Dix-sept (17) personnalités du FPI, du Lmp et du camp Gbagbo, qui avaient été arrêtées avec Laurent Gbagbo dans le bunker de Cocody le 11 avril, ont été relâchées samedi, par les autorités ivoiriennes. Pour diverses raisons. Elles sont sorties de l`hôtel "la Nouvelle Pergola" où elles étaient sous surveillance de l`ONUCI et des Frci
Il s`agit de Yanon Yapo, membre du gouvernement Aké NGbo comme ministre de la Justice, libéré pour cause de maladie ; De Sébastien Dano Djédjé, Michel Amani Nguessan qui s`y étaient rendus pour leur propre sécurité, libérés parce que n`ayant pas été mis aux arrêts ; de Odette Lohourougnon, présidente des femmes du Fpi, député et activiste, souffrant `un mal très avancé ; de Dorothée Djakoré (membre de la cellule de prières), Yéhiri Valérie (professeur à la retraite et membre de cellule de prières), libérées parce que pas concernées par les procédures ; de Kili Angélique qui s`y est rendue pour des raisons personnelles aux côtés d`Affi. Affi n`étant plus là, elle a été libérée ; de Kacou Rolande Agnès, la dame de compagnie de Simone Gbagbo, libérée parce que pas très concernée par les procédures ; de Gnamien Léonce Chantal et Yasmine Magoné, toutes deux journalistes stagiaires, pas concernées par les procédures ; de Ahipaud Djékou Bertine, évangéliste prophétesse, et Djolo Bi Za, pasteur, eux aussi pas concernés ; de Vanié Bi Tiékoura Michel qui avait été pris pour Kien Charlemagne, l`homme (le coupeur de courant), l`erreur ayant été reconnue, il a été libéré ; de Sam l`Africain, Koné Largaton et Kima Emile, des leaders de la galaxie patriotique cooptés par le ministre Konaté Sidiki. Leur rôle gênant désormais la police, ils ont été libérés ; de Obodou Marcelline, la secrétaire particulière de Laurent Gbagbo qui a des problèmes d`yeux et qui a été libérée
Ces dix-sept personnes ont quitté samedi l`hôtel "La nouvelle Pergola", à Abidjan, a déclaré le ministre de la Justice Jeannot Ahoussou Kouadio. Le ministre a toutefois refusé de parler de "libération", assurant que "la majorité" des personnalités sorties de cet hôtel n`étaient pas visées par des assignations à résidence et avaient sollicité "la protection de l`Etat", craignant pour leur sécurité après la chute de M. Gbagbo à l`issue de dix jours de guerre dans Abidjan.
Eddy PEHE
Il s`agit de Yanon Yapo, membre du gouvernement Aké NGbo comme ministre de la Justice, libéré pour cause de maladie ; De Sébastien Dano Djédjé, Michel Amani Nguessan qui s`y étaient rendus pour leur propre sécurité, libérés parce que n`ayant pas été mis aux arrêts ; de Odette Lohourougnon, présidente des femmes du Fpi, député et activiste, souffrant `un mal très avancé ; de Dorothée Djakoré (membre de la cellule de prières), Yéhiri Valérie (professeur à la retraite et membre de cellule de prières), libérées parce que pas concernées par les procédures ; de Kili Angélique qui s`y est rendue pour des raisons personnelles aux côtés d`Affi. Affi n`étant plus là, elle a été libérée ; de Kacou Rolande Agnès, la dame de compagnie de Simone Gbagbo, libérée parce que pas très concernée par les procédures ; de Gnamien Léonce Chantal et Yasmine Magoné, toutes deux journalistes stagiaires, pas concernées par les procédures ; de Ahipaud Djékou Bertine, évangéliste prophétesse, et Djolo Bi Za, pasteur, eux aussi pas concernés ; de Vanié Bi Tiékoura Michel qui avait été pris pour Kien Charlemagne, l`homme (le coupeur de courant), l`erreur ayant été reconnue, il a été libéré ; de Sam l`Africain, Koné Largaton et Kima Emile, des leaders de la galaxie patriotique cooptés par le ministre Konaté Sidiki. Leur rôle gênant désormais la police, ils ont été libérés ; de Obodou Marcelline, la secrétaire particulière de Laurent Gbagbo qui a des problèmes d`yeux et qui a été libérée
Ces dix-sept personnes ont quitté samedi l`hôtel "La nouvelle Pergola", à Abidjan, a déclaré le ministre de la Justice Jeannot Ahoussou Kouadio. Le ministre a toutefois refusé de parler de "libération", assurant que "la majorité" des personnalités sorties de cet hôtel n`étaient pas visées par des assignations à résidence et avaient sollicité "la protection de l`Etat", craignant pour leur sécurité après la chute de M. Gbagbo à l`issue de dix jours de guerre dans Abidjan.
Eddy PEHE