A l’initiative de l’AJFD (Association des Jeunes Filles de Djibi), Karamoko Yayoro, président du Rjr (Rassemblement des jeunes républicains), s’est rendu le dimanche 29 mai à Djibi village en terre Abbey pour semer la graine de la réconciliation.
Sous l’impulsion de l’AJFD, autochtones et allogènes de Djibi village ont fumé ensemble le calumet de la paix, dimanche 29 mai 2011. Pour la présidente Borah Awa, cette association est un pont entre Abbey, natifs du village et Malinké. Parrain de cet événement, Karamoko Yayoro a dit sa satisfaction de voir les Ivoiriens se réconcilier sous la bannière d’un pays unique et d’un même Président. « Merci parce que Djibi a compris l’essentiel. Il faut se parler et se réconcilier. Mais, c’est seulement dans la paix que cela sera possible. Il faut pardonner les fautes des uns et des autres. Il faut pardonner à ceux qui vous ont offensés». Puis celui-ci de les exhorter à ne pas se faire justice, mais à s’en remettre plutôt à la justice ivoirienne. « Comme l’a dit le Président de la République, le pardon n’exclut pas la justice. Il ne faut pas se faire justice soi-même. Si vous êtes agressé par quelqu’un, il faut le conduire à la justice. Nous voulons un Etat moderne pour la Côte d’Ivoire. A partir de Djibi, la réconciliation nationale est devenue une réalité ». Et le président du Rjdp, d’inviter les cadres, militants et sympathisants de La Majorité Présidentielle (LMP) à abandonner leurs anciennes positions. Car estime t-il, ce sont elles qui nous « ont conduit à la guerre ». Avant de plaider pour la tolérance des uns envers les autres en vue d’aller à la paix. « Que chacun ait le comportement qu’il faut pour que nous cicatrisions ensemble nos plaies. Que les cadres de LMP nous aident à oublier tout ce que nous avons subi », a-t-il conclu. Avant lui, Kennedy Idriss Touré, adjoint au maire d’Abobo et le président d’honneur de l’AJFD, Ohichi Roger, ont exhorté les populations de Djibi village, à « vivre ensemble ». C’était en présence de la notabilité Abbey et des chefs religieux de la communauté musulmane de Djibi.
A Dedi
Sous l’impulsion de l’AJFD, autochtones et allogènes de Djibi village ont fumé ensemble le calumet de la paix, dimanche 29 mai 2011. Pour la présidente Borah Awa, cette association est un pont entre Abbey, natifs du village et Malinké. Parrain de cet événement, Karamoko Yayoro a dit sa satisfaction de voir les Ivoiriens se réconcilier sous la bannière d’un pays unique et d’un même Président. « Merci parce que Djibi a compris l’essentiel. Il faut se parler et se réconcilier. Mais, c’est seulement dans la paix que cela sera possible. Il faut pardonner les fautes des uns et des autres. Il faut pardonner à ceux qui vous ont offensés». Puis celui-ci de les exhorter à ne pas se faire justice, mais à s’en remettre plutôt à la justice ivoirienne. « Comme l’a dit le Président de la République, le pardon n’exclut pas la justice. Il ne faut pas se faire justice soi-même. Si vous êtes agressé par quelqu’un, il faut le conduire à la justice. Nous voulons un Etat moderne pour la Côte d’Ivoire. A partir de Djibi, la réconciliation nationale est devenue une réalité ». Et le président du Rjdp, d’inviter les cadres, militants et sympathisants de La Majorité Présidentielle (LMP) à abandonner leurs anciennes positions. Car estime t-il, ce sont elles qui nous « ont conduit à la guerre ». Avant de plaider pour la tolérance des uns envers les autres en vue d’aller à la paix. « Que chacun ait le comportement qu’il faut pour que nous cicatrisions ensemble nos plaies. Que les cadres de LMP nous aident à oublier tout ce que nous avons subi », a-t-il conclu. Avant lui, Kennedy Idriss Touré, adjoint au maire d’Abobo et le président d’honneur de l’AJFD, Ohichi Roger, ont exhorté les populations de Djibi village, à « vivre ensemble ». C’était en présence de la notabilité Abbey et des chefs religieux de la communauté musulmane de Djibi.
A Dedi