L’espoir fait vivre dit-on. Mais il y a des espérances qui frisent l’obsession et l’illumination. Près de deux (02) mois après la chute de Laurent Gbagbo, la majorité de ses militants espèrent encore à un revirement de la situation. C’est pratiquement, les yeux rivés au ciel qu’ils attendent impatiemment le jugement céleste qui délivrera leur leader de l’étau du processus judiciaire ivoirien. En d’autres mots, c’est à y perdre son latin. Mais au-delà de cette attitude peu ordinaire, il faut comprendre que pendant dix (10) ans, ces personnes ont été victimes des matraquages médiatiques et des propagandes mensongers de la Refondation. L’ancien Président Laurent Gbagbo n’était pas un homme ordinaire comme le commun des mortels ivoiriens.
Le « woudy » de Mama était un démiurge en mission pour sortir les
pauvres « petits » ivoiriens du sous développement. Même le premier
Président ivoirien, père de l’indépendance, Félix Houphouët-Boigny,
n’aurait pas fait mieux en matière de culte de la personnalité. Un
croché dans les parlements et agoras, pendant le magister des
refondations, pouvait instruire sur l’intensité de la propagande et
du culte de la personnalité. Tout était fait pour que les militants
de LMP pensent et croient que seul l’historien détenait les clés du
bonheur des ivoiriens. Et que personne d’autre que lui ne pouvait les
conduire au nirvana.
A ce niveau, marquons une pause. Il est vrai qu’une trop forte
propagande a ceci de vrai qu’elle peut transformer des hommes en
animaux violents ou aussi inoffensifs qu’un mouton qu’on mènerait à
l’abattoir. Certes, l’homme est un animal … mais un animal politique
comme le précise Aristote. Nous allons plus loin. Il est dit dans le
livre de Genèse que l’Eternel, dans son amour infini, fit l’homme à
son image. Il le fit « homme à son image et à sa ressemblance ». Ceux
qui ont toujours pensé que ce verset biblique arguait que les hommes
ont les mêmes traits que Dieu, ont toujours fait fausse route. A la
ressemblance de Dieu stipule que Yahvé nous gratifié des qualités qui
sont siens. Aux nombres de celles-ci, nous pouvons citer : «
l’intelligence, la conscience, le libre arbitre, le désir, … » C’est
en cela que nous ressemblons à notre créateur.
Un retour impossible
Si donc l’intelligence est un don de Dieu, alors tous les hommes en
sont munis. Certes à un degré moindre. Mais tous les hommes sont
intelligents à leur manière. De la même manière, l’intelligence de
l’homme de labeur lui permet d’exceller dans son domaine de
prédilection, c’est de cette même manière que l’intelligence de
l’homme politique, du leader d’opinion, et du médecin leur permettent
aussi d’exceller dans leur domaine. Si donc ce postulat est acceptée
de tous, une question reste et demeure cependant. Qu’est-ce qui ne va
pas chez les militants du FPI ? Comment comprendre une telle
obsession frisant l’animalité ?
Il faudrait certainement leur faire comprendre que la messe est
définitivement dite pour Laurent Gbagbo. Si toute autorité émane de
Dieu. Il faut alors comprendre que c’est le même Dieu qui lui a retiré
son appui le soir après le second tour de l’élection Présidentielle.
Et comme Saul, le premier d’Israël et Pharaon, roi d’Egypte au temps
du prophète Moïse, dans la bible, c’est le même Dieu qui a endurci
son cœur, après sa défaite, pour que sa chute soit retentissante et
humiliante. Alors sur le plan spirituel les choses sont
définitivement bouclées pour lui.
Au plan sécuritaire, plus rien, ou mieux, aucune armée et groupe de
mercenaires ne peut faire basculer les choses. Les forces (FRCI, la
Licorne et les casques bleus), en présence sur le terrain,
déverseront un déluge de feu sur tous ces apprentis putschistes.
Alors que les militants du FPI arrêtent de se faire peur à eux-mêmes.
La messe est dite. Et plus rien ne fera basculer les ce nouveau
contexte politique. Il serait que tous les ivoiriens se donnent la
main pour aider le nouveau locataire du palais présidentiel pour
sortir le pays du gouffre au fond duquel Laurent Gbagbo l’a plongé
pendant ses dix (10) ans de magister. Les militants du parti à la rose
gagneraient à l’aider à préparer sa défense pour son procès. Et ça
c’est bel et bien une réalité que plus rien ne peut empêcher.
Source : Ivoireactu.net
Le « woudy » de Mama était un démiurge en mission pour sortir les
pauvres « petits » ivoiriens du sous développement. Même le premier
Président ivoirien, père de l’indépendance, Félix Houphouët-Boigny,
n’aurait pas fait mieux en matière de culte de la personnalité. Un
croché dans les parlements et agoras, pendant le magister des
refondations, pouvait instruire sur l’intensité de la propagande et
du culte de la personnalité. Tout était fait pour que les militants
de LMP pensent et croient que seul l’historien détenait les clés du
bonheur des ivoiriens. Et que personne d’autre que lui ne pouvait les
conduire au nirvana.
A ce niveau, marquons une pause. Il est vrai qu’une trop forte
propagande a ceci de vrai qu’elle peut transformer des hommes en
animaux violents ou aussi inoffensifs qu’un mouton qu’on mènerait à
l’abattoir. Certes, l’homme est un animal … mais un animal politique
comme le précise Aristote. Nous allons plus loin. Il est dit dans le
livre de Genèse que l’Eternel, dans son amour infini, fit l’homme à
son image. Il le fit « homme à son image et à sa ressemblance ». Ceux
qui ont toujours pensé que ce verset biblique arguait que les hommes
ont les mêmes traits que Dieu, ont toujours fait fausse route. A la
ressemblance de Dieu stipule que Yahvé nous gratifié des qualités qui
sont siens. Aux nombres de celles-ci, nous pouvons citer : «
l’intelligence, la conscience, le libre arbitre, le désir, … » C’est
en cela que nous ressemblons à notre créateur.
Un retour impossible
Si donc l’intelligence est un don de Dieu, alors tous les hommes en
sont munis. Certes à un degré moindre. Mais tous les hommes sont
intelligents à leur manière. De la même manière, l’intelligence de
l’homme de labeur lui permet d’exceller dans son domaine de
prédilection, c’est de cette même manière que l’intelligence de
l’homme politique, du leader d’opinion, et du médecin leur permettent
aussi d’exceller dans leur domaine. Si donc ce postulat est acceptée
de tous, une question reste et demeure cependant. Qu’est-ce qui ne va
pas chez les militants du FPI ? Comment comprendre une telle
obsession frisant l’animalité ?
Il faudrait certainement leur faire comprendre que la messe est
définitivement dite pour Laurent Gbagbo. Si toute autorité émane de
Dieu. Il faut alors comprendre que c’est le même Dieu qui lui a retiré
son appui le soir après le second tour de l’élection Présidentielle.
Et comme Saul, le premier d’Israël et Pharaon, roi d’Egypte au temps
du prophète Moïse, dans la bible, c’est le même Dieu qui a endurci
son cœur, après sa défaite, pour que sa chute soit retentissante et
humiliante. Alors sur le plan spirituel les choses sont
définitivement bouclées pour lui.
Au plan sécuritaire, plus rien, ou mieux, aucune armée et groupe de
mercenaires ne peut faire basculer les choses. Les forces (FRCI, la
Licorne et les casques bleus), en présence sur le terrain,
déverseront un déluge de feu sur tous ces apprentis putschistes.
Alors que les militants du FPI arrêtent de se faire peur à eux-mêmes.
La messe est dite. Et plus rien ne fera basculer les ce nouveau
contexte politique. Il serait que tous les ivoiriens se donnent la
main pour aider le nouveau locataire du palais présidentiel pour
sortir le pays du gouffre au fond duquel Laurent Gbagbo l’a plongé
pendant ses dix (10) ans de magister. Les militants du parti à la rose
gagneraient à l’aider à préparer sa défense pour son procès. Et ça
c’est bel et bien une réalité que plus rien ne peut empêcher.
Source : Ivoireactu.net
