L’espace Ficgayo, dans la commune de Yopougon, a servi de lieu de prière pour le retour définitif à la paix en Côte d’Ivoire. C’était le samedi 23 juillet dernier à l’initiative du Réseau Ivoirien des Femmes pour la réconciliation (Rifr) en présence du vice-président du Pdci Rda, Doukouré Moustapha et de Mme Charles Konan Banny.
Cette journée oecuménique organisée par le Rifr a réuni toutes les confessions religieuses. Celles-ci ont prié pour la paix en Côte d’Ivoire. Le curé de la paroisse de Kocumbo, le Père Jean Konan Delafosse qui a ouvert la série des allocutions a fait savoir qu’il était question de dire merci à Dieu et lui demander pardon pour que la réconciliation entre les Ivoiriens soit une réalité. Selon lui, le mot ‘‘réconciliation’’ est composé de deux mots à savoir : ‘’Conciliation’’ qui signifie uni pour la paix et le préfixe ‘’Ré’’ pour solidifier cette conciliation. Terminant, il a lancé cet appel à la population : « nous sommes tenus d’être ensemble car c’est Dieu qui nous a créés. Alors, cette réconciliation se veut nationale. Avec Dieu, nous devons pardonner ; n’accusons personne car nous sommes tous fautifs ». L’Iman Touré a dit que l’heure n’est plus au discours mais à la prière pour que les cœurs se réconcilient. Il a donc invoqué Allah (Dieu en malinké) pour que la paix revienne définitivement en Côte d’Ivoire. Diomandé Fatou Fatiga, coordonnatrice du Rifr, a précisé que sans la prière, la réconciliation ne peut être possible. Elle a donc demandé à tous les Ivoiriens de prier pour la paix en Côte en Côte d’Ivoire. «Que tous ceux qui fréquentent les mosquées, les églises et les temples prient afin de faciliter la réconciliation. Car, le pardon et la réconciliation sont des choses divines», a-t-elle dit. Elle a également demandé aux chefs religieux de prier pour tous les membres de la commission Dialogue- vérité et réconciliation. Elle a terminé en remerciant tous ceux qui ont permis la tenue de cette journée oecuménique à l’espace Ficgayo notamment, le vice- président du Pdci-Rda, le Dr Doukouré Moustapha et Mme Charles Konan Banny. Les représentants des Malinké, Bété, Koulango, Dan, Baoulé, Ebrié… ont invité les populations au pardon et à la réconciliation.
Etienne Atta
Cette journée oecuménique organisée par le Rifr a réuni toutes les confessions religieuses. Celles-ci ont prié pour la paix en Côte d’Ivoire. Le curé de la paroisse de Kocumbo, le Père Jean Konan Delafosse qui a ouvert la série des allocutions a fait savoir qu’il était question de dire merci à Dieu et lui demander pardon pour que la réconciliation entre les Ivoiriens soit une réalité. Selon lui, le mot ‘‘réconciliation’’ est composé de deux mots à savoir : ‘’Conciliation’’ qui signifie uni pour la paix et le préfixe ‘’Ré’’ pour solidifier cette conciliation. Terminant, il a lancé cet appel à la population : « nous sommes tenus d’être ensemble car c’est Dieu qui nous a créés. Alors, cette réconciliation se veut nationale. Avec Dieu, nous devons pardonner ; n’accusons personne car nous sommes tous fautifs ». L’Iman Touré a dit que l’heure n’est plus au discours mais à la prière pour que les cœurs se réconcilient. Il a donc invoqué Allah (Dieu en malinké) pour que la paix revienne définitivement en Côte d’Ivoire. Diomandé Fatou Fatiga, coordonnatrice du Rifr, a précisé que sans la prière, la réconciliation ne peut être possible. Elle a donc demandé à tous les Ivoiriens de prier pour la paix en Côte en Côte d’Ivoire. «Que tous ceux qui fréquentent les mosquées, les églises et les temples prient afin de faciliter la réconciliation. Car, le pardon et la réconciliation sont des choses divines», a-t-elle dit. Elle a également demandé aux chefs religieux de prier pour tous les membres de la commission Dialogue- vérité et réconciliation. Elle a terminé en remerciant tous ceux qui ont permis la tenue de cette journée oecuménique à l’espace Ficgayo notamment, le vice- président du Pdci-Rda, le Dr Doukouré Moustapha et Mme Charles Konan Banny. Les représentants des Malinké, Bété, Koulango, Dan, Baoulé, Ebrié… ont invité les populations au pardon et à la réconciliation.
Etienne Atta
