Les Forces de Défense et de Sécurité qui ont observé pour des raisons humanitaires, des moments d’attente face à la barbarie quotidienne des mercenaires de Ouattara depuis quelques temps, ont décidé de passer à l’offensive tant à Abobo qu’à Yopougon. Après avoir minutieusement fourbi leurs armes et planifié avec efficience tactiques et stratégies afin de préserver la vie des populations. Les hommes ont donné la charge victorieusement depuis l’agression de Port-Bouët II par les rebelles. Les résultats de la riposte sont à la mesure des exactions commises par les mercenaires de la Cedeao. De grosses têtes rebelles sont tombées tant à Port-Bouët II qu’à Abobo. Entre autres, ce sont :
- Kambou, chef rebelle de Danané, adjoint d’Eddie com’ zone de Danané ;
- Sinclair de Bouaké ;
- Moussa Losseni de Bouaké
- Moumini, officier capitaine du Mali.
- Sekou, s/officier adjudant-chef du Mali
- Guéi Innocent de Man,
- Kaboré, officier capitaine du Burkina.
- Doumbia, officier capitaine du Baurkina…
Et bien d’autres ont avalé leur arme face à la détermination farouche des Fds d’en finir avec ces chiens de guerre.
L’offensive continue contre les forces rebelles. Et la grande muette s’est refugiée dans un silence assourdissant ; cette fois-ci le mot est employé à bon escient parce que le silence des Fds est devenu vraiment assourdissant. Et la moisson sur le terrain est abondante.
Quand on les titille sur leurs actions, ils nous disent sans pince rire, «Oh rien de nouveau, nous travaillons comme nous en avons l’habitude en pareille circonstance !» Et comme pour les pister est «dangereusement» dangereux, le reporter ou l’investigateur que nous sommes rengaine et procède à un repli qui s’il n’est pas stratégique, demeure salutaire.
Ce qui est à retenir, c’est qu’elles ont fait trembler la terre à Abobo dans la nuit du jeudi à vendredi et continuent de la faire trembler.
Les illusions commencent à se fondre tant chez les hommes de Ouattara que chez les commanditaires. Pas mal de mercenaires cherchent vainement leur chemin de retour. Car l’enfer s’appelle depuis quelques jours, Abobo.
Y demeurer plus longtemps, pour ce qui va arriver maintenant c’est choisir d’avoir connaissance de la facture pro forma de ses obsèques.
L’armée défend la patrie une tâche qui selon la loi est leur rôle, mais dont l’évidence n’est pas toujours pas prouvée. Cependant, les nôtres, les Fds, ont décidé et prouvé qu’ils soutiendront la patrie chancelante contre le torrent de l’insurrection, de l’intrigue et de félonie.
Car l’ennemi dans notre cas semble être un diable aux aspects multiformes, un diable aux multiples tentacules. Ouattara est vraiment un être difficilement définissable. Pour paraphraser des auteurs célèbres, le diable ici est comme St Beuve, est atroce et théâtral, un glaive vivant dira Taine, un forcené ajoutera certainement Barrès.
Honneur donc au courage des Fds, à eux la Patrie reconnaissante. Avec eux, le peuple de Côte d’Ivoire embrassera le génie commun de la patrie contre la jalousie bruyante des factions insurrectionnelles, des séditieux, et des félons.
Ange Marie Ibo Djêgba
- Kambou, chef rebelle de Danané, adjoint d’Eddie com’ zone de Danané ;
- Sinclair de Bouaké ;
- Moussa Losseni de Bouaké
- Moumini, officier capitaine du Mali.
- Sekou, s/officier adjudant-chef du Mali
- Guéi Innocent de Man,
- Kaboré, officier capitaine du Burkina.
- Doumbia, officier capitaine du Baurkina…
Et bien d’autres ont avalé leur arme face à la détermination farouche des Fds d’en finir avec ces chiens de guerre.
L’offensive continue contre les forces rebelles. Et la grande muette s’est refugiée dans un silence assourdissant ; cette fois-ci le mot est employé à bon escient parce que le silence des Fds est devenu vraiment assourdissant. Et la moisson sur le terrain est abondante.
Quand on les titille sur leurs actions, ils nous disent sans pince rire, «Oh rien de nouveau, nous travaillons comme nous en avons l’habitude en pareille circonstance !» Et comme pour les pister est «dangereusement» dangereux, le reporter ou l’investigateur que nous sommes rengaine et procède à un repli qui s’il n’est pas stratégique, demeure salutaire.
Ce qui est à retenir, c’est qu’elles ont fait trembler la terre à Abobo dans la nuit du jeudi à vendredi et continuent de la faire trembler.
Les illusions commencent à se fondre tant chez les hommes de Ouattara que chez les commanditaires. Pas mal de mercenaires cherchent vainement leur chemin de retour. Car l’enfer s’appelle depuis quelques jours, Abobo.
Y demeurer plus longtemps, pour ce qui va arriver maintenant c’est choisir d’avoir connaissance de la facture pro forma de ses obsèques.
L’armée défend la patrie une tâche qui selon la loi est leur rôle, mais dont l’évidence n’est pas toujours pas prouvée. Cependant, les nôtres, les Fds, ont décidé et prouvé qu’ils soutiendront la patrie chancelante contre le torrent de l’insurrection, de l’intrigue et de félonie.
Car l’ennemi dans notre cas semble être un diable aux aspects multiformes, un diable aux multiples tentacules. Ouattara est vraiment un être difficilement définissable. Pour paraphraser des auteurs célèbres, le diable ici est comme St Beuve, est atroce et théâtral, un glaive vivant dira Taine, un forcené ajoutera certainement Barrès.
Honneur donc au courage des Fds, à eux la Patrie reconnaissante. Avec eux, le peuple de Côte d’Ivoire embrassera le génie commun de la patrie contre la jalousie bruyante des factions insurrectionnelles, des séditieux, et des félons.
Ange Marie Ibo Djêgba