Fidèle à sa logique d'aider l'ex-président Laurent Gbagbo à se maintenir au pouvoir, le soit disant sage de la filière café-cacao, Bléoué Aka, se permet à travers un communiqué diffusé par Lmp-Tv d'inviter les syndicats, associations et coopératives à se faire enregistrer au Cns (une institution qui s'appelle désormais le conseil national des sauts de la filière café cacao) muni de leurs documents administratifs et des numéros de téléphones de leurs responsables.
Le Confepraci voudrait rappeler à Bléoué Aka qu'il n'est plus le porte-parole des producteurs de café et de cacao auprès de l'Etat de Cote d'Ivoire incarné depuis le 28 novembre 2010 par son Excellence Alassane Ouattara élu avec plus de 54 % des suffrages exprimés. Par conséquent le Confepraci déclare l'invitation de Bléoué Aka aux organisations professionnelles agricoles à se faire identifier nulle et de nul effet. Pour mémoire, le Confepraci voudrait rappeler que depuis sa création en septembre 2008, le Cns n'a jamais initié une concertation avec les Organisations professionnelles agricoles (Opa) en vue d'élaborer des mécanismes de bonne gestion de la filière.
Au contraire, les soit disant sages n'ont fait que multiplier les actions pour contraindre au silence les responsables des Opa que nous sommes. Pire, Anoh N'guessan Gilbert avait quant à lui juré de semer la pauvreté au sein des coopératives afin de les empêcher de se regrouper pour faire des revendications.
Le résultat est là, les coopératives sont devenues pauvres pendant que les Libanais détiennent le monopole de la commercialisation.
C'est donc pour corriger cette injustice que nous avons accordé massivement nos suffrages au Président Alassane Ouattara qui a un programme alléchant pour la filière café cacao. Nous nous manifesterons jusqu'à ce que le Président soit établi dans ses droits.
C'est donc l'occasion de dire aux quelques producteurs qui continuent de suivre Bléoué Aka dans sa forfaiture de se ressaisir et d'éviter de se faire enrôler pour servir de chair à canon à Laurent Gbagbo qui avance indubitablement vers le tribunal pénal international.
Le Confepraci demande à tous les responsables de syndicats, d'associations et de coopératives de continuer à se battre jusqu'au départ de Laurent Gbagbo du palais présidentiel.
Fait à Abengourou, le 18 mars 2011
Le porte-parole
Kouassi Yao Aka
Le Confepraci voudrait rappeler à Bléoué Aka qu'il n'est plus le porte-parole des producteurs de café et de cacao auprès de l'Etat de Cote d'Ivoire incarné depuis le 28 novembre 2010 par son Excellence Alassane Ouattara élu avec plus de 54 % des suffrages exprimés. Par conséquent le Confepraci déclare l'invitation de Bléoué Aka aux organisations professionnelles agricoles à se faire identifier nulle et de nul effet. Pour mémoire, le Confepraci voudrait rappeler que depuis sa création en septembre 2008, le Cns n'a jamais initié une concertation avec les Organisations professionnelles agricoles (Opa) en vue d'élaborer des mécanismes de bonne gestion de la filière.
Au contraire, les soit disant sages n'ont fait que multiplier les actions pour contraindre au silence les responsables des Opa que nous sommes. Pire, Anoh N'guessan Gilbert avait quant à lui juré de semer la pauvreté au sein des coopératives afin de les empêcher de se regrouper pour faire des revendications.
Le résultat est là, les coopératives sont devenues pauvres pendant que les Libanais détiennent le monopole de la commercialisation.
C'est donc pour corriger cette injustice que nous avons accordé massivement nos suffrages au Président Alassane Ouattara qui a un programme alléchant pour la filière café cacao. Nous nous manifesterons jusqu'à ce que le Président soit établi dans ses droits.
C'est donc l'occasion de dire aux quelques producteurs qui continuent de suivre Bléoué Aka dans sa forfaiture de se ressaisir et d'éviter de se faire enrôler pour servir de chair à canon à Laurent Gbagbo qui avance indubitablement vers le tribunal pénal international.
Le Confepraci demande à tous les responsables de syndicats, d'associations et de coopératives de continuer à se battre jusqu'au départ de Laurent Gbagbo du palais présidentiel.
Fait à Abengourou, le 18 mars 2011
Le porte-parole
Kouassi Yao Aka