Abidjan, 29 juin– La délégation de la Cour pénale internationale (CPI) venue en Côte d’Ivoire lundi, a rencontré mercredi le Premier ministre Guillaume Soro pour échanger de questions relatives à la mission.
Au sortir de l’audience, la procureure adjointe de la CPI, Fatou Bensouda a noté que M. Soro a assuré l’institution de la coopération du gouvernement ivoirien. Elle a relevé avoir également « parlé du chemin que la Côte d’Ivoire a choisi pour avoir la justice, ici, après les élections ».
La délégation de la CPI s’est par la suite rendue à l’ambassade des États-Unis, où elle a eu, à huis clos, une réunion avec d’autres diplomates accrédités en Côte d’Ivoire.
Fatou Bensouda et ses collaborateurs ont également rendu visite à la ministre de la Famille, de la Femme et de l’Enfant. La première responsable de ce département ministériel, Raymonde Coffie Goudou a noté que son cabinet va essayer de regrouper les femmes et les enfants ayant subi des exactions pendant la crise postélectorale, en vue de les aider à porter plainte.
La mission de Mme Bensouda a pris fin mercredi, mais ses huit collaborateurs restent en Côte d’Ivoire jusqu’au 06 juillet, afin d’évaluer les crimes de guerre et crimes contre l’humanité perpétrés dans le pays pendant la crise postélectorale. Ce, avant l’ouverture d’une enquête officielle par le procureur de la CPI, Luis Moreno-Ocampo.
(AIP)
cmas
Au sortir de l’audience, la procureure adjointe de la CPI, Fatou Bensouda a noté que M. Soro a assuré l’institution de la coopération du gouvernement ivoirien. Elle a relevé avoir également « parlé du chemin que la Côte d’Ivoire a choisi pour avoir la justice, ici, après les élections ».
La délégation de la CPI s’est par la suite rendue à l’ambassade des États-Unis, où elle a eu, à huis clos, une réunion avec d’autres diplomates accrédités en Côte d’Ivoire.
Fatou Bensouda et ses collaborateurs ont également rendu visite à la ministre de la Famille, de la Femme et de l’Enfant. La première responsable de ce département ministériel, Raymonde Coffie Goudou a noté que son cabinet va essayer de regrouper les femmes et les enfants ayant subi des exactions pendant la crise postélectorale, en vue de les aider à porter plainte.
La mission de Mme Bensouda a pris fin mercredi, mais ses huit collaborateurs restent en Côte d’Ivoire jusqu’au 06 juillet, afin d’évaluer les crimes de guerre et crimes contre l’humanité perpétrés dans le pays pendant la crise postélectorale. Ce, avant l’ouverture d’une enquête officielle par le procureur de la CPI, Luis Moreno-Ocampo.
(AIP)
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