Les victimes du régime de Gbagbo ont décidé de se faire entendre. Réunies au sein du collectif des victimes de la barbarie de Gbagbo (Covibag), elles ont organisé samedi dernier, une cérémonie de remerciement à la Force Licorne à Port-Bouet.
Incarcérées pendant la crise postélectorale, ces personnes disent avoir eu la vie sauve grâce aux forces impartiales et plus singulièrement à la Force Licorne. D`où le sens de cette cérémonie de remerciement.
Les victimes ont à l`occasion rendue un hommage appuyé à la France pour ses actions en faveur de la liberté et de la démocratie en Côte d`Ivoire. «Nous remercions la Licorne qui à travers la résolution des Nations Unies a préservé des vies humaines, en faisant respecter la volonté du peuple ivoirien.», s`est réjoui Sanogo Mamadou, le président de la Covibag. Les victimes ont annoncé pour les prochains jours un sit-in devant la préfecture de police pour exiger que leurs tortionnaires soient punis. «Nous avons été torturés pendant que nous étions détenus à la préfecture de police, des femmes étaient constamment violées par des policiers. Nous voulons que ces derniers soient livrés à la police», a martelé le président de la Covibag.
Zana Coulibaly
Incarcérées pendant la crise postélectorale, ces personnes disent avoir eu la vie sauve grâce aux forces impartiales et plus singulièrement à la Force Licorne. D`où le sens de cette cérémonie de remerciement.
Les victimes ont à l`occasion rendue un hommage appuyé à la France pour ses actions en faveur de la liberté et de la démocratie en Côte d`Ivoire. «Nous remercions la Licorne qui à travers la résolution des Nations Unies a préservé des vies humaines, en faisant respecter la volonté du peuple ivoirien.», s`est réjoui Sanogo Mamadou, le président de la Covibag. Les victimes ont annoncé pour les prochains jours un sit-in devant la préfecture de police pour exiger que leurs tortionnaires soient punis. «Nous avons été torturés pendant que nous étions détenus à la préfecture de police, des femmes étaient constamment violées par des policiers. Nous voulons que ces derniers soient livrés à la police», a martelé le président de la Covibag.
Zana Coulibaly