La sous-préfecture de Guépahouo, département d’Oumé, a désormais son comité de sensibilisation, d’éveil et de sensibilisation installé lundi par le sous-préfet, Zokou Nadjé.
Composé d’autorités politiques, administratives, religieuses et coutumières ainsi que des représentants des Forces républicaines et de la radio locale, ce comité a pour mission de déceler les foyers de tension et de prôner le pardon et la réconciliation pour une Côte d’Ivoire unie et prospère, a expliqué le sous-préfet lors de la réunion d’installation à la salle de réunions de la sous-préfecture.
Les membres du comité d’éveil, de sensibilisation et de réconciliation, initié par les nouvelles autorités du pays, ne sont pas rémunérés. Ils sont des ambassadeurs de paix, a précisé l’administrateur civil appelant les chefs de villages à collaborer avec les éléments des FRCI afin de récupérer les armes encore cachées dans la circonscription administrative.
Il a enfin appelé ses administrés à retravailler les mentalités pour avoir un souffle nouveau et à accepter la différence au niveau politique, religieux et ethnique. "Ainsi, nous serons plus forts et unis", a conclu le sous-préfet de Guépahouo.
(AIP)
Dl/kp
Composé d’autorités politiques, administratives, religieuses et coutumières ainsi que des représentants des Forces républicaines et de la radio locale, ce comité a pour mission de déceler les foyers de tension et de prôner le pardon et la réconciliation pour une Côte d’Ivoire unie et prospère, a expliqué le sous-préfet lors de la réunion d’installation à la salle de réunions de la sous-préfecture.
Les membres du comité d’éveil, de sensibilisation et de réconciliation, initié par les nouvelles autorités du pays, ne sont pas rémunérés. Ils sont des ambassadeurs de paix, a précisé l’administrateur civil appelant les chefs de villages à collaborer avec les éléments des FRCI afin de récupérer les armes encore cachées dans la circonscription administrative.
Il a enfin appelé ses administrés à retravailler les mentalités pour avoir un souffle nouveau et à accepter la différence au niveau politique, religieux et ethnique. "Ainsi, nous serons plus forts et unis", a conclu le sous-préfet de Guépahouo.
(AIP)
Dl/kp