A la capitale de la paix, les populations ont été exhrotées à la réconciliation lors de la célébration du 51ème anniversaire de la Côte d’Ivoire.
A l’instar de toutes les villes du pays, l’An 51 de la Côte d’Ivoire a été célébré dimanche à Bouaké en face du stade de la paix sur le grand boulevard. Représentant Aka Konin, le préfet de région, Kassi Oi Emmanuel secrétaire général de préfecture a, dès l’entame de son discours, jeté un regard rétrospectif sur la marche du pays depuis la crise post-électorale au 7 août 2010. Marquée, par l’élection présidentielle avec son cortège de controverses et de violences. Malgré cette situation, selon le représentant du préfet de région, le pays est debout et bien gouverné. « Après seulement 3 mois de pouvoir du président de la République Alassane Ouattara, les signes d’une reprise en main du pays sont palpables. Les actes posés çà et là, les rigoureuses et pertinentes mesures envisagées en faveur de la relance du pays permettent d’espérer aux plans diplomatique, économique et social », a soutenu Kassi Oi Emmanuel. Après quoi, il a rappelé que la réconciliation prônée par le chef de l’Etat est un impératif qui s’impose à tous les Ivoiriens et aux habitants de la Côte d’Ivoire. « Les violences, les frustrations et les injures ont profondément détérioré le tissu social. Mais, comme le dit le président de la République, on ne bâtit pas un pays sur la base des rancœurs », a-t-il avancé. Et de lancer un appel solennel au pardon. Aux populations de Bouaké, l’envoyé du préfet de région a demandé de ne pas rater le train de la réconciliation déjà en marche. « Empruntons-le pour accompagner le président de la République dans sa noble et exaltante mission de redressement national. Et pour y parvenir, nous devons tous adopter un comportement nouveau caractérisé par l’ardeur au travail, l’assiduité, la probité morale et intellectuelle et le respect des valeurs qui fondent notre société. Chers compatriotes, habitants de Bouaké, le 28 novembre 2010, vous avez accepté d’accorder massivement votre suffrage au candidat Alassane Ouattara, aujourd’hui au pouvoir. Prouvez et assumez votre choix, en vous appropriant véritablement son programme sur la base duquel vous l’avez choisi», a vivement conseillé Kassi Oi Emmanuel. Après son discours, des défilés militaire et civil ont mis fin à la cérémonie.
Denis Koné à Bouaké
A l’instar de toutes les villes du pays, l’An 51 de la Côte d’Ivoire a été célébré dimanche à Bouaké en face du stade de la paix sur le grand boulevard. Représentant Aka Konin, le préfet de région, Kassi Oi Emmanuel secrétaire général de préfecture a, dès l’entame de son discours, jeté un regard rétrospectif sur la marche du pays depuis la crise post-électorale au 7 août 2010. Marquée, par l’élection présidentielle avec son cortège de controverses et de violences. Malgré cette situation, selon le représentant du préfet de région, le pays est debout et bien gouverné. « Après seulement 3 mois de pouvoir du président de la République Alassane Ouattara, les signes d’une reprise en main du pays sont palpables. Les actes posés çà et là, les rigoureuses et pertinentes mesures envisagées en faveur de la relance du pays permettent d’espérer aux plans diplomatique, économique et social », a soutenu Kassi Oi Emmanuel. Après quoi, il a rappelé que la réconciliation prônée par le chef de l’Etat est un impératif qui s’impose à tous les Ivoiriens et aux habitants de la Côte d’Ivoire. « Les violences, les frustrations et les injures ont profondément détérioré le tissu social. Mais, comme le dit le président de la République, on ne bâtit pas un pays sur la base des rancœurs », a-t-il avancé. Et de lancer un appel solennel au pardon. Aux populations de Bouaké, l’envoyé du préfet de région a demandé de ne pas rater le train de la réconciliation déjà en marche. « Empruntons-le pour accompagner le président de la République dans sa noble et exaltante mission de redressement national. Et pour y parvenir, nous devons tous adopter un comportement nouveau caractérisé par l’ardeur au travail, l’assiduité, la probité morale et intellectuelle et le respect des valeurs qui fondent notre société. Chers compatriotes, habitants de Bouaké, le 28 novembre 2010, vous avez accepté d’accorder massivement votre suffrage au candidat Alassane Ouattara, aujourd’hui au pouvoir. Prouvez et assumez votre choix, en vous appropriant véritablement son programme sur la base duquel vous l’avez choisi», a vivement conseillé Kassi Oi Emmanuel. Après son discours, des défilés militaire et civil ont mis fin à la cérémonie.
Denis Koné à Bouaké