Odienné, 27 mai (AIP) - Les autorités sanitaires de la région du Denguélé et des zones frontalières guinéennes ont, pour la campagne synchronisée de vaccination contre la poliomyélite qui se tient de vendredi à lundi, adopté un plan stratégique commun au terme d’une réunion tenue jeudi à Minignan.
Selon le directeur régional de la Santé, Dr. Koffi Zamblé, les stratégies communes mises en place devraient permettre l’exécution efficace de la campagne et ne laisser aucun enfant passer entre les mailles du filet, aux frontières.
Dans la région du Denguélé, l’on estime la population cible de la campagne contre la poliomyélite à 92 260 enfants de zéro à 5 ans.
Cette opération a été précédée par une intense campagne de mobilisation marquée par une réunion d’information et de sensibilisation des chefs et leaders communautaires et ministres des cultes mercredi, des spots sur les radios locales et du porte-à-porte d’agents mobilisateurs.
Après 11 passages, la poliomyélite a refait surface en Côte d’Ivoire dans la région du Bas-Sassandra (sud-ouest), avec cinq cas dont trois confirmés et deux suspects. Une situation qui explique cette compagne car il suffit d’un cas déclaré pour que l’on parle d’épidémie.
Selon le directeur régional de la Santé, Dr. Koffi Zamblé, les stratégies communes mises en place devraient permettre l’exécution efficace de la campagne et ne laisser aucun enfant passer entre les mailles du filet, aux frontières.
Dans la région du Denguélé, l’on estime la population cible de la campagne contre la poliomyélite à 92 260 enfants de zéro à 5 ans.
Cette opération a été précédée par une intense campagne de mobilisation marquée par une réunion d’information et de sensibilisation des chefs et leaders communautaires et ministres des cultes mercredi, des spots sur les radios locales et du porte-à-porte d’agents mobilisateurs.
Après 11 passages, la poliomyélite a refait surface en Côte d’Ivoire dans la région du Bas-Sassandra (sud-ouest), avec cinq cas dont trois confirmés et deux suspects. Une situation qui explique cette compagne car il suffit d’un cas déclaré pour que l’on parle d’épidémie.