Abidjan, L’ambassadeur du Japon en Côte d’Ivoire, Yoshifumi Okamura a rencontré mercredi à Abidjan le ministre ivoirien des Eaux et Forêts, Clément Bouéka Nabo, dans le cadre de la coopération bilatérale du démarrage des activités de la question forestière.
Selon un communiqué du ministère, au titre de l’année 2009, le gouvernement du Japon a offert des dons en équipements d’une valeur de 3,750 milliards FCFA au département des Eaux et Forêts, dans le dessein de réhabiliter et de gérer de manière durable les forêts classées menacées de disparition.
Le projet comprend quatre composantes, à savoir protection de 815.000 ha de forêts classées, la reconstitution des zones dégradées, le développement socioéconomique des zones autour des forêts classées et la valorisation des bois issus des plantations forestières.
Pour le ministre des Eaux et Forêts et l’ambassadeur du Japon, la question forestière ne se mesure ni par la force ni par les armes, mais par la proximité avec la population. Aussi, jugent-ils important d’impliquer davantage les populations villageoises dans la protection de leurs forêts et exploiter ces aires avec intelligence, pour les générations futures.
Le démarrage de la coopération bilatérale entre le gouvernement du Japon et du ministère des Eaux et Forêts est prévu le 02 septembre à Monogaga (région du Bas-Sassandra), en présence de l’ambassadeur du Japon et du ministre des Eaux et Forêts. L’audience de mercredi s’est tenue en présence du ministre de la Production animale et des Ressources halieutiques, Kobenan Kouassi Adjoumani.
(AIP)
Selon un communiqué du ministère, au titre de l’année 2009, le gouvernement du Japon a offert des dons en équipements d’une valeur de 3,750 milliards FCFA au département des Eaux et Forêts, dans le dessein de réhabiliter et de gérer de manière durable les forêts classées menacées de disparition.
Le projet comprend quatre composantes, à savoir protection de 815.000 ha de forêts classées, la reconstitution des zones dégradées, le développement socioéconomique des zones autour des forêts classées et la valorisation des bois issus des plantations forestières.
Pour le ministre des Eaux et Forêts et l’ambassadeur du Japon, la question forestière ne se mesure ni par la force ni par les armes, mais par la proximité avec la population. Aussi, jugent-ils important d’impliquer davantage les populations villageoises dans la protection de leurs forêts et exploiter ces aires avec intelligence, pour les générations futures.
Le démarrage de la coopération bilatérale entre le gouvernement du Japon et du ministère des Eaux et Forêts est prévu le 02 septembre à Monogaga (région du Bas-Sassandra), en présence de l’ambassadeur du Japon et du ministre des Eaux et Forêts. L’audience de mercredi s’est tenue en présence du ministre de la Production animale et des Ressources halieutiques, Kobenan Kouassi Adjoumani.
(AIP)