Accra, Ghana - Le Bureau Nourriture pour la paix de l'Agence américaine pour le développement international (USAID) a approuvé une aide alimentaire de 12 millions de dollars au Programme alimentaire mondial (PAM) en Côte d'Ivoire et au Liberia, dans le cadre de l'aide humanitaire apportée aux civils affectés par la violence croissante en Côte d'Ivoire. Un communiqué du Département d'Etat américain reçu samedi à Accra indique que 4,5 millions de dollars iraient au PAM en Côte d'Ivoire et les 7,5 millions de dollars restants seraient pour les réfugiés ivoiriens au Liberia.
'Le Programme alimentaire mondial apportera une assistance alimentaire aux populations touchées par la crise en Côte d'Ivoire', informe le communiqué.
En Côte d'Ivoire, le PAM devrait assurer durant 180 jours les besoins alimentaires d'environ 135.000 personnes déplacées et membres communautés d'accueil dans les régions ouest, nord et centre, y compris à Abidjan, la capitale économique, tandis qu'au Liberia, le PAM prendrait en main durant 180 jours les besoins alimentaires d'environ 150 000 réfugiés ivoiriens, et 26.000 membres des communautés d'accueil libériennes.
La crise en Côte d'Ivoire, faisant suite à la polémique née du second tour de l'élection présidentielle de novembre 2010, est à l'origine de l'insécurité dans cet Etat d'Afrique de l'ouest, obligeant des milliers de personnes à fuir.
'Le Programme alimentaire mondial apportera une assistance alimentaire aux populations touchées par la crise en Côte d'Ivoire', informe le communiqué.
En Côte d'Ivoire, le PAM devrait assurer durant 180 jours les besoins alimentaires d'environ 135.000 personnes déplacées et membres communautés d'accueil dans les régions ouest, nord et centre, y compris à Abidjan, la capitale économique, tandis qu'au Liberia, le PAM prendrait en main durant 180 jours les besoins alimentaires d'environ 150 000 réfugiés ivoiriens, et 26.000 membres des communautés d'accueil libériennes.
La crise en Côte d'Ivoire, faisant suite à la polémique née du second tour de l'élection présidentielle de novembre 2010, est à l'origine de l'insécurité dans cet Etat d'Afrique de l'ouest, obligeant des milliers de personnes à fuir.
