Une journée de la réconciliation a été organisée à Adjamé-Bramacoté, le samedi 9 juillet 2011, à l’initiative des Amazones du quartier Peulieuville. Le président du conseil général de Tengrela, par ailleurs, PCA de l’ANARE, a invité les Ivoiriens à s’inspirer de l’exemple de pardon du Président de la République, Alassane Ouattara.
«La réconciliation dont on parle tant, passe d’abord par une sorte de suicide. Il n’est pas évident d’oublier, les plaies sont encore fraîches, mais malgré ces plaies béantes, nous devons apprendre à les panser. Beaucoup de personnes jacassent, mais ADO leur a répondu par un silence des plus parleurs. Il y a eu le charnier de Yopougon, la mère du Président de la République a été torturée, mais ADO a présenté ses tortionnaires comme ses frères. C’était inimaginable, inacceptable, mais nous avons accepté, parce que Alassane Ouattara nous a demandé de le faire. Cela montre qu’il est l’exemple du pardon, le reste ce sont des détails », a souligné M. Koné Tiémoko qui a démontré que le Président de la République ne porte en lui aucun germe de contradiction. « Nous avons été habitués à des chefs pleins de contradictions qui ont été pris en flagrant délit de mensonge et qui disaient « Faites ce que je dis, mais ne faites pas ce que je fais. Alassane Ouattara dit « Faites ce que je dis et faites ce que je fais ». Acceptons ce suicide pour la réconciliation, apprenons à lutter pour dire que l’autre c’est moi-même. Il n’est écrit nulle part dans les Livres Saints qu’il faut rejeter l’autre. Nous devons apprendre à traiter l’autre comme son frère, car c’est ainsi, que nous vivrons en Jésus-Christ, en Mahomet… », a insisté le PCA de l’ANARE. Le délégué communal du RHDP d’Adjamé, Koutouan Jérôme a appelé les acteurs politiques à s’inscrire dans les sillons du Dr Alassane Ouattara. «Il faut éviter de parler de réconciliation du bout des lèvres. Ne trompons pas Alassane Ouattara, parce que nous devons être des boussoles de la réconciliation. Je demande donc aux hommes politiques de se ressaisir », a-t-il souhaité. Représentant le président de la Commission Dialogue, Vérité et Réconciliation, Mme Diomandé Fatou a appelé les Ivoiriens à taire leurs égos et à faire de la réconciliation nationale un sacerdoce, qui permettra à la Côte d’Ivoire de mettre le cap sur son développement.
Olivier D.
«La réconciliation dont on parle tant, passe d’abord par une sorte de suicide. Il n’est pas évident d’oublier, les plaies sont encore fraîches, mais malgré ces plaies béantes, nous devons apprendre à les panser. Beaucoup de personnes jacassent, mais ADO leur a répondu par un silence des plus parleurs. Il y a eu le charnier de Yopougon, la mère du Président de la République a été torturée, mais ADO a présenté ses tortionnaires comme ses frères. C’était inimaginable, inacceptable, mais nous avons accepté, parce que Alassane Ouattara nous a demandé de le faire. Cela montre qu’il est l’exemple du pardon, le reste ce sont des détails », a souligné M. Koné Tiémoko qui a démontré que le Président de la République ne porte en lui aucun germe de contradiction. « Nous avons été habitués à des chefs pleins de contradictions qui ont été pris en flagrant délit de mensonge et qui disaient « Faites ce que je dis, mais ne faites pas ce que je fais. Alassane Ouattara dit « Faites ce que je dis et faites ce que je fais ». Acceptons ce suicide pour la réconciliation, apprenons à lutter pour dire que l’autre c’est moi-même. Il n’est écrit nulle part dans les Livres Saints qu’il faut rejeter l’autre. Nous devons apprendre à traiter l’autre comme son frère, car c’est ainsi, que nous vivrons en Jésus-Christ, en Mahomet… », a insisté le PCA de l’ANARE. Le délégué communal du RHDP d’Adjamé, Koutouan Jérôme a appelé les acteurs politiques à s’inscrire dans les sillons du Dr Alassane Ouattara. «Il faut éviter de parler de réconciliation du bout des lèvres. Ne trompons pas Alassane Ouattara, parce que nous devons être des boussoles de la réconciliation. Je demande donc aux hommes politiques de se ressaisir », a-t-il souhaité. Représentant le président de la Commission Dialogue, Vérité et Réconciliation, Mme Diomandé Fatou a appelé les Ivoiriens à taire leurs égos et à faire de la réconciliation nationale un sacerdoce, qui permettra à la Côte d’Ivoire de mettre le cap sur son développement.
Olivier D.
