Secrétaire nationale chargée de la jeunesse féminine du Jrgn (Jeunesse pour la renaissance du grand Nord), Bakayoko Rokia donne ici, les ambitions de sa structure pour le bien-être des femmes du Nord.
Pour elle, ce mouvement vise à aider la jeunesse féminine du Grand Nord à sortir de l’ornière. « Nous allons, promouvoir l’alphabétisation de la jeune fille. Car, le taux de jeunes filles non scolarisés est très élevé au Nord. Nous allons le faire en signant des partenariats avec l’Unesco dans l’optique de scolariser le maximum de jeunes filles. Nous entendons mettre sur pied des coopératives, des Ong, qui permettront aux femmes de s’insérer aisément dans le tissu socioprofessionnel. Nous allons également lutter contre l’excision dans notre région », a-t-elle déclaré. Bakayoko Rokia dit pouvoir compter sur le soutien des cadres et autorités du Nord, pour la réalisation de ces ambitions. La première responsable de la jeunesse féminine du Jrgn, estime que les cadres du Nord n’ont pas assez fait pour leur contrée. «Pour moi, les filles et fils du Nord ont une lourde responsabilité dans les problèmes de notre région. Nos parents préfèrent investir au Sud en abandonnant leur contrée. Aussi, ne mènent-ils pas véritablement des actions pour encourager les opérateurs étrangers à aller investir au Nord», a-t-elle dénoncé. Avant de souligner que leur organisation fera tout, pour avoir la confiance des cadres du Nord en leur faisant toucher du doigt les problèmes des populations de cette région. Bakayoko Rokia s’est également prononcée sur les récents évènements qui ont secoué la Côte d’Ivoire dont plusieurs femmes en ont été victimes. Elle pense qu’une réelle réconciliation après ces douloureux moments passe par la justice. «Nous allons nous organiser pour que justice soit faite. Toutefois, nous allons demander à nos sœurs de tourner le dos à la vengeance et de pardonner. Car, seul le pardon et la réconciliation nationale peuvent aider le Président Alassane Ouattara à mettre en œuvre son programme pour lequel les Ivoiriens l’ont élu . Il faut que dans nos foyers, dans les marchés, nous puissions promouvoir la paix et la réconciliation nationale».
R. Dibi et Krou Patrick
Pour elle, ce mouvement vise à aider la jeunesse féminine du Grand Nord à sortir de l’ornière. « Nous allons, promouvoir l’alphabétisation de la jeune fille. Car, le taux de jeunes filles non scolarisés est très élevé au Nord. Nous allons le faire en signant des partenariats avec l’Unesco dans l’optique de scolariser le maximum de jeunes filles. Nous entendons mettre sur pied des coopératives, des Ong, qui permettront aux femmes de s’insérer aisément dans le tissu socioprofessionnel. Nous allons également lutter contre l’excision dans notre région », a-t-elle déclaré. Bakayoko Rokia dit pouvoir compter sur le soutien des cadres et autorités du Nord, pour la réalisation de ces ambitions. La première responsable de la jeunesse féminine du Jrgn, estime que les cadres du Nord n’ont pas assez fait pour leur contrée. «Pour moi, les filles et fils du Nord ont une lourde responsabilité dans les problèmes de notre région. Nos parents préfèrent investir au Sud en abandonnant leur contrée. Aussi, ne mènent-ils pas véritablement des actions pour encourager les opérateurs étrangers à aller investir au Nord», a-t-elle dénoncé. Avant de souligner que leur organisation fera tout, pour avoir la confiance des cadres du Nord en leur faisant toucher du doigt les problèmes des populations de cette région. Bakayoko Rokia s’est également prononcée sur les récents évènements qui ont secoué la Côte d’Ivoire dont plusieurs femmes en ont été victimes. Elle pense qu’une réelle réconciliation après ces douloureux moments passe par la justice. «Nous allons nous organiser pour que justice soit faite. Toutefois, nous allons demander à nos sœurs de tourner le dos à la vengeance et de pardonner. Car, seul le pardon et la réconciliation nationale peuvent aider le Président Alassane Ouattara à mettre en œuvre son programme pour lequel les Ivoiriens l’ont élu . Il faut que dans nos foyers, dans les marchés, nous puissions promouvoir la paix et la réconciliation nationale».
R. Dibi et Krou Patrick
