L’Agence ivoirienne de coopération francophone (Aicf) a accueilli, hier, sa nouvelle patronne. Constance Yaï a reçu au siège de l’institution aux II Plateaux Vallons, les charges liées
à sa fonction des mains de Koffi Kossonou qui en a assuré l’intérim. L’ancien locataire des lieux lui a remis les documents cadres de l’Aicf. Les dossiers portant création de la structure et les actes de partenariat et de coopération. Le partant s’est dit confiant dans la capacité du successeur à présider efficacement aux destinées de l’Agence. «Elle est connue de tous les Ivoiriens pour le travail abattu au bénéfice de la gent féminine et des Ivoiriennes.
Le personnel de l’Aicf a de la chance d’avoir une grande dame pour relever les challenges de l’agence», a-t-il indiqué. La promue a assuré ses collaborateurs de sa disponibilité à travailler en bonne intelligence. «Il n’y aura pas de chasse aux sorcières», a-t-elle rassuré, en appelant chacun au respect de la hiérarchie. Pour l’ancienne ministre, l’Aicf gagnerait à se poser des questions sur son importance institutionnelle. «De nombreux Ivoiriens
pensent que la francophonie est une simple affaire de culture.
Elle va au-delà», a indiqué Constance Yaï. L’ancienne responsable de l’Association pour la défense du droit des femmes (Aidf) a rendu hommage à ses prédécesseurs et a
réitéré sa volonté de développer les chantiers entamés.
M’Bah Aboubakar
à sa fonction des mains de Koffi Kossonou qui en a assuré l’intérim. L’ancien locataire des lieux lui a remis les documents cadres de l’Aicf. Les dossiers portant création de la structure et les actes de partenariat et de coopération. Le partant s’est dit confiant dans la capacité du successeur à présider efficacement aux destinées de l’Agence. «Elle est connue de tous les Ivoiriens pour le travail abattu au bénéfice de la gent féminine et des Ivoiriennes.
Le personnel de l’Aicf a de la chance d’avoir une grande dame pour relever les challenges de l’agence», a-t-il indiqué. La promue a assuré ses collaborateurs de sa disponibilité à travailler en bonne intelligence. «Il n’y aura pas de chasse aux sorcières», a-t-elle rassuré, en appelant chacun au respect de la hiérarchie. Pour l’ancienne ministre, l’Aicf gagnerait à se poser des questions sur son importance institutionnelle. «De nombreux Ivoiriens
pensent que la francophonie est une simple affaire de culture.
Elle va au-delà», a indiqué Constance Yaï. L’ancienne responsable de l’Association pour la défense du droit des femmes (Aidf) a rendu hommage à ses prédécesseurs et a
réitéré sa volonté de développer les chantiers entamés.
M’Bah Aboubakar