Chérif Ousmane, commandant du groupement tactique de la commune de Yopougon, veut réagir aux accusations de certaines organisations des droits de l’Homme. Il dit attendre le moment propice.
Le commandant Chérif Ousmane, à la tête du groupement tactique de Yopougon, a des choses à dire. Surtout au sujet des allégations de violations des droits de l’Homme rapportées par des organisations telles que Human rights watch, qui l’accusent nommément. Mais, il pense que ce n’est pas le moment de se prononcer mais, que cela ne saurait tarder. « Les gens souffrent un peu que Chérif Ousmane dans ses propos ne revienne pas sur les questions de Human rights watch et des droits de l’Homme. Souffrez que je n’en parle pas parce que le moment viendra où on mènera ce débat », a affirmé, hier, à Abobo, le commandant de la compagnie guépard. Il était l’invité de l’Ong Justice et actions sociales (Jas) et la section du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et pour la paix (Rhdp) d’Abobo-Anador, dans le cadre d’une journée consacrée à l’apaisement et à la réconciliation. Dans l’organisation au niveau du groupement tactique, a-t-il indiqué, c’est le commandant Koné Gaoussou (Djah Gao) qui a en charge tout ce qui concerne la question sécuritaire dans la commune d’Abobo. Il a encouragé les populations à l’approcher et lui soumettre leurs préoccupations au plan sécuritaire. « N’hésitez pas à aller le voir, à lui faire des propositions, à l’appeler. Il est au camp commando d’Abobo », a-t-il incité. Pour lui, ce sont les populations qui peuvent aider les militaires à résoudre l’équation complexe qui est celle de la sécurité. Reconnaissant qu’« il faut reconstruire la Côte d’Ivoire dans la quiétude avec la sécurité. Cela ne peut se faire sans vous ». « Avocat des enfants », selon ses propres mots, Chérif Ousmane a insisté sur la nécessité d’envoyer les tout-petits à l’école. Car, « il croit que la Côte d’Ivoire de demain c’est d’abord eux ». Dans son intervention, Kambouté Mamadou, président de l’Ong Jas, s’est appesanti sur le besoin de défense des droits des citoyens. Citant le président américain Barack Obama, il a souhaité qu’on « parle de la façon qui soigne et non celle qui blesse ». La cérémonie qui a vu la participation de plusieurs artistes-chanteurs s’est terminée par un bal populaire.
Sanou A.
Le commandant Chérif Ousmane, à la tête du groupement tactique de Yopougon, a des choses à dire. Surtout au sujet des allégations de violations des droits de l’Homme rapportées par des organisations telles que Human rights watch, qui l’accusent nommément. Mais, il pense que ce n’est pas le moment de se prononcer mais, que cela ne saurait tarder. « Les gens souffrent un peu que Chérif Ousmane dans ses propos ne revienne pas sur les questions de Human rights watch et des droits de l’Homme. Souffrez que je n’en parle pas parce que le moment viendra où on mènera ce débat », a affirmé, hier, à Abobo, le commandant de la compagnie guépard. Il était l’invité de l’Ong Justice et actions sociales (Jas) et la section du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et pour la paix (Rhdp) d’Abobo-Anador, dans le cadre d’une journée consacrée à l’apaisement et à la réconciliation. Dans l’organisation au niveau du groupement tactique, a-t-il indiqué, c’est le commandant Koné Gaoussou (Djah Gao) qui a en charge tout ce qui concerne la question sécuritaire dans la commune d’Abobo. Il a encouragé les populations à l’approcher et lui soumettre leurs préoccupations au plan sécuritaire. « N’hésitez pas à aller le voir, à lui faire des propositions, à l’appeler. Il est au camp commando d’Abobo », a-t-il incité. Pour lui, ce sont les populations qui peuvent aider les militaires à résoudre l’équation complexe qui est celle de la sécurité. Reconnaissant qu’« il faut reconstruire la Côte d’Ivoire dans la quiétude avec la sécurité. Cela ne peut se faire sans vous ». « Avocat des enfants », selon ses propres mots, Chérif Ousmane a insisté sur la nécessité d’envoyer les tout-petits à l’école. Car, « il croit que la Côte d’Ivoire de demain c’est d’abord eux ». Dans son intervention, Kambouté Mamadou, président de l’Ong Jas, s’est appesanti sur le besoin de défense des droits des citoyens. Citant le président américain Barack Obama, il a souhaité qu’on « parle de la façon qui soigne et non celle qui blesse ». La cérémonie qui a vu la participation de plusieurs artistes-chanteurs s’est terminée par un bal populaire.
Sanou A.