Zuénoula – La réunion de restitution des résultats de la campagne de vaccination contre la fièvre jaune qui s’est déroulée du 13 au 19 mai 2011 dans le département de Zuénoula a révélé un taux de couverture vaccinale de 83,3% en deçà du taux national qui est de 95%.
Pour le directeur départemental de la Santé, Dr Brou Kouakou, plusieurs facteurs, notamment la situation sociopolitique qui ont obligé des populations à trouver refuge en brousse et dans les champs de peur des représailles, la rumeur selon la quelle le vaccin contre la fièvre jaune est périmé et le début des travaux champêtres, expliquent ce faible taux de couverture.
A ces facteurs, a-t-il ajouté, des considérations d’ordre politique auraient poussé certains habitants du département à refuser de se faire vacciner.
Pour amener les populations du département de Zuénoula à adhérer dorénavant à ces genres de campagne, des recommandations ont été faites. Il s’agit de l’augmentation du nombre d’équipes, de l’acquisition d’un local adapté pour la formation des agents vaccinateurs et superviseurs, de même que la mise à disposition à temps des ressources financières et surtout matérielles comme la rupture des cartes de vaccination constatée au cours de cette campagne.
(AIP)
Pour le directeur départemental de la Santé, Dr Brou Kouakou, plusieurs facteurs, notamment la situation sociopolitique qui ont obligé des populations à trouver refuge en brousse et dans les champs de peur des représailles, la rumeur selon la quelle le vaccin contre la fièvre jaune est périmé et le début des travaux champêtres, expliquent ce faible taux de couverture.
A ces facteurs, a-t-il ajouté, des considérations d’ordre politique auraient poussé certains habitants du département à refuser de se faire vacciner.
Pour amener les populations du département de Zuénoula à adhérer dorénavant à ces genres de campagne, des recommandations ont été faites. Il s’agit de l’augmentation du nombre d’équipes, de l’acquisition d’un local adapté pour la formation des agents vaccinateurs et superviseurs, de même que la mise à disposition à temps des ressources financières et surtout matérielles comme la rupture des cartes de vaccination constatée au cours de cette campagne.
(AIP)
