Etudier le bonheur… Voilà une vaste entreprise menée par l’Observatoire du même nom. Car le bonheur est un sujet universel, qui remonte aux débuts de l’humanité. C’est également un sujet… pluridisciplinaire. Il procède en effet des sciences humaines et sociales, mais aussi des sciences dures comme la physique.
Bien entendu, les visions du bonheur diffèrent d’un individu à l’autre, d’une société à l’autre. Et tous les petits plaisirs vont contribuer à véritablement construire cette notion de bonheur.
Sociologues, philosophes, musicologues s’intéressent ainsi aux « petits plaisirs » qui font le sel de l’existence: musique, alimentation, lecture… Ces petits plaisirs participent à la construction du bonheur, mais leur caractère éphémère, leur fréquence aléatoire, leurs effets de manque et d’accoutumance, ne suffisent pas pour créer les conditions d’un véritable bonheur.
Mais le bonheur peut également s’étudier sous l’angle des neurosciences. C’est même un domaine passionnant. La découverte récente du rôle de l’ocytocine dans les comportements amoureux, dans l’attachement mère-enfant, est un élément clef pour attribuer, hors du champ de la littérature et de la philosophie, une composante biologique au terme bonheur.
Enfin, il semblerait que la notion de bonheur collectif soit quelque peu gommée dans nos civilisations occidentales. Selon certains sociologues, nous serions très individualistes et davantage portés vers nos petits plaisirs.
www.destinationsante.com
Bien entendu, les visions du bonheur diffèrent d’un individu à l’autre, d’une société à l’autre. Et tous les petits plaisirs vont contribuer à véritablement construire cette notion de bonheur.
Sociologues, philosophes, musicologues s’intéressent ainsi aux « petits plaisirs » qui font le sel de l’existence: musique, alimentation, lecture… Ces petits plaisirs participent à la construction du bonheur, mais leur caractère éphémère, leur fréquence aléatoire, leurs effets de manque et d’accoutumance, ne suffisent pas pour créer les conditions d’un véritable bonheur.
Mais le bonheur peut également s’étudier sous l’angle des neurosciences. C’est même un domaine passionnant. La découverte récente du rôle de l’ocytocine dans les comportements amoureux, dans l’attachement mère-enfant, est un élément clef pour attribuer, hors du champ de la littérature et de la philosophie, une composante biologique au terme bonheur.
Enfin, il semblerait que la notion de bonheur collectif soit quelque peu gommée dans nos civilisations occidentales. Selon certains sociologues, nous serions très individualistes et davantage portés vers nos petits plaisirs.
www.destinationsante.com