Pour l’instant, le Rassemblement des républicains (Rdr) de Man semble ne pas souffrir du débauchage de plusieurs membres de la direction. Cependant, Tia André, cadre du Rdr dans la région des Montagnes, met en garde ses camarades contre ce qu’il appelle le « syndrome Fpi ».
« Nous sommes très bien organisés ici. Pour l’instant, nous n’avons aucun cadre nommé au sommet de l’Etat ou au gouvernement, par exemple. Ce qui fait que nos instances dirigeantes locales sont toutes en place avec toutes nos autorités officielles. Nous ne sommes donc pas perturbés », explique Tia André. Cependant, il craint l’affaiblissement du parti dans des régions où de nombreux cadres occupent de hautes fonctions dans l’appareil étatique. « Il faut tout faire pour éviter le syndrome Fpi (Front populaire ivoirien, Ndlr). Voilà un parti qui une fois au pouvoir, tous les cadres se sont rués vers la présidence, et du coup, la base a été laissée-pour-compte. Le résultat est que le Fpi n’est pas passé premier aux législatives. Et, au municipal, il a été troisième après le Rdr et le Pdci-Rda (Parti démocratique de Côte d’Ivoire, Ndlr). Nous ne devons pas tomber dans ces erreurs », fait-il remarquer. La nomination des cadres du Rassemblement des républicains (Rdr) à de haut poste de responsabilité au sommet de l’Etat n’a pas de répercussion sur le fonctionnement du parti à Man. C’est ce que nous fait croire Tia André, cadre du parti présidentiel dans la cité des Montagnes. De son côté, le secrétaire départemental adjoint et permanent du parti estime qu’aucune nomination ne saurait altérer le fonctionnement du parti au niveau du département de Man. « Tous les cadres ici ont des adjoints dynamiques et motivés pour maintenir la flamme militante. Même s’il arrivait que notre secrétaire départemental, par exemple, soit nommé à une haute fonction, il y a des cadres dynamiques et compétents qui pourront assurer la relève avec efficacité et détermination», a assuré Yahadja Kourouma. Selon lui, le Rassemblement des républicains est à la tâche pour faire en sorte que le parti d’Alassane Ouattara reste fort pour les combats à venir.
Kindo Oussény à Man
« Nous sommes très bien organisés ici. Pour l’instant, nous n’avons aucun cadre nommé au sommet de l’Etat ou au gouvernement, par exemple. Ce qui fait que nos instances dirigeantes locales sont toutes en place avec toutes nos autorités officielles. Nous ne sommes donc pas perturbés », explique Tia André. Cependant, il craint l’affaiblissement du parti dans des régions où de nombreux cadres occupent de hautes fonctions dans l’appareil étatique. « Il faut tout faire pour éviter le syndrome Fpi (Front populaire ivoirien, Ndlr). Voilà un parti qui une fois au pouvoir, tous les cadres se sont rués vers la présidence, et du coup, la base a été laissée-pour-compte. Le résultat est que le Fpi n’est pas passé premier aux législatives. Et, au municipal, il a été troisième après le Rdr et le Pdci-Rda (Parti démocratique de Côte d’Ivoire, Ndlr). Nous ne devons pas tomber dans ces erreurs », fait-il remarquer. La nomination des cadres du Rassemblement des républicains (Rdr) à de haut poste de responsabilité au sommet de l’Etat n’a pas de répercussion sur le fonctionnement du parti à Man. C’est ce que nous fait croire Tia André, cadre du parti présidentiel dans la cité des Montagnes. De son côté, le secrétaire départemental adjoint et permanent du parti estime qu’aucune nomination ne saurait altérer le fonctionnement du parti au niveau du département de Man. « Tous les cadres ici ont des adjoints dynamiques et motivés pour maintenir la flamme militante. Même s’il arrivait que notre secrétaire départemental, par exemple, soit nommé à une haute fonction, il y a des cadres dynamiques et compétents qui pourront assurer la relève avec efficacité et détermination», a assuré Yahadja Kourouma. Selon lui, le Rassemblement des républicains est à la tâche pour faire en sorte que le parti d’Alassane Ouattara reste fort pour les combats à venir.
Kindo Oussény à Man