R.Dibi Interrogé sur la vie universitaire, le Professeur Atta Koffi, colistier de Mme Bakayoko Ly Ramata, aux dernières élections à la Présidence de l’Université de Cocody, estime qu’il faut reprendre ces élections.
Le Professeur de Géographie soutient que le président élu à la tête de l’Université de Cocody, le professeur Aké N’gbo, est aujourd’hui dans l’incapacité de diriger ladite Institution. « Il faut reprendre l’élection à la Présidence de l’Université de Cocody. Parce que le président que nous avons élu, à partir de son programme, n’a pu continuer son mandat. Le professeur Aké N’gbo a été appelé à d’autres fonctions. Et actuellement, il est dans l’incapacité de conduire la destinée de cette Institution. Nous pensons qu’ont doit revenir à de nouvelles élections et, peut-être, sur de nouvelles bases », a-t-il justifié, tout en reconnaissant que les textes n’ont rien prévu dans le cas d’espèce. Atta Koffi a, par ailleurs, regretté que le monde universitaire n’ait pas été associé à la fermeture des Universités publiques et résidences universitaires. « Cette décision est, à mon sens, unilatérale. On aurait souhaité qu’on consulte les responsables universitaires ». Pour sauver l’année académique, l’ex-vice doyen (de 1995 à 2009) de l’UFR SHS (Sciences de l’Homme et de la Société) pense que la réouverture de ces universités doit se faire au plus grand tard en début du mois de juillet 2011. Atta Koffi a également appelé les nouvelles autorités à se pencher sur les problèmes qui assaillent les Universités publiques. Non sans rappeler que ces Institutions n’ont pas échappé aux pillages qui ont eu lieu pendant les récents affrontements qui ont secoué la Côte d’Ivoire. S’agissant de la place de la Fesci (Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire) au sein de l’école ivoirienne, voici l’avis du professeur de Géographie : « Je suis pour la liberté syndicale. Raison pour laquelle, au lieu de dissoudre la Fesci, je pense qu’il faut la ramener à sa juste proportion. C'est-à-dire au syndicalisme. Et il faut faire en sorte que cette organisation soit cantonnée seulement à l’enseignement supérieur. Et qu’il y ait d’autres syndicats pour le primaire et le secondaire».
Le Professeur de Géographie soutient que le président élu à la tête de l’Université de Cocody, le professeur Aké N’gbo, est aujourd’hui dans l’incapacité de diriger ladite Institution. « Il faut reprendre l’élection à la Présidence de l’Université de Cocody. Parce que le président que nous avons élu, à partir de son programme, n’a pu continuer son mandat. Le professeur Aké N’gbo a été appelé à d’autres fonctions. Et actuellement, il est dans l’incapacité de conduire la destinée de cette Institution. Nous pensons qu’ont doit revenir à de nouvelles élections et, peut-être, sur de nouvelles bases », a-t-il justifié, tout en reconnaissant que les textes n’ont rien prévu dans le cas d’espèce. Atta Koffi a, par ailleurs, regretté que le monde universitaire n’ait pas été associé à la fermeture des Universités publiques et résidences universitaires. « Cette décision est, à mon sens, unilatérale. On aurait souhaité qu’on consulte les responsables universitaires ». Pour sauver l’année académique, l’ex-vice doyen (de 1995 à 2009) de l’UFR SHS (Sciences de l’Homme et de la Société) pense que la réouverture de ces universités doit se faire au plus grand tard en début du mois de juillet 2011. Atta Koffi a également appelé les nouvelles autorités à se pencher sur les problèmes qui assaillent les Universités publiques. Non sans rappeler que ces Institutions n’ont pas échappé aux pillages qui ont eu lieu pendant les récents affrontements qui ont secoué la Côte d’Ivoire. S’agissant de la place de la Fesci (Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire) au sein de l’école ivoirienne, voici l’avis du professeur de Géographie : « Je suis pour la liberté syndicale. Raison pour laquelle, au lieu de dissoudre la Fesci, je pense qu’il faut la ramener à sa juste proportion. C'est-à-dire au syndicalisme. Et il faut faire en sorte que cette organisation soit cantonnée seulement à l’enseignement supérieur. Et qu’il y ait d’autres syndicats pour le primaire et le secondaire».