Il faut plutôt s’en réjouir. Le ridicule ne tue pas. Sinon, certains de nos compatriotes, notamment les relais de la refondation auraient eu des infortunes. Déboussolés devant les succès politiques, diplomatiques et économiques du nouveau pouvoir, ces gens inventent des choses à pouffer de rire. Leur dernière trouvaille, pour tenter de masquer la déconfiture de leur formation politique, c’est d’affirmer que « c’est la France qui paie les fonctionnaires ivoiriens ». Il faut bien comprendre nos amis socialistes. Leurs dirigeants paient le prix de leurs forfaitures et leur parti est en totale banqueroute. Il leur faut donc créer de faux débats pour meubler le temps. D’où cette grossièreté brandie comme une parole d’Evangile.
Comment peut-on faire un tel discours sans craindre de provoquer l’hilarité des concitoyens.
La Côte d’Ivoire, en dépit des écueils de la vie et des affres de la guerre provoquée par Laurent Gbagbo et ses amis, est un pays assez riche et avec des dirigeants capables, elle est à même de faire face à toutes ses charges. C’est justement parce que les refondateurs n’avaient pas de vision prospective et aucunement de capacités à anticiper sur les préoccupations des populations que le pays a connu une décennie de gâchis. Ils ont dilapidé l’argent de la République dans les armes, les résidences cossues, les véhicules de luxe, les bateaux de plaisance et dans le lucre. Alors que le pays avait besoin de routes, d’hôpitaux, de centres de santé, d’emplois pour les jeunes, de médicaments, eux ont choisi de s’en mettre plein les poches et dans des comptes bancaires à l’extérieur. Si par extraordinaire, la France payait les salaires de nos fonctionnaires, ce qui n’est pas le cas, ce serait donc de leur faute. Et cette situation ouvre bien entendu le procès de leur décennie au pouvoir, fait de gabegie, de prévarication et de prédation du patrimoine national. C’est parce qu’ils ont pillé les caisses que le pays se trouverait bien entendu dans une impasse. C’est donc dire que nos amis de la refondation devraient plutôt avoir le profil bas, pour avoir, pendant dix ans, érigé la mauvaise gouvernance en sport favori. Mais, il ne faut nullement s’en émouvoir. Ces hommes ne connaissent pas la honte.
Comment peut-on faire un tel discours sans craindre de provoquer l’hilarité des concitoyens.
La Côte d’Ivoire, en dépit des écueils de la vie et des affres de la guerre provoquée par Laurent Gbagbo et ses amis, est un pays assez riche et avec des dirigeants capables, elle est à même de faire face à toutes ses charges. C’est justement parce que les refondateurs n’avaient pas de vision prospective et aucunement de capacités à anticiper sur les préoccupations des populations que le pays a connu une décennie de gâchis. Ils ont dilapidé l’argent de la République dans les armes, les résidences cossues, les véhicules de luxe, les bateaux de plaisance et dans le lucre. Alors que le pays avait besoin de routes, d’hôpitaux, de centres de santé, d’emplois pour les jeunes, de médicaments, eux ont choisi de s’en mettre plein les poches et dans des comptes bancaires à l’extérieur. Si par extraordinaire, la France payait les salaires de nos fonctionnaires, ce qui n’est pas le cas, ce serait donc de leur faute. Et cette situation ouvre bien entendu le procès de leur décennie au pouvoir, fait de gabegie, de prévarication et de prédation du patrimoine national. C’est parce qu’ils ont pillé les caisses que le pays se trouverait bien entendu dans une impasse. C’est donc dire que nos amis de la refondation devraient plutôt avoir le profil bas, pour avoir, pendant dix ans, érigé la mauvaise gouvernance en sport favori. Mais, il ne faut nullement s’en émouvoir. Ces hommes ne connaissent pas la honte.