Grand-Bassam, le 22 juin 2011. Le séminaire organisé par l’Opération des Nations Unies pour la Côte d’Ivoire (ONUCI) sur « l’engagement des leaders d’opinion pour le renforcement de la cohésion sociale et la réconciliation nationale », à l’attention des leaders d’opinion des régions des Lagunes et du Sud-Comoé, s’est achevé mardi 21 juin 2011 à Grand-Bassam.
Pendant deux jours les participants ont pu réfléchir sur quatre sous-thèmes : « L’éducation à la culture de la paix et promotion de la cohésion sociale », « Rôles et responsabilités des leaders d’opinion dans le renforcement de la cohésion sociale et la réconciliation », « Médias et cohésion sociale », « Techniques de communication pour le changement de comportement pour la cohésion sociale et la réconciliation ».
Le chef de délégation de l’ONUCI, Kenneth Blackman, Porte-parole adjoint du Bureau de l’Information, a assuré les leaders d’opinion que les Nations Unies, en se fondant sur les recommandations issues de ces échanges, continueront d’accompagner les Ivoiriens sur la route de la paix. Il a rappelé que toutes les initiatives en faveur de la consolidation de la paix, trouveront une oreille attentive auprès de l’ONUCI qui a le devoir d’appuyer les organisations de la société civile et les médias dans leurs efforts de réconciliation. « Ce séminaire nous a édifiés sur votre volonté pressante de créer de nouvelles passerelles à la promotion de la cohésion sociale et la réconciliation nationale », a indiqué M. Blackman, en rappelant que ces deux notions constituaient la clé de voûte de l’indispensable reconstruction économique. Il a précisé qu’un cadre de suivi serait mis en place pour orienter le partenariat entre l’ONUCI et les leaders d’opinion.
Le Préfet de Grand-Bassam, Bernard Douabou Gninia, qui a procédé à la clôture des travaux, a transmis la reconnaissance du Gouvernement ivoirien à l’ONUCI pour tout ce qu’elle entreprend en Côte d’Ivoire. Il a également salué la pertinence du thème. M. Gninia a émis le vœu que ces leaders véhiculent et perpétuent la formation reçue et qui entre parfaitement dans le souhait de réconciliation et de cohésion sociale, telle que voulue par le Gouvernement. « Au sortir d’ici, n’attendez pas un seul instant. La population a besoin de vous. Vous demandez à l’ONUCI de vous accompagner, mais à contrario, il faudrait que vous sachiez présenter vos projets », a-t-il conseillé.
Le représentant du Maire de Grand Bassam, Louis de Gonzague Koffi Aboua, également participant a remercié l’ONUCI pour l’appui apporté avant, pendant et après la crise postélectorale.
Auparavant, les séminaristes qui avaient travaillé en atelier toute la journée ont fait la synthèse de leurs travaux et mentionné lors du rapport final leurs recommandations. Celles-ci s’adressent d’une part à l’ONUCI avec laquelle la société civile et les médias souhaitent renforcer le partenariat et d’autre part aux ONG pour solliciter un appui dans leurs campagnes de sensibilisation des populations en faveur d’un environnement postélectoral apaisé. Dans les recommandations adressées à la société civile, les participants ont souhaité l’instauration d’une plate-forme de collaboration entre les mass-médias et les ONG en vue d’une meilleure promotion de la cohésion sociale et de la réconciliation nationale, ainsi que la constitution en un réseau d’échanges pour le suivi et la mise en œuvre des résolutions du séminaire sur le terrain
A la suite, le porte-parole des leaders d’opinion présents à Grand-Bassam, Nanan Dodo Ndepo Didace, a exprimé la reconnaissance de ses collègues à l’ONUCI pour leur avoir permis de réfléchir sur la mise en œuvre de ce thème d’actualité. Il a souhaité que les résultats issus de cette réflexion soient mis en œuvre assez rapidement avec l’appui logistique et technique de l’ONUCI. Il a assuré que pour leur part, les participants joueront leur partition. « Nous nous engageons à œuvrer à la promotion et au maintien de la paix pour la bonne gestion des messages qui sont un moyen d’affirmation de soi »
Les participants, quant à eux, se disent satisfaits de cette rencontre. Hadja Sidibé, estime qu’en tant que journaliste, ce séminaire très édifiant, lui a permis de renforcer ses capacités. « Je sais que la presse a été beaucoup indexée dans cette crise et après cette formation je crois que le regard va changer et que les écrits vont aller dans le sens de la cohésion sociale et les erreurs du passé ne seront plus jamais répétées », a-t-elle dit.
Pour sa part, un autre participant, membre de la société civile, Yao Aristide se dit heureux d’avoir participé à ce séminaire. « Ces deux jours nous avons appris à cohabiter ensemble, à apprendre des techniques de coexistence pacifique entre nos différentes communautés et je pense qu’en retournant dans nos différentes associations, nous pourrons leur communiquer ce message là pour avoir un pays vraiment apaisé ».
Pendant deux jours les participants ont pu réfléchir sur quatre sous-thèmes : « L’éducation à la culture de la paix et promotion de la cohésion sociale », « Rôles et responsabilités des leaders d’opinion dans le renforcement de la cohésion sociale et la réconciliation », « Médias et cohésion sociale », « Techniques de communication pour le changement de comportement pour la cohésion sociale et la réconciliation ».
Le chef de délégation de l’ONUCI, Kenneth Blackman, Porte-parole adjoint du Bureau de l’Information, a assuré les leaders d’opinion que les Nations Unies, en se fondant sur les recommandations issues de ces échanges, continueront d’accompagner les Ivoiriens sur la route de la paix. Il a rappelé que toutes les initiatives en faveur de la consolidation de la paix, trouveront une oreille attentive auprès de l’ONUCI qui a le devoir d’appuyer les organisations de la société civile et les médias dans leurs efforts de réconciliation. « Ce séminaire nous a édifiés sur votre volonté pressante de créer de nouvelles passerelles à la promotion de la cohésion sociale et la réconciliation nationale », a indiqué M. Blackman, en rappelant que ces deux notions constituaient la clé de voûte de l’indispensable reconstruction économique. Il a précisé qu’un cadre de suivi serait mis en place pour orienter le partenariat entre l’ONUCI et les leaders d’opinion.
Le Préfet de Grand-Bassam, Bernard Douabou Gninia, qui a procédé à la clôture des travaux, a transmis la reconnaissance du Gouvernement ivoirien à l’ONUCI pour tout ce qu’elle entreprend en Côte d’Ivoire. Il a également salué la pertinence du thème. M. Gninia a émis le vœu que ces leaders véhiculent et perpétuent la formation reçue et qui entre parfaitement dans le souhait de réconciliation et de cohésion sociale, telle que voulue par le Gouvernement. « Au sortir d’ici, n’attendez pas un seul instant. La population a besoin de vous. Vous demandez à l’ONUCI de vous accompagner, mais à contrario, il faudrait que vous sachiez présenter vos projets », a-t-il conseillé.
Le représentant du Maire de Grand Bassam, Louis de Gonzague Koffi Aboua, également participant a remercié l’ONUCI pour l’appui apporté avant, pendant et après la crise postélectorale.
Auparavant, les séminaristes qui avaient travaillé en atelier toute la journée ont fait la synthèse de leurs travaux et mentionné lors du rapport final leurs recommandations. Celles-ci s’adressent d’une part à l’ONUCI avec laquelle la société civile et les médias souhaitent renforcer le partenariat et d’autre part aux ONG pour solliciter un appui dans leurs campagnes de sensibilisation des populations en faveur d’un environnement postélectoral apaisé. Dans les recommandations adressées à la société civile, les participants ont souhaité l’instauration d’une plate-forme de collaboration entre les mass-médias et les ONG en vue d’une meilleure promotion de la cohésion sociale et de la réconciliation nationale, ainsi que la constitution en un réseau d’échanges pour le suivi et la mise en œuvre des résolutions du séminaire sur le terrain
A la suite, le porte-parole des leaders d’opinion présents à Grand-Bassam, Nanan Dodo Ndepo Didace, a exprimé la reconnaissance de ses collègues à l’ONUCI pour leur avoir permis de réfléchir sur la mise en œuvre de ce thème d’actualité. Il a souhaité que les résultats issus de cette réflexion soient mis en œuvre assez rapidement avec l’appui logistique et technique de l’ONUCI. Il a assuré que pour leur part, les participants joueront leur partition. « Nous nous engageons à œuvrer à la promotion et au maintien de la paix pour la bonne gestion des messages qui sont un moyen d’affirmation de soi »
Les participants, quant à eux, se disent satisfaits de cette rencontre. Hadja Sidibé, estime qu’en tant que journaliste, ce séminaire très édifiant, lui a permis de renforcer ses capacités. « Je sais que la presse a été beaucoup indexée dans cette crise et après cette formation je crois que le regard va changer et que les écrits vont aller dans le sens de la cohésion sociale et les erreurs du passé ne seront plus jamais répétées », a-t-elle dit.
Pour sa part, un autre participant, membre de la société civile, Yao Aristide se dit heureux d’avoir participé à ce séminaire. « Ces deux jours nous avons appris à cohabiter ensemble, à apprendre des techniques de coexistence pacifique entre nos différentes communautés et je pense qu’en retournant dans nos différentes associations, nous pourrons leur communiquer ce message là pour avoir un pays vraiment apaisé ».