Un autre qui doit avoir le cœur sous la main, c’est le président des Etats-Unis, la première puissance économique mondiale, Barack Obama. Et pour cause! La Chambre des représentants est appelée à adopter le relèvement du plafond de la dette, que le Sénat pourrait ensuite rejeter. Tout cela à quelques jours d’un défaut de paiement. Mais, aux Etats-Unis, tout est possible. Il n’est donc pas exclu que le Congrès revienne à la raison et que l’économie américaine se sauve de cette mauvaise passe. Pour l’heure, cette situation semble davantage affoler les places boursières européennes. C’est bien connu, quand l’Amérique tousse c’est généralement l’Europe qui est malade.
Mais, même si Républicains et Démocrates ont toujours du mal à accorder leurs violons, rien ne dit que la situation soit définitivement désespérée pour Barack Obama, qui fêtera par ailleurs ses 50 ans le 4 août. Le locataire de la Maison Blanche espère certainement et secrètement qu’un sauvetage sera possible avant la date butoir, le 2 août. Une véritable course contre la montre est donc déclenchée. L’absence d’un accord entre les élus de Washington plongerait les Etats-Unis dans l’impossibilité d’emprunter sur les marchés internationaux pour financer leur dette. Or, ils doivent rembourser plus de 80 milliards de dollars à leurs investisseurs au plus tard le 15 août, jour de la fête chrétienne de l’assomption. Peut-être la Sainte Vierge leur viendra-t-elle en aide? En tout cas, Barack Obama et son administration en auront bien besoin. Faute de quoi, il n’y aura plus qu’à se servir des recettes fiscales ou encore réaliser des économies en mettant la clé sous le paillasson des administrations fédérales, sans garantie que cela suffise.
A moins, enfin, de s’imposer un plan de réduction de la dette qui, selon une étude du FMI, serait encore plus draconien que celui de la Grèce. Dur, dur…pour les Etats-Unis.
Mais, même si Républicains et Démocrates ont toujours du mal à accorder leurs violons, rien ne dit que la situation soit définitivement désespérée pour Barack Obama, qui fêtera par ailleurs ses 50 ans le 4 août. Le locataire de la Maison Blanche espère certainement et secrètement qu’un sauvetage sera possible avant la date butoir, le 2 août. Une véritable course contre la montre est donc déclenchée. L’absence d’un accord entre les élus de Washington plongerait les Etats-Unis dans l’impossibilité d’emprunter sur les marchés internationaux pour financer leur dette. Or, ils doivent rembourser plus de 80 milliards de dollars à leurs investisseurs au plus tard le 15 août, jour de la fête chrétienne de l’assomption. Peut-être la Sainte Vierge leur viendra-t-elle en aide? En tout cas, Barack Obama et son administration en auront bien besoin. Faute de quoi, il n’y aura plus qu’à se servir des recettes fiscales ou encore réaliser des économies en mettant la clé sous le paillasson des administrations fédérales, sans garantie que cela suffise.
A moins, enfin, de s’imposer un plan de réduction de la dette qui, selon une étude du FMI, serait encore plus draconien que celui de la Grèce. Dur, dur…pour les Etats-Unis.