Simone, femme cruelle, femme fatale
Sous le charme de sa dizaine d’années,
Il ignorait tout de la perversité des hommes,
Mais une mort sauvage l’a tout de même fauché,
Où il trouvait le seul plaisir qui pour lui valait.
Nulle part où se plaindre du coupable assassin,
Et au lot des endeuillés, une famille vient s’ajouter…
Femme cruelle, Femme fatale,
Crois-tu que les larmes de la mère de l’enfant
Etancheront assez ta soif de pouvoir et d’argent ?
Apprends que de l’âme de cet innocent,
Et de sa chair et de son sang,
Surgira un jour l’arme qui pour toi sera fatale.
Comme des mères, des épouses, elles ont voulu protester,
Réclamer la justice leur a valu trépas.
Unies pour un même combat contre la perfidie,
Elles se sont heurtées à des zombies.
Lassées par les lâches assassinats des leurs,
Les vaillantes ont voulu exprimer leur ras-le-bol Elles n’eurent pas affaire à des humains…
Femme cruelle, Femme fatale,
Crois-tu que les larmes de ces veufs et de ces orphelins
Etancheront assez ta soif de pouvoir et d’argent ?
Apprends que de ces épouses et mères comme tu l’es tout autant,
De ces martyres livrant chair et sang,
Surgira un jour l’arme qui pour toi sera fatale.
Finir avec ceux qui ne vous adulent pas,
Anéantir ceux qui osent vous défier,
Troubler ceux qui ne vous soutiennent pas,
Assassiner ceux que vous n’aimez pas,
Lamentables desseins qui jamais ne s’accompliront …
Et des biens mal acquis, les vôtres plus jamais ne profiteront
Femme cruelle, Femme fatale,
N’as-tu connu les douleurs de l’enfantement ?
Pourquoi donc sous ton regard et avec ta caution,
Mères et enfants devraient-ils périr ?
Epouses et filles subiraient-elles des viols ?
Ah j’oubliais !
C’est pour étancher ta soif de pouvoir et d'argent.
O sang d’innocents
Qui crie vers le Dieu Tout-Puissant,
Sois versé pour la liberté
De la terre qui de toi s’est abreuvée,
Ainsi seront soulagés les cœurs brisés,
De ceux qui dans leur chair et dans leur âme sont blessés.
Emportes dans ton flot toutes les souillures passées,
O sang du sacrifice libérateur,
Pour que naisse et vive à jamais,
Une vraie race d’humains !
Tant il est vrai que Dieu créa l’homme à son image…
Dieu qui en toi disparaît,
Femme cruelle, femme fatale.
Bailly Célestin
Celly82@yahoo.fr
Sous le charme de sa dizaine d’années,
Il ignorait tout de la perversité des hommes,
Mais une mort sauvage l’a tout de même fauché,
Où il trouvait le seul plaisir qui pour lui valait.
Nulle part où se plaindre du coupable assassin,
Et au lot des endeuillés, une famille vient s’ajouter…
Femme cruelle, Femme fatale,
Crois-tu que les larmes de la mère de l’enfant
Etancheront assez ta soif de pouvoir et d’argent ?
Apprends que de l’âme de cet innocent,
Et de sa chair et de son sang,
Surgira un jour l’arme qui pour toi sera fatale.
Comme des mères, des épouses, elles ont voulu protester,
Réclamer la justice leur a valu trépas.
Unies pour un même combat contre la perfidie,
Elles se sont heurtées à des zombies.
Lassées par les lâches assassinats des leurs,
Les vaillantes ont voulu exprimer leur ras-le-bol Elles n’eurent pas affaire à des humains…
Femme cruelle, Femme fatale,
Crois-tu que les larmes de ces veufs et de ces orphelins
Etancheront assez ta soif de pouvoir et d’argent ?
Apprends que de ces épouses et mères comme tu l’es tout autant,
De ces martyres livrant chair et sang,
Surgira un jour l’arme qui pour toi sera fatale.
Finir avec ceux qui ne vous adulent pas,
Anéantir ceux qui osent vous défier,
Troubler ceux qui ne vous soutiennent pas,
Assassiner ceux que vous n’aimez pas,
Lamentables desseins qui jamais ne s’accompliront …
Et des biens mal acquis, les vôtres plus jamais ne profiteront
Femme cruelle, Femme fatale,
N’as-tu connu les douleurs de l’enfantement ?
Pourquoi donc sous ton regard et avec ta caution,
Mères et enfants devraient-ils périr ?
Epouses et filles subiraient-elles des viols ?
Ah j’oubliais !
C’est pour étancher ta soif de pouvoir et d'argent.
O sang d’innocents
Qui crie vers le Dieu Tout-Puissant,
Sois versé pour la liberté
De la terre qui de toi s’est abreuvée,
Ainsi seront soulagés les cœurs brisés,
De ceux qui dans leur chair et dans leur âme sont blessés.
Emportes dans ton flot toutes les souillures passées,
O sang du sacrifice libérateur,
Pour que naisse et vive à jamais,
Une vraie race d’humains !
Tant il est vrai que Dieu créa l’homme à son image…
Dieu qui en toi disparaît,
Femme cruelle, femme fatale.
Bailly Célestin
Celly82@yahoo.fr