Abidjan – Le ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandaman, a réitéré, jeudi, une « invitation solennelle et fraternelle de retour dans notre pays » pour « une grande et nouvelle caravane nationale de réconciliation » aux artistes de toute ressource encore en exil.
L’AIP n’a obtenu aucun chiffre du nombre d’artistes encore exilés. Maurice Bandaman assure qu’il a déjà rencontré ceux en Belgique et en France. Certains, comme Diakaël Liadé ou Aïcha Koné sont revenus et ont apporté leur contribution à la réconciliation. Le « King », Gadji Céli, veut réintégrer son domicile en préalable, tandis que Serge Kassi vient de produire « Allô Duékoué ».
« Une fois rentrés, en communion avec l’ensemble de la grande famille des artistes, des femmes et hommes de culture, nous lancerons une grande et nouvelle caravane nationale de réconciliation », promet le ministre Bandaman sans annoncer de date.
Mais « Oui, nous, artistes, femmes et hommes de culture devons être les fers-de lance de la véritable réconciliation de notre pays. Notre art, chanter, écrire, peindre, filmer, danser… est de source divine et en lien intrinsèque à l’amour, la fraternité, la paix », a-t-il poursuivi.
A son avis, « la circonstance de cette amnistie des compatriotes dans les liens de la justice est une heureuse occasion pour inviter avec ferveur, fraternité et amour les artistes ivoiriens en exil à rentrer dans notre cher et beau pays », d'autant plus que nul n'entre eux n'est poursuivi ou menacé d'arrestation.
Le président Alassane Ouattara avait annoncé le 06 août, dans un message à la Nation, une Ordonnance pour l’amnistie d’opposants dans les liens de la justice depuis le dénouement de la crise post-électorale de 2010-2011, le dit ayant été fait depuis lors.
Cette amnistie concerne quelque 800 justiciables dont l’ex-Première dame, Simone Gbagbo, les ministres Lida Kouassi et Assoa Adou, leaders du Front populaire ivoirien (FPI) ou encore du collaborateur du président de l’Assemblée nationale, Soro Guillaume, Kamaraté Souleymane dit « Soul To Soul », un acte qui a recueilli de Maurice Bandaman « l’admiration la plus émue et la plus solennelle » pour « son sens élevé du devoir ».
(AIP)
aaa/fmo
L’AIP n’a obtenu aucun chiffre du nombre d’artistes encore exilés. Maurice Bandaman assure qu’il a déjà rencontré ceux en Belgique et en France. Certains, comme Diakaël Liadé ou Aïcha Koné sont revenus et ont apporté leur contribution à la réconciliation. Le « King », Gadji Céli, veut réintégrer son domicile en préalable, tandis que Serge Kassi vient de produire « Allô Duékoué ».
« Une fois rentrés, en communion avec l’ensemble de la grande famille des artistes, des femmes et hommes de culture, nous lancerons une grande et nouvelle caravane nationale de réconciliation », promet le ministre Bandaman sans annoncer de date.
Mais « Oui, nous, artistes, femmes et hommes de culture devons être les fers-de lance de la véritable réconciliation de notre pays. Notre art, chanter, écrire, peindre, filmer, danser… est de source divine et en lien intrinsèque à l’amour, la fraternité, la paix », a-t-il poursuivi.
A son avis, « la circonstance de cette amnistie des compatriotes dans les liens de la justice est une heureuse occasion pour inviter avec ferveur, fraternité et amour les artistes ivoiriens en exil à rentrer dans notre cher et beau pays », d'autant plus que nul n'entre eux n'est poursuivi ou menacé d'arrestation.
Le président Alassane Ouattara avait annoncé le 06 août, dans un message à la Nation, une Ordonnance pour l’amnistie d’opposants dans les liens de la justice depuis le dénouement de la crise post-électorale de 2010-2011, le dit ayant été fait depuis lors.
Cette amnistie concerne quelque 800 justiciables dont l’ex-Première dame, Simone Gbagbo, les ministres Lida Kouassi et Assoa Adou, leaders du Front populaire ivoirien (FPI) ou encore du collaborateur du président de l’Assemblée nationale, Soro Guillaume, Kamaraté Souleymane dit « Soul To Soul », un acte qui a recueilli de Maurice Bandaman « l’admiration la plus émue et la plus solennelle » pour « son sens élevé du devoir ».
(AIP)
aaa/fmo