Mon commandant, que ressentez-vous au moment où vous rentrez au pays ?
Cela fait exactement 109 jours que j’ai quitté le sol de Côte d’Ivoire ; c’est donc un bonheur de retourner chez soi et de participer à la réconciliation nationale.
Votre présence est-elle une garantie du retour des autres ?
Une garantie de mon retour, oui. Mais sûrement, une assurance pour que toute personne qui serait cachée pour raison de sécurité, pour la perception du danger qu’il y aurait sur place, puisse prendre exemple et revenir ici.
Vous êtes donc déterminé à occuper votre poste ?
Absolument ! Parce que l’armée confère d’une part des grades et d’autre part de l’emploi. L’emploi est donné par la hiérarchie militaire.
C’est donc un retour définitif…
Naturellement.
Quels contacts avez-vous eus avec vos frères d’armes exilés?
Les contacts, on ne peut pas en parler en réalité. Puisque nous étions tous rattachés à l’Attaché de défense, c’est lui qui gère tout ce qui est relation militaire dans un lieu où vous vous trouvez.
Propos recueillis par B.I.
Cela fait exactement 109 jours que j’ai quitté le sol de Côte d’Ivoire ; c’est donc un bonheur de retourner chez soi et de participer à la réconciliation nationale.
Votre présence est-elle une garantie du retour des autres ?
Une garantie de mon retour, oui. Mais sûrement, une assurance pour que toute personne qui serait cachée pour raison de sécurité, pour la perception du danger qu’il y aurait sur place, puisse prendre exemple et revenir ici.
Vous êtes donc déterminé à occuper votre poste ?
Absolument ! Parce que l’armée confère d’une part des grades et d’autre part de l’emploi. L’emploi est donné par la hiérarchie militaire.
C’est donc un retour définitif…
Naturellement.
Quels contacts avez-vous eus avec vos frères d’armes exilés?
Les contacts, on ne peut pas en parler en réalité. Puisque nous étions tous rattachés à l’Attaché de défense, c’est lui qui gère tout ce qui est relation militaire dans un lieu où vous vous trouvez.
Propos recueillis par B.I.