Mère Theresa est d’origine yougoslave de la Macédoine. De son vrai nom à l’état civil, elle s’appelait Gonxha Bojaxhiu. Cette femme aimait s’habiller à l’indienne, a été lauréate du Prix Nobel de la paix en 1979. Dans sa vie, Mère Theresa s’est consacrée aux pauvres. Déjà à 18 ans, après sa formation dans l’ordre catholique des sœurs de notre dame en Yougoslavie, Mère Theresa avait le sentiment d’être appelée par Dieu, au service des autres. Mère Theresa, s’était ensuite retrouvée en Inde où elle avait créée sa propre congrégation de bienfaisance. Durant toute sa vie, Mère Theresa s’est donnée une mission du «don de soi» pour le bonheur des autres. Plus de 100 pays avaient sollicité particulièrement Mère Theresa. Et à New-York, aux Etats-Unis, Mère Theresa avait construit des dispensaires, des écoles, des léproseries. J’ai rencontré Mère Theresa à Madagascar en 1997, où j’étais invité aux jeux de la Francophonie, pour la conférence des ministres des sports d’Afrique Francophone. Mère Theresa, avait rendu visite aux malades du sida. J’ai vu Mère Theresa, femme d’une petite taille, habillée à l’indienne applaudie par la population d’Antananarive, la capitale malgache. Mère Theresa avait une force : elle était admirée, aussi bien par les chrétiens, que par les musulmans. Décédée il y a une quinzaine d’années, Mère Theresa avait été proposée, par le défunt Jean Paul II à une béatification, au titre de missionnaire de la charité. Pour ceux qui ne le savent pas, Mère Theresa est décédée à l’âge de 87 ans. Vous voulez savoir, si j’étais aux obsèques de Mère Theresa? J’avais bien voulu, pour y matérialiser la dernière image de Mère Theresa, que j’avais rencontrée à Madagascar. A mon avis, Mère Theresa n’aura pas de difficultés d’accès au Paradis. Parce que Mère Theresa a lutté toute sa vie pour les pauvres, et n’a laissé aucun doute sur son amour pour Dieu.
Ben Ismaël
Ben Ismaël