a d’ailleurs participé. « En fait, je ne fais que dire la vérité. Je vous rappelle que c’est mon équipe et moi qui avons été chargés de faire ce montage, comme d’ailleurs tant d’autres pour incriminer Gbagbo.» Fait-il remarquer.
K. S
K. S