A l’ambassade des Usa à Abidjan, Philip Carter III a décidé de faire la chasse aux cadres américains jugés proches de Gbagbo.
Climat de suspicion généralisée à l’ambassade des Usa à Abidjan. Cela, par la faute de Philippe Carter III plus opposant à Gbagbo que diplomate américain. L’homme à la limite du bouffon et friand des scènes clownesques, traine la diplomatie américaine dans les caniveaux d’Abidjan. Dans l’histoire de la présence diplomatique américaine en Côte d’Ivoire, c’est le premier ambassadeur qui se range officiellement dans les rangs d’un parti politique pour régler des comptes à un président qu’il ne porte pas dans son cœur. Ce qui bien entendu, fait grincer les dents parmi le personnel diplomatique très pointilleux sur les questions de la souveraineté des Etats. Carter III voit donc en eux, des espions à la solde de Gbagbo. Il n’y a pas longtemps qu’il a convoqué une réunion à l’ambassade avec l’ensemble de ses collaborateurs. Objectif, dénoncer tous ceux qui informent le président Gbagbo. Il n’a pas eu gain de cause. Mais cela ne l’a pas empêché de régler des comptes. Huit de la douzaine de ses collaborateurs, ont été sommés de quitter la Côte d’Ivoire. Il leur reproche de travailler pour Gbagbo à l’Ambassade. Ces citoyens américains ont déjà commencé à quitter le territoire ivoirien en passant par Bouaké et Ouaga. Dans ses actions de déstabilisation de la Côte d’Ivoire, Philip Carter III se trouve donc désavoué par ses collaborateurs directs. Ce qui montre clairement que dans la crise ivoirienne, il sert du faux à l’administration Obama. Philip Carter III est à fond avec l’Onuci et la Licorne dans la rébellion contre les Institutions ivoiriennes. L’homme étend en plus ses actions terroristes contre certaines structures de l’Etat. Il a conçu une opération terroriste baptisée «frapper au cœur du port ». Cette opération est bien imminente. Le dispositif est déjà en place en des endroits comme l’Ivoire, Sovinci et Getma, des entreprises qui entourent la direction générale du Port. Des mercenaires formés par ses soins, sont alors positionnés dans les environs du port. Leur rôle est très précis ; saccager les installations portuaires. Sans oublier qu’il avait planifié un coup pour assassiner le président Gbagbo s’il se rendait à Addis-Abéba. Un plan qui a été finalement déjoué. Des sources en provenance de la rébellion révèlent en plus que Philip Carter III a récemment parrainé la sortie d’une promotion qu’il a pris le soin de baptiser « Obama ». Il leur a en plus offert des véhicules qui ont été frappés du sigle « UN » pour les faire passer pour des voitures des Nations unies. Ce matériel de guerre est positionné dans les locaux de l’Usine Gonfreville à Bouaké. En attendant le signal pour mener une attaque contre les forces ivoiriennes.
Kiprindé Sonia
Climat de suspicion généralisée à l’ambassade des Usa à Abidjan. Cela, par la faute de Philippe Carter III plus opposant à Gbagbo que diplomate américain. L’homme à la limite du bouffon et friand des scènes clownesques, traine la diplomatie américaine dans les caniveaux d’Abidjan. Dans l’histoire de la présence diplomatique américaine en Côte d’Ivoire, c’est le premier ambassadeur qui se range officiellement dans les rangs d’un parti politique pour régler des comptes à un président qu’il ne porte pas dans son cœur. Ce qui bien entendu, fait grincer les dents parmi le personnel diplomatique très pointilleux sur les questions de la souveraineté des Etats. Carter III voit donc en eux, des espions à la solde de Gbagbo. Il n’y a pas longtemps qu’il a convoqué une réunion à l’ambassade avec l’ensemble de ses collaborateurs. Objectif, dénoncer tous ceux qui informent le président Gbagbo. Il n’a pas eu gain de cause. Mais cela ne l’a pas empêché de régler des comptes. Huit de la douzaine de ses collaborateurs, ont été sommés de quitter la Côte d’Ivoire. Il leur reproche de travailler pour Gbagbo à l’Ambassade. Ces citoyens américains ont déjà commencé à quitter le territoire ivoirien en passant par Bouaké et Ouaga. Dans ses actions de déstabilisation de la Côte d’Ivoire, Philip Carter III se trouve donc désavoué par ses collaborateurs directs. Ce qui montre clairement que dans la crise ivoirienne, il sert du faux à l’administration Obama. Philip Carter III est à fond avec l’Onuci et la Licorne dans la rébellion contre les Institutions ivoiriennes. L’homme étend en plus ses actions terroristes contre certaines structures de l’Etat. Il a conçu une opération terroriste baptisée «frapper au cœur du port ». Cette opération est bien imminente. Le dispositif est déjà en place en des endroits comme l’Ivoire, Sovinci et Getma, des entreprises qui entourent la direction générale du Port. Des mercenaires formés par ses soins, sont alors positionnés dans les environs du port. Leur rôle est très précis ; saccager les installations portuaires. Sans oublier qu’il avait planifié un coup pour assassiner le président Gbagbo s’il se rendait à Addis-Abéba. Un plan qui a été finalement déjoué. Des sources en provenance de la rébellion révèlent en plus que Philip Carter III a récemment parrainé la sortie d’une promotion qu’il a pris le soin de baptiser « Obama ». Il leur a en plus offert des véhicules qui ont été frappés du sigle « UN » pour les faire passer pour des voitures des Nations unies. Ce matériel de guerre est positionné dans les locaux de l’Usine Gonfreville à Bouaké. En attendant le signal pour mener une attaque contre les forces ivoiriennes.
Kiprindé Sonia
