Le département d’Agboville a été lavé de toutes les malédictions proférées durant les campagnes présidentielles. Les chefs du département, avec à leur tête Edi N’Gbesso Louis, le chef des chefs et le ministre de l’Intégration africaine, Adama Bictogo désormais nanan M’bgesso Agbe, ont procédé le samedi à un exorcisme à Erymacoguié, pour conjurer le malheur. Dans l’euphorie des différentes campagnes, des chefs de villages avaient maudit tous les militants du RHDP qui ne voteraient pas pour leurs candidats. Pour les chefs, l’acte condamnable devrait être effacé au plus vite. «Les temps ont changé, il faut changer aussi.
Les populations du département d’Agboville ont décidé d’écrire une nouvelle histoire avec vous. Notre démarche s’inscrit dans un changement de mentalité totale», a indiqué le secrétaire général des chefs d’Agboville, René Boka. Puis d’indiquer à l’endroit du ministre de l’Intégration africaine : «Nous vous avons choisi pour sortir le département des sentiers battus. C’est avec vous que les populations d’Agboville ont décidé de marcher. Vous êtes notre Kanian, notre lumière qui illumine notre horizon. Il vous incombe la responsabilité de réaliser le renouveau d’Agboville», a-t-il déclaré. Le responsable de la jeunesse, celui des cadres et des femmes ont tous abondé dans le même sens. Tous ont souhaité la réouverture de l’usine de Cotivo et la mise en place de microprojets pour les femmes. Le ministre de l’Intégration africaine, Adama Bictogo fait chef de village par le conseil des chefs du département en présence des ministres Anne Ouloto de la Salubrité urbaine et Bandama Maurice de la Culture et de la Francophonie, a apprécié l’initiative des populations. «Je vois encore des gestes de rejet. Ce n’est pas bon. Il existe la faute parce qu’à l’origine il y a la faute. Il faut accepter de se pardonner. Si nous sommes tous ici aujourd’hui, c’est parce que la fraternité a prévalu. Nous ne devons plus avoir des gestes de rejet. Nous devons embrasser ceux qui, hier n’ont pas eu le même avis que nous», a-t-il déclaré. Le ministre de l’intégration Africaine a déploré que des gens vivent encore à cause de la peur. «Ce n’est pas normal qu’après trois mois des gens soient encore dans les brousses. Il faut qu’ils sortent. Je veux vous dire que je n’ai pas envie de voir des parents divisés. Je veux des parents unis. J’ai besoin de vous chers parents unis, j’ai besoin de vous chers frères unis, j’ai besoin de vous chers sœurs unies. Divisés nous ne pourrons rien réussir. C’est ensemble que nous allons changer Agboville», a confié Adama Bictogo alias nanan M’gbesso Agbé. Le ministre a annoncé la mise à disposition de financement avec pour objectif la réduction de la pauvreté chez les femmes et réassurer ses parents sur la réouverture prochaine de l’usine de Cotivo. Il faut rappeler que le conseil départemental des chefs du département d’Agboville compte 101 chefs.
Les populations du département d’Agboville ont décidé d’écrire une nouvelle histoire avec vous. Notre démarche s’inscrit dans un changement de mentalité totale», a indiqué le secrétaire général des chefs d’Agboville, René Boka. Puis d’indiquer à l’endroit du ministre de l’Intégration africaine : «Nous vous avons choisi pour sortir le département des sentiers battus. C’est avec vous que les populations d’Agboville ont décidé de marcher. Vous êtes notre Kanian, notre lumière qui illumine notre horizon. Il vous incombe la responsabilité de réaliser le renouveau d’Agboville», a-t-il déclaré. Le responsable de la jeunesse, celui des cadres et des femmes ont tous abondé dans le même sens. Tous ont souhaité la réouverture de l’usine de Cotivo et la mise en place de microprojets pour les femmes. Le ministre de l’Intégration africaine, Adama Bictogo fait chef de village par le conseil des chefs du département en présence des ministres Anne Ouloto de la Salubrité urbaine et Bandama Maurice de la Culture et de la Francophonie, a apprécié l’initiative des populations. «Je vois encore des gestes de rejet. Ce n’est pas bon. Il existe la faute parce qu’à l’origine il y a la faute. Il faut accepter de se pardonner. Si nous sommes tous ici aujourd’hui, c’est parce que la fraternité a prévalu. Nous ne devons plus avoir des gestes de rejet. Nous devons embrasser ceux qui, hier n’ont pas eu le même avis que nous», a-t-il déclaré. Le ministre de l’intégration Africaine a déploré que des gens vivent encore à cause de la peur. «Ce n’est pas normal qu’après trois mois des gens soient encore dans les brousses. Il faut qu’ils sortent. Je veux vous dire que je n’ai pas envie de voir des parents divisés. Je veux des parents unis. J’ai besoin de vous chers parents unis, j’ai besoin de vous chers frères unis, j’ai besoin de vous chers sœurs unies. Divisés nous ne pourrons rien réussir. C’est ensemble que nous allons changer Agboville», a confié Adama Bictogo alias nanan M’gbesso Agbé. Le ministre a annoncé la mise à disposition de financement avec pour objectif la réduction de la pauvreté chez les femmes et réassurer ses parents sur la réouverture prochaine de l’usine de Cotivo. Il faut rappeler que le conseil départemental des chefs du département d’Agboville compte 101 chefs.
