Le mercredi 17 août 2011, le président Bédié a reçu à sa résidence de Daoukro, Me Sery Kossougro. On le sait, l'homme avait, du temps de la refondation, tourné le dos à sa formation politique, le PDCI-RDA. Profitant donc de ce moment de réconciliation, il a trouvé normal de faire la paix avec le président de son parti. A sa sortie d'audience, il s'est adressé à la presse.
«C'est une visite de famille. Je suis de la famille politique. C'est l'intention d'une réconciliation avec le Président de mon parti, avec mon parti. L'entretien a été bon et nous aurons encore d'autres rencontres. Nous sommes en période de réconciliation. C'est donc normal que je me réconcilie avec mon parti, avec mon président. Il ne peut pas avoir de nuages entre un père et un fils. Il y a seulement quatre jours que j'ai sollicité l'audience avec le Président, il me l'a accordée et aujourd'hui je suis dans la joie. Je suis comme un enfant prodigue, je retourne à la maison que je n'aurais jamais dû quitter. Le président était peiné que je ne l'ai pas suivi dans sa décision. Je suis parti, je suis revenu. Il a promis de recevoir les chefs traditionnels de Daloa. Je lui adresse mes remerciements. Nous avons pris l'engagement de conduire le PDCI à la victoire dans les prochaines élections.» Notons qu'après Kossougro, le président Bédié a reçu le président du GEPCI, Denis Kah Zion venu avec une importante délégation de parents.
Agnès Kouaho (correspondant)
«C'est une visite de famille. Je suis de la famille politique. C'est l'intention d'une réconciliation avec le Président de mon parti, avec mon parti. L'entretien a été bon et nous aurons encore d'autres rencontres. Nous sommes en période de réconciliation. C'est donc normal que je me réconcilie avec mon parti, avec mon président. Il ne peut pas avoir de nuages entre un père et un fils. Il y a seulement quatre jours que j'ai sollicité l'audience avec le Président, il me l'a accordée et aujourd'hui je suis dans la joie. Je suis comme un enfant prodigue, je retourne à la maison que je n'aurais jamais dû quitter. Le président était peiné que je ne l'ai pas suivi dans sa décision. Je suis parti, je suis revenu. Il a promis de recevoir les chefs traditionnels de Daloa. Je lui adresse mes remerciements. Nous avons pris l'engagement de conduire le PDCI à la victoire dans les prochaines élections.» Notons qu'après Kossougro, le président Bédié a reçu le président du GEPCI, Denis Kah Zion venu avec une importante délégation de parents.
Agnès Kouaho (correspondant)