Un séminaire sur la participation des médias et de la société civile au renforcement de la cohésion sociale, organisé par l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire, s’est ouvert, hier, à Grand-Bassam.
Les assises sur l’engagement des médias et de la société civile sur le renforcement de la cohésion sociale et la réconciliation nationale, initiées par l’Onuci ont débuté hier à Grand-Bassam. Occasion pour Hamadoun Touré, porte-parole de la mission onusienne, d’inviter les Ivoiriens à la culture de la réconciliation.
«L’avenir de la Côte d’Ivoire dépendra fortement de la capacité de gouverner, de se réconcilier les uns avec les autres », c’est ce qui ressort, hier à Grand-Bassam, des propos du porte-parole de l’Onuci représentant le Sg de l’Onu à l’ouverture des assises portant sur l’engagement des medias et de la société civile des régions des lagunes et du Sud-Comoé sur le renforcement de la cohésion sociale et la réconciliation. Selon le porte-parole de l’Onuci, en deux jours, il sera question pour les séminaristes de consacrer leurs énergies et leurs talents à renforcer la cohésion sociale et à retrouver la réconciliation nationale de sorte à recoudre le tissu social qui a failli être abîmé pour toujours en Côte d’Ivoire lors de la crise.
De l’avis du porte-parole de l’Onuci, la cohésion sociale et la réconciliation nationale sont des besoins pressants, importants de cette période post-crise. Il était donc essentiel pour l’Onuci d’initier cette rencontre avec les faiseurs d’opinion et des leaders d’opinion pour, selon lui, asseoir une harmonieuse alliance. Dans la mesure où les médias donnent l’information et la société civile, elle, explique. Le directeur de l’information publique juge qu’il était « très important qu’il y ait un échange entre les deux groupes fondamentaux de toute nation ». Afin que les populations soient bien préparées aux tâches urgentes qui nous attendent tous. Car, dira-t-il « la réconciliation doit être l’habitude que nous devons tous avoir au cours des prochaines semaines, des prochains mois voire des prochaines années ». Les tâches urgentes, selon lui, portent sur des échéances politiques, militaires, sociales qui nous interpellent tous en ce moment. Aussi est-il important que les séminaristes se les approprient ainsi que l’Onuci. Pour qu’ensemble, ils observent une halte pour voir là où le travail avait été laissé. Et là où il faut aller pour que la paix revienne définitivement dans le pays. Il mentionne que cette rencontre de Grand-Bassam qui s’inscrit dans le cadre d’une série de séminaires, devra conduire l’Onuci à travers les régions du pays dans les 10 prochains jours. Cette mission est, pour l’Onuci, l’accompagnement des Ivoiriens pour que la cohésion sociale soit une réalité. Il a dit la disponibilité permanente de l’Onuci par la voix du représentant spécial du Secrétaire général des Nations-Unies dans tous les domaines notamment les défis d’ordres militaires, sécuritaires, législatifs et de développement. Ainsi que du soutien de la communauté internationale aux côtés de la Côte d’Ivoire.
Emmanuelle Kanga à Grand-Bassam
Les assises sur l’engagement des médias et de la société civile sur le renforcement de la cohésion sociale et la réconciliation nationale, initiées par l’Onuci ont débuté hier à Grand-Bassam. Occasion pour Hamadoun Touré, porte-parole de la mission onusienne, d’inviter les Ivoiriens à la culture de la réconciliation.
«L’avenir de la Côte d’Ivoire dépendra fortement de la capacité de gouverner, de se réconcilier les uns avec les autres », c’est ce qui ressort, hier à Grand-Bassam, des propos du porte-parole de l’Onuci représentant le Sg de l’Onu à l’ouverture des assises portant sur l’engagement des medias et de la société civile des régions des lagunes et du Sud-Comoé sur le renforcement de la cohésion sociale et la réconciliation. Selon le porte-parole de l’Onuci, en deux jours, il sera question pour les séminaristes de consacrer leurs énergies et leurs talents à renforcer la cohésion sociale et à retrouver la réconciliation nationale de sorte à recoudre le tissu social qui a failli être abîmé pour toujours en Côte d’Ivoire lors de la crise.
De l’avis du porte-parole de l’Onuci, la cohésion sociale et la réconciliation nationale sont des besoins pressants, importants de cette période post-crise. Il était donc essentiel pour l’Onuci d’initier cette rencontre avec les faiseurs d’opinion et des leaders d’opinion pour, selon lui, asseoir une harmonieuse alliance. Dans la mesure où les médias donnent l’information et la société civile, elle, explique. Le directeur de l’information publique juge qu’il était « très important qu’il y ait un échange entre les deux groupes fondamentaux de toute nation ». Afin que les populations soient bien préparées aux tâches urgentes qui nous attendent tous. Car, dira-t-il « la réconciliation doit être l’habitude que nous devons tous avoir au cours des prochaines semaines, des prochains mois voire des prochaines années ». Les tâches urgentes, selon lui, portent sur des échéances politiques, militaires, sociales qui nous interpellent tous en ce moment. Aussi est-il important que les séminaristes se les approprient ainsi que l’Onuci. Pour qu’ensemble, ils observent une halte pour voir là où le travail avait été laissé. Et là où il faut aller pour que la paix revienne définitivement dans le pays. Il mentionne que cette rencontre de Grand-Bassam qui s’inscrit dans le cadre d’une série de séminaires, devra conduire l’Onuci à travers les régions du pays dans les 10 prochains jours. Cette mission est, pour l’Onuci, l’accompagnement des Ivoiriens pour que la cohésion sociale soit une réalité. Il a dit la disponibilité permanente de l’Onuci par la voix du représentant spécial du Secrétaire général des Nations-Unies dans tous les domaines notamment les défis d’ordres militaires, sécuritaires, législatifs et de développement. Ainsi que du soutien de la communauté internationale aux côtés de la Côte d’Ivoire.
Emmanuelle Kanga à Grand-Bassam
